chapitre 27:

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Je me réveille dans un lit inconnu. J'ouvre les yeux, personnes dans la chambre. Je me lève et marche toujours un peut endormi. J'arrive enfin jusqu'à ma chambre, personne non plus. Je m'habille de ma combi short. Je descend les escaliers. Ils sont tous la. Je passe à coter d'eux en les ignorant. Je déteste qu'on ne me réveille pas alors qu'il faut se levé. Je prend un baule et des céréales . Je m'assois à coter de Charly et Laila. On se dit bonjour et je mange mon petit déjeuner toujours dans la lune. Je fini mon plat et retourne dans la chambre. Je me change car aujourd'hui on va faire un match de foot. Des équipes vont s'affronter tout au long de la journée. Gabriel débarque dans la chambre. Je le regarde étonné de le voir ici maintenant. Il souris, je le sens mal. Il m'attrape en sac à patate et il se dirige vers la salle de bain. Oh non... Il me pose dans la douche et avant que je puisse me levé il allume l'eau. Je me retrouve mouiller de la tête aux pieds.

Gab : comme ça tu auras une vrai raison de me bouder marmotte

  Il explose de rire en me voyant. Je vais me venger ça c'est sûr! Il part de la chambre en courant. Je rigole aussi mais je ne le suis pas. Je me change encore ! Je met mon débardeur noir avec un short en jeans. Je retrouve mes amis dehors. Gabriel me regarde du coin de l'œil méfiant. Il a raison de se méfier... je ne lui prête aucune attention. On fait les équipes, on se retrouve tous les six. William ne reste plus beaucoup avec ses amis, après Tamara ne le lâche plus non plus donc. Une idée me vient à l'esprit. Je me dirige vers Romain et lui dis.

Loua: heu... Gabriel a un petit problème gastrique et il n'ose pas vous le dire et vu que je suis son ami je préfère vous prévenir. Il a très mal au ventre et il va souvent au toilette donc pour le foot sa va être compliqué pour lui...
Romain: merci Loua je vais allé lui parler!
Loua, le regarde partir: j'ai hâte de voir sa !

Je retourne vers mes amis comme si de rien étais. Romain arrive vers nous est demande à Gabriel de venir. Ils partent loin de nous. Je ne peux pas m'empêcher d'avoir un grand sourire au lèvre. Je regarde la scène de ou je suis et sa me fais bien rire. Son expression d'incompréhension change en de la stupéfaction puis en honte. Je regarde toujours. Il devient tout rouge et juste après que Romain parte, il se retourne vers moi. Oh.... Je vais mourir! Il s'approche de nous et surtout de moi. Je lève les yeux pour le regarder. Car monsieur est grand quand même. Il va se venger, et têtu comme je suis. Moi aussi ! C'est pas de suite régler cette histoire. Il se rapproche de moi, sa bouche se dirige vers mon oreille et il me chuchote: je vais frapper lorsque tu t'y attendras le moins!
Mon regard provocateur et mon sourire en coin ne le déstabilise pas au contraire, on est décidément tout les deux têtus. Il me lance un défi, je ne vais pas me laisser faire! Je lève les yeux aux ciel et pars avec un sourire aux lèvres. Les premiers match commence. On en a gagner deux sur trois. Il n'a toujours rien fais. Je me méfie beaucoup. L'heure du repas est arrivée. On est assit a table en train de manger de bonnes crêpes. Après le repas passer, on retourne tous dehors. Les tournois reprennent, a chaque fois que Gabriel a le ballon et que je suis démarqué il ne me le passe jamais. J'ai enfin le ballon je m'apprête a tiré mais on me saute sur le dos. Je suis déstabilisé et je rate mon tire. Je tombe sur le coter et vois son regard fière. A cause de lui on a perdu le match et sa m'énerve! Après le match remporté par équipe de Tamara que j'ai perdu a cause de lui! Je décide de lui sauté dessus pour le faire tomber. Cette tentative est vouée à l'échec, une autre idée me vient à l'esprit. Je me dirige vers ma bouteille d'eau. J'ouvre le bouchon derrière mon dos tout en marchant en sa direction.

Gabriel: alors pas trop triste ?
Loua, souriante: non absolument pas !

Sur ceux je vide ma bouteille sur sa tête. Je le regarde mouillé fière de moi. Tamara passe à coter de nous et observe attentivement Gabriel ou plutôt c'est abdos voyant par son débardeur blanc mouillé. Je la fusille du regard. Elle se mort la lèvre puis part. Je lève les yeux au ciel et me retourne vers mon ami. Il a enlevé son débardeur, toute l'eau dissimuler dedans il me la fait couler dessus je ne réagis pas de suite bloqué sur ces abdos. Je reviens a moi quand il me donne un coup de coude ce qui nous fais  rigoler.  Pendant toute la journée on a pas arrêté de s'embêter. A chaque attaque de l'un ou de l'autre mon cœur s'accélère. On décide en fin de journée de faire une trêve.  Je lui saute alors dans les bras et un câlin naturelle s'enchaine. Etrangement je me sens bien dans ces bras, je lève les yeux vers lui et lorsqu'il ce penche vers moi pour embrasser ma joue mon cœur manque un battement.

Camp Caola : cette été làOù les histoires vivent. Découvrez maintenant