Condamné

A la recherche des explications

Je ne comprend pas comment cela peut être vrai...je ne sais pas si tout cela est plausible.
C'est tout a fait impossible pour être vrai...

Je suis encore en état de choque sur le fait que je sois encore vivante et que mon corps se soit rétabli tout seul et en seulement une vingtaine de jours, presque un mois. Non je n y crois pas. Je veux des explications, tout cela n est pas naturel et loin d être dans la nature humaine : un corps ne peut se rétablir de si grosse blessure en un mois et aucun être humain ne peux dormir aussi longtemps !

J allume mon ordinateur. Je remarque un petit détails qui ne m échappe pas...je regarde autour de moi : l appartement est exactement comme je l avais quitté...sauf que les poubelles sont vides, le lingue sale est lavé et pas un grain de poussière !
Je m'en remet à la seul solution qui me vient à l esprit qui est : je ne suis pas rester près de vingt ans toute seul, quelqu'un vient régulièrement faire le ménage et s occupé de mon habitat.

Sur la table sur laquelle repose mon pc je vois une pile de lettre. Certaines sont incompréhensible : ce ne sont que des chiffres et des lettres, un genre de code. Il y en a 5 de ce style.
Puis il y a 5 autres lettres qui elles sont bien en français, je les lits une à une :

1 février 2017
M. Tilan
20 rue des coquelicots

Ma demoiselle Miranda

Je vous dois cette lettre, mais surtout beaucoup d'explication et de d'information.
Je vous fait part de tout ce que vous pouvez savoir sur vous et sur ce que vous êtes devenu, je vous fait part de mes informations les plus exactes et ainsi vous transmettre mon savoir sur les individus comme vous.
Hélas je ne peux tout vous expliquer dans une lettres, les mots manquerais et ce ne serait pas très bon pour votre santé mental.
Je vous invite alors de me retrouver des que vous le souhaitez au 20 rue des coquelicots, la maison se trouve dans votre ville. Je suis disponible tous les jours de la semaine à chaque heure de la journée.
J'ose vous dire à très bientôt...
Ps: vous n êtes pas seul à être comme cela.

Je dois dire que la je suis tomber de haut !
Je lis la deuxième lettre : elle est mots pour mots identique, et les trois qui suivent sont pareils. Je n ai aucune information supplémentaire. Je ne connais que le nom et d adresse de cet homme. Et je ne sais même pas qui est cette femme ou cet homme qui vient régulièrement entretenir mon habitat.
Je me sens désorienté et complètement perdu.
La peur commence à m'envahir. Puis cette petite crainte s'amplifia, je me souvient de la douleur que j ai vécu, je me souviens du choque que j ai subit en me suicidant, je me souviens des regards des gents, de l enfant qui a pleuré en me voyant, du vieille homme qui s est mis à faire le signe de crois et à prié ma personne lorsqu'il m a vue. Je me souvient de tout. Tout le monde avait peur de moi. Et je me souviens de mon reflet dans le miroir, je me rappel de ma peau déchiré, du sang qui a séché sur ma peau meurtrie par le sol, je me souviens de cette odeur, odeur de mort, odeur de solitude. Je me souvient de mes muscles qui ont rétréci, de mes os qui se voyais a travers la peau devenu si blafarde...si pâle...si fine...et ces cernes...si gros...

Soudain, j'entend les clefs qui ouvre le verrou de la porte d entré. Quelques pas.

Un objet semblable à un sac à main qui se pose sur le meuble à chaussures qui est dans le couloir menant au salon, pièce où j'y suis installé. Je me faufile discrètement dans la cuisine qui sert également de salle à manger, et prise par une impulsion de puissance et de rage j'ouvris sans bruit le tiroirs et sorti le plus grand des couteaux.
Ma respiration s était faite plus fine afin de permettre à mes oreilles d écouter chaque bruit audible, mes pupilles s étaient dilaté afin que je puisse voir chaque mouvement. Mes sens en alerte, je me sentis comme un animal en chasse de sa proie.
Plus prête que jamais à faire partir l'intrus de chez moi, j avançais lentement vers la sorti de la cuisine et je vis une dame assise sur mon canapé, dos à moi. Elle portait un casque et j entendais parfaitement la musique qu'elle écoutait. Je m approchais d'elle et me baissant afin qu'aucune ombre ne se laisse voir. Je vis qu'elle avait ranger mon ordinateur et replié les lettres encore ouverte avant son arrivée. Je la vie en sortir 10 autres de son sac et les déposer sur la table en bois. Elle s'adossa en soufflant, ce qui me fis reculer afin qu'elle ne me remarque pas.
Soudain je vis mon reflet dans la télévision et je me baissa avant qu'elle ne me vois à son tour. Elle reçu un appel :
"Allô ?
-...
-oui je suis chez le numéro 42, je lui ai remis 10 de vos lettres et 10 des codes. Elle est réveillé monsieur. Son ordinateur était sortie et elle à déjà lu toute les lettres.
-...
- bien monsieur. Au revoir monsieur.
-..."
La musique repris.
Et la rage repris de plus belle. Je m'abandonnais à mon instinct et je me laissais faire par l'être en moi.
Je serrais le couteau dans ma main gauche, et de mon pouce j'analysais l'aiguisement de la lame.
Je pris une longue et fine mèche noir dans ma main droite et je la coupait en une fraction de seconde, ce qui fit bondir la femme du canapé et elle me regarda avec des grand yeux. Je n y voyais que de la peur.
Elle était plus jeune que moi de quelques années sans doute, elle avait la peau bronzé, sans doute qu'elle viens des îles, les yeux bleus très clair qui contraste avec sa peau. Son nez était fin et droit et sa bouche pulpeuses et légèrement rosé. Elle portait un pull bordeaux avec une longue chaîne en or sur laquelle pendait un pendentif en forme de cœur qui s'ouvre. Un jeans noir et des bottes en cuire qui lui arrive au genoux. Elle n'était pas grosse mais pas fine. Je pourrais même dire qu'elle était belle. Mais la peur fleurant la crise cardiaque, elle était tétanisé et avait perdu tous sens de l'orientation. Je voyais bien qu'elle cherchais une issu pour me fuir mais je savais aussi bien qu'elle qu'il n y en avait pas.
Sa mèche de cheveux toujours dans ma main, je me vie la sentir et la mettre en bouche, comme si je voulais me marquer de son ADN...
Me demandant moi même pourquoi j'avais fais cela je lâcha cette mèche noir qui retomba délicatement sur le sol propre.
Je m'entendis dire :
" qui êtes vous ?
-...je m'ap...m'appel Marie...
- qu'est ce que vous faites dans mon appartement ?
-je...je l'entretien...depuis votre sommeil je viens 3 fois par semaine...je fais partis de l'agence Imo....une agence.
-quoi comme agence ?
-ce n'est pas important...
Je criais :
-QUEL AGENCE ?
elle sursauta et ses yeux s humidifièrent :
-S'il vous plaît...laissez moi vous expliquer correctement...mon patron vous embobinerez...M. Tilan est un escrocs et depuis que votre espèces est apparue il a décidé de profiter de la situation afin d'obtenir lui aussi ce que vous avez.
-commença mon espèces ? Ce que j'ai ?
-pourrions-nous nous asseoir ?
-oui.
Joignant la parole au geste je lui fis signe de s'asseoir à côté de moi sur le canapé. Elle hésita quelques instants, sans doute qu'elle avait peur de moi et que je ne lui tende un piège, puis elle céda et vint s'asseoir à une trentaine de centimètres de moi, puis elle repris son aveux :

-Voilà...il y a quelques mois de cela 104 personnes de touts âge, dont vous, se sont suicidé en même temps et presque au même endroit et tous pour la même raison qui est une douleur intense à l'intérieur du corps.
Pour chaque victime M. Tilan à associer un infirmier ou une infirmière, et moi, Hélène, je suis votre infirmière. Ce que vous devez savoir, c'est que cette douleur est un instinct pour vous pousser à la mort, tant que vous ne mourrez pas, cette douleur persistera, il y en à qui on tenu quelques minutes, tandis que d'autres, les plus courageux ont tenu plusieurs heures. Mais vous vous êtes tous remis à la mort. Sauf que le fait de vous suicidé à tout simplement activé une zone de votre cerveau, une zone qui était éteinte et qui se trouve dans la matière grise, au centre du cerveau. Cette zone étant activé, votre métabolisme change. Et honnêtement je ne sais pas ce qu'il se passe exactement ni comment cela ce passe. Mais ce que je peux vous dire que j'ai déjà constaté c'est que votre cœur bat toujours, que votre respiration est normal, que votre cerveau est optimal, et peut être bien plus performant qu'un être humain normal.

Ce que j'ai remarqué de plus inhabituel, c'est que vous avez plus de force que nous, vos os se sont recouvert d'une membrane fine comme un papier aluminium, et ce que les scanner ont laisser voir est que votre moelle osseuse est bien plus fournis. De plus les échographie montre que votre système digestif est bien plus performant, si bien que votre accepte tout type de nourriture et sait éliminer les éléments néfaste à votre corps en évacuant par la transpiration ou par l'urine. De plus votre système immunitaire est très complet, il semble même que vous ne pouvez pas être malade ni même mourir.

Madame, vous faites partie de la nouvelle espèce qui est née il y a peu, vous êtes une immortelle. "