Chapitre 28 : Bigleuse

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Musique : Charlie Puth - We Don't Talk Anymore (feat. Selena Gomez)

Dans le chapitre précédent :

Les deux soupirèrent en même temps tandis que la porte d'entrée s'ouvrit sur Bonnie.

-Où est Hayley, faut que je lui parle !

-Bonjour à toi aussi. Elle dort. Répondit Eden.

-Putain je vais la réveiller cette marmotte moi tu vas voir !

-Elle est malade. Sortit June.

Bonnie s'arrêta dans son élan de vengeance pour le coup de la piscine.

-Comment ça elle est malade ?

-Elle m'a couru après dans la forêt en pleine nuit et en short débardeur.

-Qu'est-ce que vous foutez en pleine nuit dans la forêt ?

-Télécommande de la télé ! Rigola la fille aux yeux dorés.

-Euh... Ok. J'ai dû louper un épisode moi... Bref ! J'ai vraiment besoin d'elle.

-Pour quoi faire ? Demanda le frère aux yeux dorés.

-Ce n'est pas votre prob-...

-Bonnie ? La coupa Rico.

-Euh... Salut... Marmonna cette dernière.

Maintenant :

-Salut ? C'est tout ce que tu trouves à me dire ?

-Quoi, tu préfères que je dise : "Oh salut mon amour, tu m'as tant manqué !" et que je te saute en prime dans les bras ?

-Ça m'aurait plu en effet...

La mafieuse se crispa.

-C'est quoi ce raffut ? Demanda Hayley en sortant de sa chambre en baillant.

-Retourne te coucher, sortit Eden en se levant du canapé pour aller vers la jeune fille.

-Mais je ne suis pas, elle bailla, fatiguée.

-Ouais et moi je suis une licorne...

-Je croyais que t'étais un phœnix...Répondu Hayley complètement perdue.

L'homme soupira en rigolant alors que June dévisageait son frère. En sentant le regard de cette dernière sur lui, il se retourna vers elle et agita ses lèvres sans pour autant faire sortir de sons. Elle hocha la tête en lui fit un regard noir et il retourna aux petits soins de sa patiente.

-Hep pep pep ! Ça ne me prendra que deux secondes pour parler à ma sœur, je vais donc la raccompagner dans son lit. S'interposa Bonnie.

-Très bien, vas-y. Capitula l'homme oiseau.

La mafieuse posa ses mains sur les épaules de sa sœur et elle la conduisit dans la chambre sous le regard déçu de l'italien.

On verra où ça nous mènera [en correction]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant