Journal d'une survivante ZT

Chapitre 2 une grande Explosion

-eeeet yes !

J'aurais pas à commander chinois ce coup-ci car j'ai enfin pus réussir à faire des nems et un bon Ramen.
Le Ramen c'est une espèce de soupe que mon copain réussissait bien, avec de la viande, des pâtes et une tranche de Naruto, un ingrédient qui plus tard  donnera son nom à un mangas qu'il lisait.

-tu a fini ta cuisine ?, me demanda Cassandre au téléphone

-devine si j'avais pas fini je n'aurais pas dit que je ne commanderais pas chinois, lui expliquais je

A mon avis, je n'étais pas contre un chinois parce que je savais que ma cuisine n'allait pas êtres succulentes.

Tout en me servant je racontais pour la centièmes fois mes problèmes interminable  de boulot, la pauvre Cassandre elle devait être bien larguée par mes histoires composés la plupart du temps de termes scientifiques que seul moi peut comprendre. Cela me faisais du bien d'exposer mes problèmes, elle ne comprenait rien c est vrai mais ce qu'elle comprenait c'est que c'était bon pour mon mental

-et il t'a répondu ça mais qu'elle salaud, rigola Cassandre en parlant de "monsieur le professionnel"

- et attend le meilleur vient après ! Il se lève et il trébuche sur une fiole qu'il avait laissé par terre pour refaire ses lacets et il m'a hurlé dessus en disant que cette fiole était à moi et non à lui j'te jure.

Une heure plus tard nous étions toujours au téléphone mais ce coup ci il se passait une chose assez inhabituelle

-ouai je suis d'accord Cassandre mais si tu le fait mal, le gâteau ne gonflera pas.....Cassandre ?  Cassandre est-ce que tu es la ?

À l'écoute on entendait un rugissement venant de chez Cassandre, je pensais que ça devait être un problème de ligne téléphonique quand soudain une fantastique explosion se fit entendre, laissant tomber le téléphone j'admirais les couleurs orange et jaune se refléter dans tout mon appartement. Avant de me retourner et de découvrir cette explosion dont le souffle réduisait les bâtiments sur son passage je pris peur.

Dans un monde assombri par un mal invisible, une retraite pour méditer longuement sur la situation vaut mieux qu'un acte déséquilibré.