Chapitre 1 : Le première appel

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"Tu n'as pas trouvé ta vrai nature" M'avait dis le psy il y a quelques mois. Je ne comprenais pas vraiment ce qu'il avait voulu dire par ça mais aujourd'hui je penses comprendre : je ne suis pas complet en moi. J'ai toujours un vide, un manque, comme si mon existence était futile, que ma place dans la société n'était pas voulu, que je suis destiné à observer le monde sans y participer. Bref revenons sur terre et surtout sur ma vie banale de lycéen. J'espère comme chaque jour que j'aurais une journée meilleur que la veille mais les choses font que le bon et le mauvais s'équilibrent, donc c'est toujours des mauvaises journées à mon grand désespoir. Je trouves toujours les cours ennuyeux et inutile mais c'est obligatoire. Je suis toujours attiré par la forêt, comme si les arbres avait quelques histoires ou blagues à me raconter, même s'ils ne sont que de simples végétaux ...

- Hadrien, debout ou va dormir en permanence, dit la professeur de Biologie.
- Non désolé madame, dis-je.

C'est vrai que j'ai toujours cette vilaine envie de dormir sans cesse, même une heure après m'être levé je suis toujours fatigué. Pourtant je dors assez et bien et je n'ai pas beaucoup d'activités physique ou mentale. Quand j'étais petit je ne dormais pas beaucoup car, d'après ma mère, je pensais trop.
J'ai eu beaucoup de problèmes étant petit mais cette année de première est comme par hasard ma première année ou j'ai des relations stables et des bonnes notes. Je penses que le meilleur est encore à venir.

-Hadrien, dépêches-toi on a DS de Géo au quatrième étage en A40 ! Dit Loïc.
-Ça va ça va j'arrive ... Répondis-je.

Après un sprint dans les escaliers et dans le couloir du quatrième étage du lycée, nous arrivions enfin ... Le professeur mis un élève par table et nous donna les sujets. Après une brève explication, la course à la meilleur note débuta.

- Bonne chance à tous, criais-je.
- ...

Le devoir parlais de l'Amazonie et de sa déforestation. Cela me tenait à coeur, tous ces arbres abattu pour le profit des hommes. Même s'ils ne ressentent rien, enfin, à ce que je sache, ils n'ont rien demandé, et en plus grâce à eux on respirent et on vient, on leur devraient au moins ça. Mais d'un coup quelque chose, une sensation s'emparât de moi, et c'est à ce moment précis que je fis prit par une vision : je fût transporté en Amazonie, sur un chantier où des ouvriers coupaient des arbres, et ce qui rendait cette hallucination encore plus terrifiante, c'est de ressentir la douleur et d'entendre les cris de ces arbres tombant au sol. La douleur était si insoutenable que je me suis mis à pleurer et j'ai crié "STOP !!!" de toutes mes forces et d'un coup plus un bruit, même les arbres ne criaient plus. L'un d'entre eux, le plus gros, donc je suppose le plus vieux me fit ressentir une pitié tel que je n'arrivais pas à m'arrêter de pleurer. Mais d'un coup je fut transporter dans le temps et dans l'espace, je vis l'univers entier rembobiner jusqu'au Big Bang, puit a mon grand étonnement je vis un autre univers "Haaaa ! C'est quoi ce bordel ! Mais c'est pas possible, il ne peut pas avoir autre chose avant le Big Bang !!!" et je fis un voyage dans cette univers jusqu'à arriver à une planète qui ressemblait à la notre mais avec deux lunes, et je vis un ange venir vers moi, et me parler.

- Il est temps de se réveiller et de reprendre les choses en main, me dit-il.
- Qu'est ce qui ce passe ?!? Dis-je apeuré.
- Tu va le savoir très bientôt, ton univers va le savoir, mais avant retourne chez toi et laisse faire ton corps, ce sera moins douloureux, dit-il avec un sourire narquois.
- Mais explique mo ...

Même pas le temps de finir ma phrase que le vide se fît autour de moi, et je r-entendais le son des stylos glissant sur des feuilles ...

PRIMUSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant