Chapitre 1 : Barovska

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Mon nom est Maximilian Spopovitch, je suis née en 1976 dans une petite ville russe du nom de Tchekaline. Mon père était ouvrier de chantier, ma mère ne travailler pas. A vrais dire je ne l'ai pas connue, elle est morte peut de temps après ma naissance. Mon père me raconta qu'elle souffrait de démence ainsi que d'une forme très rare de paranoïa schyzophrenique. Un mois après ma naissance elle m'enleva à mon père et tenta de me tuer, un policier l'arrêta juste à temps tirant la balle qui me sauva et hota la vie de celle qui m'avait mise au monde. Je grandis ainsi dans une famille attristée par le malheur qui venais de s'abattre. Mon père ne se remis jamais du décès de ma mère et finis à son tour par sombrer dans la folie se laissant mourir. J'étais alors âgé de 13 ans et finis élevé par mon unique frère Nicolaï qui lui avait 17 ans. Il fit tout pour que je me sente bien et puisse suivre une vie normal. Il trouva un travail dans une mine afin de nous permettre de survivre, s'occupa de ma scolarisation allant jusqu'à travailler deux fois plus que les hommes pour me payer un collège privé. Je ne pouvais que lui être redevable et me jura à l'époque de tout faire pour réussir. Une fois le collège terminé j'intègra le lycée ou je fis des études scientifique. J'en sortis 3ans plus tard avec mon bac et me dirigea vers une fac de psychologie. Je voulais comprendre la maladie dont ma mère souffrait, comprendre ce mal qui avait condamné mon père, scellant le destin de mon frère. Je sortis premier de ma promotion.
Mon diplôme en main je fis le tour de tous le pays recherchant un asile regroupant les malades psychiatrique les plus atteints de notre nation afin d'essayer de les comprendre, je voulais à tout pris les aides à s'en sortir à retrouver une vie normal, j'étais loin d'imaginer ce qui allait ce passer.
Apres plusieurs mois de recherche je fut engagés en tant que psychologue interne par l'institut Barovska. Je devais donc selon les conditions de mon contrats de travail respecter certaines règles, je devais vivre au sein même de l'unité psychologique c'est à dire à l'intérieur du batiment, ne jamais parler en dehors de l'institut et ne jamais avoir de contact physique avec les patients.
L'hôpital était connus pour héberger en majeur parti des personnes souffrants de pathologies rares et nécessitant l'enfermement et l'isolement complet. La plus part dentre eux ayant commis des actes de violences atroces ils étaient confinés à l'intérieur des bâtiments sans jamais sortir de l'enceinte de celui ci. L'institut de Barovska était aussi connue pour être l'un des établissements les plus discrets et les plus méconnus de Russie. Tout de son fonctionnement, de son programme était inconnue. Seul ceux qui y travaillaient savais ce qu'il se passé à l'intérieur de ces murs.
Je n'oublierais jamais mon arrivée à Barovska, l'établissement se trouvé perdue dans les contrées nord et j'avais du pour y accéder faire un voyage de 2jours. Face à moi se dressé un bâtiment immense et lugubre, sa seule couleur le gris caractérisait  l'imposante structure. Tout ici semblait vide, une atmosphère de tristesse et de solitude plané sur l'enceinte du bâtiment. La structure était organisée en carré, elle disposait de 4 toures s'élevant de 20 mètres chacune dispersés aux 4 point cardinaux; chaque tour représentée une unité de vie; chacune de ces unités de vie avait un nom. Le bâtiment disposait en sont milieu d'une coure ou les patients pouvaient accéder lors de leurs 'sorties' et des activités sportives. Au vue des plans et de l'extérieur Barovska semblait être un institut aux allure froide ou étaient enfermé des personnes ne pouvant vivre normalement; Cependant... une fois l'établissement pénétré tout était différent.
Cris, odeur nauséabonde, terreur, je compris rapidement pourquoi ce lieu etait si méconnue il etait clairement evident que ce netait pas un institut comme les autres. Les patients était enfermés dans des cages, attachés à des anneaux de metaux, certains étaient même muselés, des numeros rappelant les plaques nazis etaient gravés au fer rouge à même leur chaires. Hurlement de douleur, de peur, de folie, d'horreur traversés les différents couloir de l'imposante structure.
C'est alors qu'un homme grand, brun, portant jn uniforme similaire à celui des SS s'approcha de moi;
-《Tu dois être Maximilian je me trompe?》
Je hochais la tête ne pouvant répondre 'oui' face à l'horreur que je contemplait.
-《Suis moi, le directeur t'attend.》

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⏰ Dernière mise à jour : Jan 12, 2017 ⏰

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