Partie 62

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Salam Aleykoum

Bismilah

PARTIE 62



En rentre chez eux y'avait personne sauf samira avec ses enfants et hasna et akram , je prends akram dans mes , le pauvre il joué tranquillement avec sa voiture et quand il m'a vu il souriait un ange mashallah il comprenait rien , il comprenait pas que son père venait de nous quitter que son père fait plus parti de ce monde . je le serre fort contre moi il je sens l'odeur de sofiane en lui je me mets a pleurer samira se lève et prend akram de mes bras et le pose sur sa poussette pour qu'il ne bouge pas , et elle me prend dans ses bras


Samira : c'est bon hbiba , fait pas comme sa , sofiane n'aime pas te voir pleurer


Moi : mais samira il est parti , je peux pas non , je veux mourir aussi je veux le rejoindre


Samira : ne dis pas sa lila , et ton fils miskin tu veux le laisser


Moi : et moi ? pourquoi sofiane m'a laissé hein ? pourquoi ?


Hassna : tout sa c'est de ma faute , je suis la seule coupable de sa mort


Samira : pour quoi tu dis sa hassna ? ce n'est pas de ta faute hbiba redis plus jamais sa


Hassna : mais bien sur que si , si j'ai pas insisté sur ce pc il n'aurait jamais du mourir


Samira : mais non hassna , et puis si il est pas mort dans cet accident il aura pu mourir dans d'autre moment


Je décide d'entrer a la maison j'en pouvais plus , elyes vient me prendre , il était triste ses yeux étaient toutes rouge j'était pas bien je sentais quelque chose qui me faisait vraiment mal. En rentrant a la maison j'ai entendu des cries et des pleures je suis tombée dans les escalier , j'ai fondu en larmes Elyes m'a pris dans ses bras c'était la première fois que je me trouve dans ses bras


Elyes : lila oukhty ne fais pas sa stp , allah i rahmo garde cofiance en Allah hbiba


Moi : non elyes , non me dis pas sa , sofiane est toute ma vie , je peux pas , non elyes non dis moi que c'est une blague hamdbouk khouya elyes heychek wallah je meurs sans lui


Elyes commence a pleurer , il me serrait fort contre lui , mon beau père a du entendre mes cries il vient me prendre dans ses bras il était si faible sa se voyait qu'il était lui aussi détruit il pleurait en silence il voulait pas me montrer sa douleur , il me fait monter dans la chambre , ma mère rentre a son tour avec ma belle mère et ma sœur bouchra


Mon beau père : benthi , benthi regarde moi dans les yeux


Je le regarde droit dans les yeux


Mon beau père : Allah soubhanou w ta'ala a décidé de le prendre a ses cotés , on peut rien faire nous a part des doua'às , benthi sois forte , c'est une épreuve d'allah soubhanou w ta'ala , ressaisie toi , ne crois pas qu'il te vois pas , au contraire il te vois et il veille sur toi , t'es encore jeune hbiba , ne fais pas sa , regarde ton le fils qu'il t'a laissé sois forte pour t'occupé de Akram , il faut pas qu'il ressent l'absence de son père , sois une mère un père pour lui en meme temps , sofiane sera trop fière de toi crois moi benthi , reste fort car tot au tard on va tous le rejoindre dans le haut de là


Moi : mais papa c'est trop dur wallah , je peux pas non je peux pas , j'y arriverais jamais a résister sans lui


Mon beau père : il le faut benthi , il le faut
Je voyais dans ses yeux Sofiane allah i rahmo Je suis allée me réfugier dans les bras de mon beau papa . après il sort moi je reste allongée sur le lit a moitié endormis , amira était a coté de moi , elle pleurait mais elle me le montrait pas , moi je pleurais en silence tout les souvenir avec mon Sofiane m'ont revenu a la tête je repensais a tout les moment passé a ses cotés , a tout ses je t'aime ...... Yanis vient me voir dans la chambre , dès que je le vois je fond en larmes il vient s'assoir a coté de moi et me prend dans ses bras lui aussi pleurait fort , puis oussama vient aussi et se met a pleurer , Yanis , je voyais sofiane en lui je sais meme pas pour quoi mais quand je le voyais c'était comme si je vois sofiane , dès que je le vois je pleure peut-être parce que il me fait rappeler sofiane


Oussama : les gars on doit y'aller


Elyes : oui vas y Yanis , lila hbiba a tout a l'heure

Moi : vous allez ou ?

Elyes : ................

Oussama : A ....... A la morgue


Moi en pleurant : prenez moi avec vous je vous en pris


Oussama : non lila wallah reste ici sa va te faire plus de mal


Moi : yanis je t'en supplies prenez moi avec vous


Yanis : mais lila .............


Moi : non y'a pas de mais , je veux venir moi


Yanis : d'accord


Amira me donne une jelaba , je la mets et je sort de la chambre pour rejoindre les garçons qui m'attendaient en bas , je croise quelques femme que je connais de vue elle me prennent dans leurs bras me consolent et tout puis je descend je monte dans la voiture , oussama conduisait Nabil a coté de lui et derrière y'avait yanis a ma droite et elyes a ma gauche , le trajet se fit en silence pas aucun mot prononcé par aucun personne , on arrive a l'hopital on descend de la voiture , yanis me tenait par le bras parce que j'avais vraiment du mal a marcher je sentais une faiblesse en moi la terre tournait au tour de moi , passons, Arrivés à la morgue on nous fit entrer dans une chambre elle était froide, les murs étaient blancs, cette chambre était vraiment sans vie il n'y avait aucun meuble juste un gros placard dans le mur. Un homme ouvrit un tiroirs et je vois sofiane allongé dedans. Il avait aucune blessure sur son visage sauf une ... une seule blessure sur la tompe qui était la raison de sa mort ...... allah y ra7mou . en le voyant comme sa je fond en larme encore une fois je mets ma tete sur son torse il était froid il avait quelques griffe je touche ses joues , je caresse son visage , ses lèvre , après je lui fais un bisou sur le front et on me fit sortir , Nabil va parler avec un monsieur et nous on va dans la voiture pour l'attendre , yanis pleurait oussama aussi , sauf elyes qui essayait d'être fort en ma présence .... Après quelques minutes Nabil arrive monte dans la voiture oussama démarre on prend la route pour aller a la maison derrière nous y'avait l'ambulance ou y'avait sofiane ...............



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La mort n'arrête pas l'amour : Chronique pour mon mari Allah y RahmoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant