" Il est minuit et demi
Le vinyle tourne
Toujours
Ce vent d’autrefoisCafé, et encore du café
Ses yeux diamants
Inconscients
Ne se cachent jamaisL’encre des idées
A peine séchée
Et tout est repris
Tout est réécrit à nouveauLe rythme de la basse
Coule à travers son corps
Comme du chocolat fondant
Dans la bouche veloutée
De celle qu’il aime. "— Jules Delavigne, Le vent d'autrefois
VOUS LISEZ
Alda et les haïkus 2
PoesieUn haïku ? C'est le vent du matin qui vient caresser ton visage et défaire ta coiffure !