chapitre 1. Le beau rebelle

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« Vous avez un défaut rare dans votre système immunitaire, votre corps n'a pas la capacité de résisté aux maladie et aux infection. Si vous sortez...vous tomberez malade et vous mourrez. Voila pourquoi vous ne devez pas sortir. » Je me rappelais parfois de ce moment, le moment ou j'ai cherché la liberté. J'avais onze ans. J'ai tenté de fuguer mais mon médecin s'en est rendu compte très vite. J'ai du retourné dans ma prison. Je me souviens de ce jour par cœur puisque c'est la que j'ai enfin appris ce que j'avais. Quand j'étais petite je ne regardais que des dessins animé et m'amusais bien avec mes jouets par milliers, quand je voulais voir l’extérieur on me consolait avec un jouet dernière technologie et j'oubliais mon envie de voir le paysage. Mais à mes onze ans, je voulais découvrir, comprendre pourquoi j'étais dans cette prison.
Alors durant la nuit je suis sortie, personne ne s'y attendait vu que j'étais une fille « sage ». Mais à peine je suis sortie de la deuxième salle que des infirmière m’ont prise et mon remis dans ma prison, le médecin était ensuite venu me sermonner.
Depuis ce jour je ne vie plus heureuse. Je m'étais rendu compte de ma non-existence. Aujourd'hui je ne savais pas quoi faire, je crois bien que j'ai regardé toute les séries de l'univers il me restait plus qu'à les regarder dans toute les langues, oui car à partir de mes 10 ans j'avais choisi  de parler le plus de langue possible. En fait je ne sais pas vraiment pourquoi puisque je ne pouvais parler qu'à des gens d'ici enfin bon au moins cela me permettait de redécouvrir des séries d'une autre façon. Je commença donc à dessiner ce qui ne sortait pas non plus de l'ordinaire. Les infirmière entrèrent vêtu de combinaison pour ne pas me contaminer, une faisait le ménage l'autre me donnait de la nourriture, elle parlait d'un garçon, à priori assez beau vu comment elle semblait baver rien qu'en y pensant. Mais à priori il était malpoli.  En même temps cela ne m'étonnait pas puisque dans les films j'avais souvent vu que les mecs les plus beau étaient aussi les plus con. Je remercia donc le ciel de ne pas avoir envoyer ce nouveau  pour m'apporter mon repas. Quand les infirmières partirent je mangea ce que l'on m'avait préparé, super original steak petit pois, il n'y avait qu'une seule fois où l'on même permettait de manger quelque chose qui soit disant est mauvais pour la santé, c'était le jour de mon anniversaire j'avais droit au hamburgers frite et glaces.  Pourtant il y avais tellement de chose que je voyais dans les films dont je rêvais. Demain se sera enfin mon anniversaire et j'aurais le droit à sa. Quand j'eu fini mon assiette j'appuya sur le bouton d'alerte pour signaler qu'ils pouvait débarrasser. A ma grande surprise ce n'est pas les infirmière habituelle qui arrivèrent mais le nouveau. Enfin, il n'y avais pas écrilégèrement sur son front mais je l'ai tout de suite reconnu. Mon cœur se mit à battre très vite. C'était la première fois que je voyais un beau garçon dans la vraie vie. Il devait mesurer 1metre 80 vu comment il était grand, ses cheveux noir étaient très épais en bataille et ses yeux d'un vert profond. Il doit sûrement se la jouer rebelle vu que sa gilet blanc d'infirmier est totalement déboutonné et qu'il portait une chemise rouge et noir légèrement déboutonner en dessous. Et c'est la que je commença à réfléchirais il n'est pas en combinaison?!".
-Hum euh, tu sais qu'il faut une combinaison pour rentrer ici?
-Hein? Une combinaison mais qu'Est-ce que tu me raconte t'es en quarantaine ou quoi, me répondit-il sèchement.
-Eh bien..Je ne dois pas être contaminer.
-Nan mais t'es super maniaque comme fille toi, me répondit-il en débarrassant mes couverts.
Je voulus l'engueuler mais il était déjà parti sans même un au revoir. Il m'avais mise sur les nerfs.  Ces mots résonnaient en moi " t'es en quarantaine ou quoi" si il savait... Je suis la depuis tellement de temps... Je n'arrêtais pas de penser à lui, je n'arrivais pas à dormir. Quand, enfin, je vît huit heure afficher sur l'horloge. Aujourd'hui j'avais 18 ans. Super. Les infirmières en m'apportant mon petit déjeuner me disait comme "c'est super sa" "tu es une grande maintenant". Les autres eux pouvait sortir de leurs maison, cherchais un travail, continuer leurs études ou même sortir avec leurs petits copain. Mais pour moi, cela ne m'apportait qu'un ans de plus dans cette prison. Enfin il était l'heure du repas et j'avais tellement hâte de manger des frites... Oh non. Il entre...Pfff. Bien évidemment il ne me dit pas bonjour mais il était en combinaison ce qui était fort étonnant.
-Tiens voila ta nourriture d'hôpital dégueu et joyeux anniversaire.
Super.
-Mais c'est pas dégueu! C'est le meilleur truc que j'ai jamais mangé !
Il se met à rire, ce qui lui donne un air mignon.
-Tes trop drôle comme fille, mais puisque tu le dis je vais vérifier sa... me dit il en me piquant une frite puis la recracha aussi tôt.
-Nan mais !  Tes vraiment con, j'ai sa qu'une seule fois par ans alors quand tu me pique de la nourriture la recrache pas  quoi..-Eh ben dis donc, c'est fous ce qu'on est poli. Dit-il d'un ton moqueur. Mais franchement avoue que c'est dégelasse si c'Est-ce que tu as mangé de mieux dans ta vie bah j'ai peur pour toi.
Une fois de plus il m'énervait, en plus c'était la première fois que je disais un gros mot, ce mec avait vraiment le don de me mettre hors de moi.
-Ouai bah, t'as raison d'avoir peur pour moi par ce que tu vois moi je suis pas comme toi hein je peux pas faire ce que je veux.
-Qu'est ce que t'en sais d'abord que je peux faire ce que je veux miss maniaque ?
-Par ce que sa m'étonnerai que tu sois enfermer dans une cage depuis ta naissance.
Il ne parlait pas, il semblait étonner.
-Attend, t'as quelle âge?
-Je viens d'avoir 18 ans aujourd'hui.
-Mais, fin, je veux dire t'as bien des jours libre pour sortir nan?
-Non, si je sors j'attraperais des maladies et je mourrais.
-T'exagère nan ? Tu va pas mourir à cause d'une petite maladie t'es pas obligé d'en attrapper..-Je peux mourir d'un simple rhume tu sais..
-Mais c'est ouf.. Donc t'es jamais sortie d'ici?
-Jamais.
-A ta place je serais dingue, je me serais sûrement enfuit.
-J'ai déjà essayer mais on m'as rattrapé...
Il me parla pendant des heures en me posant pleins de questions , quand, il se rendit compte qu'il devait partir.
-En fait, tu t'appelle comment ?
-Rebecca et toi?
-Gabriel. Bon, ba salut.
Waw. Il m'as dit au revoir. En fait il est plutôt...sympathique. Bon il parle mal mais bon. En fait je réalise que c'est la première fois qu'on semble réellement se poser la question de si je me plait ici. Il venait de partir et pourtant j'avais déjà hâte de le retrouver... Malheureusement il me faut attendre demain après midi pour le revoir. Maintenant que j'y pense hormis son prénom il ne m'as rien dit de lui... D'ailleurs qu'est-ce que beau gosse rebelle faisait la en tant qu'infirmier ? Bon je ne dois pas faire de préjugé.
Je venais de manger mon repas du soir et je ne faisais que m'ennuyer, j'ai l'habitude pourtant là je m'ennuie encore plus... La seule chose que je souhaite en ce moment c'est parler à Gabriel... C'est première fois que je parle autant à quelqu'un d'autre que ma famille et en plus je dois avouer qu'il est vraiment, vraiment très beau... J'essayais de dormir mais la seule chose que je pouvais voir c'était ses yeux verts si profond. La première
fois que je l'ai vu je pensais qu'il était juste un beau gosse qui se la pète pourtant je vois quelque chose de triste dans ses yeux. J'aime rais tellement savoir ce que c'est.

Les semaines passèrent et nous nous rapprochions de plus en plus mais vînt le jour où mes parents devaient me rendre visite.
 
C’était le matin je m’étais maquiller pour une fois et m’habillais autrement 
qu’en pyjama. J’attendais donc midi avec impatience.
-Salut miss maniaque.
-Mais euuuuh, pourquoi tu continues de m’appeler comme sa alors que tu sais que je n’y suis pour rien, dis-je en faisant la moue. 
-Ba je trouve sa drôle comme surnom dit-il en me frottant les cheveux.
-Mais tu n’as pas de gants !
-Rooh ça va tu vas pas être malade en deux seconde et je me lave les mains si sa peut te rassurer.
-Mouai.
Par la suite on se parla pendant des heures il regarda même les séries avec moi, on ne faisait que rigoler pourtant il ne me parla toujours pas de lui.
Gabriel me lança un coussin dans la figure je lui rendis le coup puis il commença à me chatouiller je me tortillais tellement de rire que je tomba sur mon lit et qu’il se retrouva allonger au-dessus de moi. Il s’arrêta. Il me regardait droit dans les yeux. J’avais l’impression d’être dans un de ses films à l’eau de rose. Mais il était si beau, je ne voulais pas que ce moment s’arrête.
-Dit moi Rebecca, si tu es la depuis ta naissance, ça veut dire que tu n’es jamais sorti avec personne ?
La porte de ma chambre s’ouvrit et Gabriel se redressa d’un coup pour faire comme si de rien n’étais c’étaient mes parents qui venaient me rendre visite, Gabriel parti sans me dire au revoir.
Une fois de plus je demandais à ma mère si je ne pouvais pas sortir dehors rien qu’une heure mais elle me sermonna durement, alors je tenta de sortir de ma chambre, quand j’ouvris la porte je tomba nez à nez avec Gabriel il semblait écouter la conversation. Je voulais lui demander ce qu’il faisait mais il partit sans dire un mot. Mes parents me ramenèrent de force dans ma chambre.
Une foi au lit, je me demandais si mes parents avaient raison. Je voulais tellement voir ce dehors mais en même temps je ne voulais pas mourir enfin même si on peut dire que je ne suis pas en vie non plus. Mais ces derniers temps je trouve ma non-vie moins…ennuyante depuis que j’ai rencontré Gabriel.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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⏰ Dernière mise à jour : Jan 25, 2017 ⏰

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