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Dans mon monde il existe quatre royaume celui de l'eau, du feu, de l'air et de la terre et tous les ans lors de nos 16ans on doit passer une année à s'entraîner pour déterminé qui seront les prochains roi et reine de notre royaume. Depuis toujours ma famille gagne à ses jeux et reigne sur le peuple de l'eau. Dans chaque royaume, chaque peuple à des capacités et pouvoir différent. Le peule de feu résiste évidemment au feu et on des pouvoirs en rapports avec leurs éléments comme les autres, le peuple de l'air peut voler, le peuple de la terre peut se métamorphoser en animal quand à mon peuple nous pouvons logiquement respirer sous l'eau.
Moi honnêtement j'ai rien demander la pression qu'ils me mettent depuis le berceau me donne juste l'envie de partir, j'ai toujours eu envie de visiter les autres royaume, les autres villageois avaient le droit à leurs risques et périls comme disait mon père, mais en étant de cette famille je me ferais automatiquement kidnappé ou mal mené. En gros on pourrait se servir de moi comme money d'échange ou de rat de laboratoire. Vous vous doutée bien que l'école à domicile a été une obligation et toute sortie potentiel interdite ou accompagné de trois gardes, rien de très discret je vous assures. Je n'es qu'un seul ami il s'appelle Enzo, c'était le fils du cuisinier. Je l'adorais, et ne croyez pas que parce que j'étais enfermé je ne faisais pas de connerie, au contraire la moindre bêtise me sautait au bras et bien sûr Enzo était toujours avec moi, il disait que j'avais le sourire espiègle et les yeux remplis d'étoile. Mon père n'aimait pas trop notre relation mais étant donné que mis à part lui mes relations se limitais à des gens de plus de 40 ans il ne pouvait rien dire.
Oups je ne me suis même pas présenter moi c'est Corail mon père dit m'avoir appeler comme ça parce que mes yeux était bleus comme la mer et qu'un prénom commun n'était pas adapté à une petite fille bizarre. Je m'entendais super bien avec père, ma mère était morte en m'ayant mise au monde et il prenait donc soins de moi comme d'un bijou, au début ma mère et lui ne s'aimait pas ils avaient seulement gagné tous les deux au jeux mais avec le temps des sentiments avaient prit places, c'étaient les seuls qui avait fini par s'aimer pour de vrai, mes grands parents eux, c'étaient séparé directement après que mon père ait gagné mais ça n'empêchais pas qu'ils aiment mon père et moi de tous leurs cœur.

Premier jour dans les jeux.

Comme promit Enzo était reste vers moi, il m'avait présenté à ses potes : un blond avec la tête des garçons dans les magasines s'appelait Max, un brun d'environ une tête de plus que moi avec des yeux vert me regardait fixement, il s'apllait Dylan, quand Enzo s'en rendit compte il lui donna un léger coup de coude qui le fit sourit et détourner le regard, autant j'avais un ans de plus qu'eu au niveau des épreuves seulement en vie quotidienne j'en avais seize de moins je ne savais pas ce que pouvais signifié ce genre de regard de la part d'un garçon. Beaucoup de fille tournait autour d'eux c'était assez drôle à voir je ne le pensais pas si convoité.
De toute manière Enzo m'avait promit qu'il gagnerait et que nous resterions ensemble.

C'était la première fois que je voyais autant de garçons et de filles de mon âges, quand nous fûmes arrivé les filles qui se connaissait toute pour la plus part c'était réunis, Enzo m'avait dit de les suivre avec mon sac et de trouver les chambres pour m'installer. C'est ce que je fis, toute me regardait de haut en bas et se chuchotait je ne sais quelle genre de remarque à mon sujet, cette situation m'avais mît mal alaise j'avais donc poser mes affaires et pris la porte.
Je me baladais de couloir en couloir sans vraiment trop savoir si j'avais le droit, tant pis j'avais déjà réfléchis à une excuse de toute manière. Soudain je sentis, sa sentait l'eau et l'humidité, nager était devenu mon seul objectif soudain j'ouvrais la porte une espèce de gigantesques rivière artificielle était devant moi soudain je m'approchais de l'eau j'entendis un léger bruit je me retourna immédiatement c'était Dylan, je fronça les sourcils.
Il sourit et vin s'assoir à côté de moi en mettant ses pieds dans l'eau. Je n'osais plus bouger, je tournais la tête et le regardais pendant un bon moment, son air mystérieux lui allait bien, il était presque craquant.

King's GameOù les histoires vivent. Découvrez maintenant