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Le reste du repas se déroulais plus que bien, ça faisais du bien de rire de nouvelle chose avec une nouvelle personnes. On se moquait l'un de l'autre en se dévorant des yeux, le regard d'Enzo et ses potes étaient rivés sur nous, ce qui nous amusais d'autant plus !
Son côté mauvais garçon me faisais me sentir libre comme le vent.
Quand on eut fini de manger je lui souris en commençant à retiré le pull pour lui rendre.

- Non que l'idée de te voir en débardeur me déplaise, au contraire. Mais garde le tu vas prendre froid

Je lui mis un coup dans l'épaule pour sa remarque, et le remerciais puis parti rejoindre Enzo dans l'entrée.

Il était assis un peu plus bas dans l'escalier, je m'arrêtais une marche au dessus de lui et attendais qu'il dise quelque chose. Il avait la tête entre les mains et fixait le sol. Ses cheveux était d'une couleur bien à lui, je ne vous en ai pas parler? Il avait les cheveux blancs comme la neige, et les yeux bleus comme l'océan. Son corps musclé était souvent habillé de teeshirt basic un peu trop long. Quoi qu'il en soit il coupa ce silence.

- Enlève ce pull s'te plait.

J'enlaçais mes bras autours de mon pull et levais la tête au plafond, il faisait beaucoup trop froid pour l'enlever puis je dois avouer que c'était aussi pour me venger de son cirque de tout à l'heure.
Il soupirait, se levait et se mît face à moi, en étant une marche plus haut je faisais sa taille, d'espérèrent pensais-je.

- On va gagné les jeux et on repartir ensemble, et plus jamais il posera les yeux sur toi.

Habituellement j'adorais quand il disait ça seulement là ça ressemblait plus à un ordre qu'autre chose et l'idée de retourner au château ne me faisais absolument pas rêver, je voulais découvrir et m'amuser, je voulais récupérer les seize années qu'on m'avait voler en m'enfermant là-bas.
Je répondais sans réfléchir mais dans le pire des cas qu'est-ce que ça aurait changer.

- Et si je veux pas?
- Comment ça si tu veux pas?
- Si je veux rester dehors.

Il se rapprocha et pris ma tête entre ses mains en me regardant dans les yeux, j'aurais voulu les fermer mais ça aurait été faible de ma part.

- Je te suivrais partout où tu iras, et quand tu ne voudras plus de moi je surveillerais tes arrières dans l'ombre.

Je ferma les yeux, j'avais envie de pleurer, c'était touchant mais frustrant à la fois. Il ne parlait plus et partait rejoindre son dortoirs j'en fis de même, sans prendre le chemin le plus rapide mais en faisant de même. Je vagabondais de couloir en couloir cherchant des réponses à mes questions. Pourquoi Dylan est si gentil avec moi? Pourquoi j'ai dis ça à Enzo? Je ne regrettais pas seulement ça me faisais de la peine de l'avoir remballer comme si de rien était. Quand je rejoins mon dortoir je croisais une fille entrain de fumer une cleup devant l'entrée, j'avais ce mauvais réflexe d'observer longuement les gens, ce que je fus évidement.

- Alors la belle bien t'as première journée.

Elle ne me regardais pas, pourtant je savais qu'elle me parlait, ses longs cheveux roux laissais à paraître ses grand yeux marrons et mystérieux. Sa voix était assez gave et elle sentait la clup à plein nez. Je répondais d'un signe de tête et la regardais en attendant une réponse, je réfléchis à ce que m'avais dit Enzo et j'essayais aussi tôt de faire connaissance avec elle.

- Moi c'est Corail, et toi?
- Je sais, tous l'monde le sait, moi c'est Iris.

Je souriais pour paraître poli, puis nous commençâmes à parler jusqu'à ne plus s'arrêter. Et c'est comme ça que je fus la connaissance de celle qui allait devenir ma meilleure amie, Iris. Elle était spéciale, rebelle et drôle sous ses airs de méchant loup elle restait une gentille fille.

Le lendemain elle me raconta ses journées passées avec Alan un garçon de feu qui était son petit ami, ils c'étaient promis de se retrouvé après ces jeux qu'elles qualifiaient d'idiots, le fait qu'il soit de feu ne la dérangeait pas, "les contrèrent s'attire ma belle" me répétait-elle souvent. Quand à moi je lui avais raconter l'histoire d'Enzo et de Dylan, en lui promettant de lui raconter la suite en détail.

Plus tard dans la journée on nous conviait à l'accueil, pour les futures épreuves, des groupes devaient être fait. Et confidence ou non, le miens fut comme vous vous en doutez constitué d'Enzo, Dylan, Iris et un type nommé Tim. Vu le clin d'œil du prof, il avait dû faire en sorte que je ne me retrouve qu'avec des gens que je connaissais et puis tant mieux, après tous il n'y a pas que des désavantages à être la fille du roi! Vu le visage d'Enzo il n'était pas aussi contant que moi, Tim était un de ses potes ce qui s'amblait le rassurer. Iris me chuchota dans l'oreille :

- La bonne paire.

Je laissais échapper un léger rire quelle partagea avec moi. Chaque groupe avait une cabane constituer de quartes pièces : salon, salle de bain, chambre des garçons et chambre des filles. Ce qui voulait dire que Dylan et Enzo dormirait l'un à côté de l'autre.
Enzo parlait avec Tim et Iris tandis que Dylan avait disparu, je décidais de partir à sa recherche, après tous il n'y avait pas de raison qu'il ne soit pas avec nous on était un groupe. Je descendus plus bas dans le chemin, il était là assis contre un arbre et regardait son portable.

- Tu m'envoies un message?
Dis-je en riant.
- Exact mais entre le manque de réseaux et le numéro que tu ne m'as jamais donné j'ai un peu de mal.

Dit-il en se levant pour se mettre face à moi, je ria puis baissais la tête sur son portable sans qu'il ne le remarque. "Ce n'est qu'une question de temps" c'est ce qui s'affichait dans les derniers messages envoyés à un type nommé Ethan. Je relevais les yeux rapidement sans poser de question, je devais en savoir plus.

- C'est mon pull?
- Oui

Il souriait, je sentais qu'il avait une idée derrière la tête, il relevait un peu le pull, ce qui laissait apparaître le bas de mon ventre, puis le relâcha.

- Rend le moi
Annonça t-il avec un sourire coin.
- Maintenant?
Il hocha de la tête
- Mais j'ai rien en dessous!
- Je sais, justement.
- T'es fou!
- C'est ce qui t'plais façon, non?
- Sans doute.

Il riait en levant la tête au ciel, puis nous retournâmes au chalet en se poussant à tour de rôle. J'étais bien avec lui, j'étais libre d'être qui je voulais, de faire ce que je voulais.

King's GameOù les histoires vivent. Découvrez maintenant