29- Une petite vie de prise.

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Pdv Ea.

Cela faisais 5h que j'endurer un supplice, j'allais de salles en salles et de 1, Lise, MON amie, etait devenu la meilleure amie de Aphrodite. De 2, la meute me regarde comme si ils avaient peur que je l'ais tue. Bon ok, pour ca ils n'ont pas tord, et de trois, je suis entrain de regarder Aphrodite pose sa putain de main sur le bras de mon Raziza ! Bordel de shit. J'ai envie de les tués, tous au temps qu'ils sont. Mais personnes ne voient rien, je suis sans émotions. Mon visage fermer.

Enfin sa sonne j'en peu plus, jy tiens plus. Jvais tué quelqu'un. Je le sens. Je m'éloigne et rentre dans un bus scolaire.
Et talame, qui vois-je assise par terre entrain de pleuré ? Elle me regarde et se leve.

- Pourquoi pleure- tu Lise ? Lui demandai-je d'une voix trop douce.

- Ea.

Voyant que je ne faisais rien elle me dit
- Seb et moi c'est fini.
- O quel dommage. Cela doit etre le Karma ma chere. Tu sais, je deteste les traitres. Je l'ai hais. Mais alors les faux culs, cela, je ne leurs laisse meme pas la moindre chances. Je t'avais deja dit que j'avais quelques problèmes dans ma tete ? Je suis légèrement psychopathe...

Et sur c'est mots, je me jetta sur elle, ou plutot sur sa carotide. J'asspira son sang, sa vie, son essence. Mais quelque chose me retient, je voulais quelle souffre, quelle est peur, alors je m'arreta, et je lui souffla a l'oreille avant qu'elle ne s'evanuie.

 Mais quelque chose me retient, je voulais quelle souffre, quelle est peur, alors je m'arreta, et je lui souffla a l'oreille avant qu'elle ne s'evanuie

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- Tiens toi prete, parce que je viendrais te chercher.

Et sur ses belles paroles j'enleva les traces de mes canines, la laissa glisser au sol et netoya le coin de ma bouche, puis partie.

Javais fini les cours, et les suivents avaient deja commencé, ce qu'il faisait que jetait toute seule dans les couloirs, enfin jusqu'à qur je sente une odeur, Aphrodite.

- Mais qui voila donc ? Que me vaut le déshonneur de voir la plus grande des putes ?

- Je ne suis pas une putes.

- Au temps pour moi, c'est vrai que toi tu te fait pas payer pour sucer. Ques que tu veux ?

- Que tu repartes, que tu nous laisses tranquille.
- A bon, et pourquoi ferais-je cela ?
- Je ne te laisserai pas faire.
J'explosa de rire et lui repliqua
- Tu crois que toi petite caméléone de rien du tout ferais le poids face a moi, la Ténèbras ? Enfin voyons, allez rentre chez ta mere et j'oublierai ce petit égarement venant de toi.

- Je ne te laisserai pas reprendre ma meute.
- Ta meute ?
- Oui ils sont a moi.

Sur ses mots je vis rouge, alors je laissa place a mes yeux multicolors indice de ma totale liberation de caméléon, le gauche etait quand a lui rouge, argentée, mes crocs et canines sortirent, javais lair d'une vrai prédatrice, d'un vrai monstre. Et elle etait ma proi.

- Ta meute ? Répète-je d'une voix trop douce.

- Oui, a moi.

Sur ses mots je m'elanca vers elle, la pris par les bras, et la balanca contre les casiers.

Une fois écroulé par terre, je lui mis un violent coup de pied et la saisi par les cheveux

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Une fois écroulé par terre, je lui mis un violent coup de pied et la saisi par les cheveux.

- Ce n'est pas ta meute, tu n'auras jamais ce privilège, ne joue pas avec moi Aphrodite, tu perdera a coup sur, je suis la Ténèbras, et plus important, je suis Ealyope-Eras Ténèbras Carlydad.

Et sur un ultime coup de pied je la laissa pas terre étalé sur le sol toute seule, la tronche en sang.

A bordel, javais et un pere a tué, et une vengeance a préparé.

🔻🔻🔻

Il etait 19h et javais encore des choses a faire, je sortie et pris mon As. Je roula vite bien entendu, puis fis un magnifique créneau devant l'hôpital. Je me rendit invisible puis passa l'accueil tranquille, arrivé a destination je me rendit a nouveau visible, avec un mouvement de recule, et un Oh de peur, ma victime se cogna la tete contre son lit. Elle voulu hurler mais je ne lui laissa pas le temps et lui bloqua les cordes vocales. Elle essaya de bouger et de me supplier sans grand succès. Les larmes degoulinent de son visage, elle me regarda prendre un oreiller, et m'approchez d'elle, paralysé, ne pouvent plus parler, seuls ses larmes couler a flot.

- Une dernière volonté?

Elle me regarda avec peur, horreurs, et resignation.

- Non, tres bien. Lui dije en rigolent.

Alors je lui mis l'oreiller sur sa tete et appuya, je sais quelle souffra pendant au moins 1 min, puis ce fus fini, elle etait morte. Un cadavre sans vie.

Je replaca l'oreiller sous sa tête, et quitta cette chambre me rendent a nouveau invisible

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Je replaca l'oreiller sous sa tête, et quitta cette chambre me rendent a nouveau invisible.

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TénèbrasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant