Chapitre 34

325 22 1
                                    

.... C'EST QUOI TOUT CES CRIS BORDEL?

Moi: papa?

Aymen se retourne vers lui, le regarde pendant une bonne minute et sors de la chambre. Mon père le suis du regard avant de me fixer.

Papa: Que ce qu'il s'est passé?

Moi: Euh.. Rien on... On.. S'est un peu.. Disputer a cause... De...

Papa: C'est bon je comprend que tu ne peux pas me raconter tes problèmes avec ton mari.

Mon mari? Si seulement tu savais papa. A ce moment j'ai souhaitais que ma mère sois avec moi, pour lui raconter et demander son aide, l'aide que j'ai jamais eu dans mon enfance, la mère qui ne m'a jamais montré son amour.
Mon père sort en fermant la porte, je me met sur mon lit et pleure comme jamais, je voulais appeler Mel et Yous mais elles étaient très heureuse avec leurs mecs que je ne voulais pas les dérangés. Après 30min, je me lève et rentre dans ma salle de bain pour prendre une bonne douche, je descend pour prendre mon petit déjeuner et remonte dans ma chambre, j'ai décider de sortir seule cette fois, sans Mel sans Yous sans Aymen sans personne. J'étais toujours en serviette autour de mon corp vu que j'étais seule a la maison, mon père est sorti faire les courses et Mehdi est sorti avec ses potes. Je mis une robe qui m'arrive jusqu'au genoux blanche avec des fleurs, avec des sendalle noir avec une petite veste en Jean. Je met un chinion et me maquille très simplement, pris mon sac en jean et sors de la maison. Je me suis dirigé au parc qui étais a 30minute de chez moi.

J'étais assise sur un banc toute seule, j'ai senti que quelqu'un me surveillait, je me lève pour rentrer, c'est vrai qu'il y avait du monde mais j'avais quand même peur. Je me lève et rentre dans un magasin de jouets, pas pour acheter, mais pour me cacher.

.....: Bonjour mademoiselle, comment puis-je vous aider.

Moi: euh, Bonjour je voulais juste savoir si vous avez des enfants pour bébés nouveau né.

La damme: Ouais suivez-moi.

Elle me montra tout les jouets pour enfants, ça ne m'intéressait pas vraiment, mais en voyant toutes ses mères avec leurs enfants et leurs maris, je me suis sentis si triste, mais aussi super heureuse que j'ai totalement oublié la réelle cause qui m'a faite entrée ici. Je pris un petit jouet super mignon et sors du magasin direction ma maison.
Le mec avait disparu, enfin c'est ce que j'avais cru. Je me dirige vers la maison, ou y'avait Aymen assis sur le canapé en train de regarder la télévision comme ci de rien n'était. Et Mehdi dans sa chambre entrain de jouer à la Xbox, mon père était toujours pas là.
Je me dirige vers ma chambre et m'enferme à clé. Après avoir pris ma douche je me mets sur mon lit ensuite j'ai pris le jouer que j'ai acheté tout à l'heure au magasin de jouer, et le regarda ou presque joua avec. Je voulais bien avoir des enfants, ou une relation amoureuse, un homme qui m'aime ou des enfants qui me rappellent que je serai jamais seule tant qu'ils seront vivants. Des larmes que je n'ai essayé d'empêcher de couler, coula sur mon visage. Je pose le jouet sur ma table de nuit devant ma tête et pris mon ordinateur portable pour me connecter un peu.... ou plutôt m'éloigné un peu du monde réel. Je me connecte sur Facebook et vaisors voir les profils de mes copines de lycée. La plupart d'entre eux étaient avec leurs mecs, super heureuse, alors que moi je vivais les pires moment de ma vie malgré que je n'ai même pas eu mes 20ans.
Je me déconnecte tout de suite et dors directement.

Je vous passe deux semaines.

on était Samedi, mon père était sorti et Walid était parti chez son pote, tant dis qu'Aymen avait sois-disons du bollot, sue qui fait que j'étais seule à la maison. Je me suis mise en pyjama car je venais de rentrer du centre commercial après avoir fais des courses. Je prépare du pop corne et pris des boissons et monte dans ma chambre pour voir un film ou plutôt plusieurs films d'horreur, je m'installé confortablement sur mon lit douillet et regarde le film "Saw 6". Quand j'entends mon phone sonner ce qui m'à vraiment flippé. Je le pris et vis que c'était Aymen, je vais pas vous mentir j'étais vraiment dégoûtée à cause de lui, rien ne s'est arrangé entre nous durant ses deux semaine, je le haïssait de plus en plus, je réponds malgré tout au coup de fil.

*Conversation téléphonique avec Aymen*

Moi: Oui ?

Aymen: Ahlem?

Moi: oui que puis-je pour vous?

Aymen: arrête de faire la conne.

Moi: D'OÙ TU ME TRAITE DE CONNE TOI?

Aymen: MAIS PUTAIN TA GUEULE ON PEUT MEME PAS TE PARLER.

Moi:  MAIS QUE CE QUE TU VEUX DE MOI ENCORE?

Aymen: JE SUIS AU MCDO, C'ÉTAIT POUR TE DEMANDET TU VEUX QUOI POUR SE SOIS PUTAIN DE MERDE.

Moi: FAIS PAS LE GENTIL AVEC MOI, JVEUX RIEN MERCI.

Aymen: J'ARRIVE JE TE JURE TU VAS....

*Fin de la conversation*

Je lui raccroche au nez sans le laisser répondre, mais j'avoue que j'avais une faim  de loup, mais j'ai pu me retenir difficilement, ma fierté avant tout frère. Je pose mon téléphone et continue le film calmement.
Je remets un autre films et encore un autre, mais je sentais que je n'étais pas seule, quelqu'un étais là, je sors de ma chambre et me dirige vers la cuisine pour prendre un couteau malgré que je n'avais pas le courage de l'utiliser, ainsi que le pot de pop corne dans l'autre main. Je marchais lentement en regardant dans tout les sens, je me suis sentis dans l'un des films d'horreur que je viens de voir, arrivée au salon, je vis que la fenêtre était ouverte, je la ferme et remonte dans ma chambre mais je sentais toujours la présence d'une personne ans cette maison.

Moi: Y A T'IL QUELQU'UN ?

Aucune réponse c'étais juste l'on imagination. J'allais me mettre dans mon lit que je sens quelqu'un se met derrière moi et me mets un mouchoir dans ma bouche, j'essaye de me sauver mais sans succès, je lâche le pot de pop corne et puis .. Trou noir.

Je me réveille avec un mal de tête atroce par quelq'un qui me jette un seau d'eau sur le visage. J'étais assise sur une chaise, les bras et les jambes attachés avec un scotche super épais, il fesait noir, il y avait une simple lumière très faible, je pouvais à peine voir son visage.

......: Tu t'es enfin réveillée?

Moi: Ouais à ce qui paraît. OU SUIS-JE ?

....: t'inquiéte on va rien te faire le boss arrive et vous réglerez vos comptes tout seule.

Moi: D'où je connais votre putains de boss moi?

.....: Je vois que tu fais la forte salope.

Moi: Non mais pour qui tu te prends toi de me traiter de saloperie espèce d'enculé.

....: FERME TA BOUCHE.

Il tire un pistolet de son pontalon, j'avais vraiment super peur mais je ne voulais pas montrer ma peur.

Moi: On est pas dans un film là si tu tire on va pas refaire la scène et y'aura pas d'autres acteurs et....

.....:*en me coupant* T'as  de la chance que le boss te veut vivante.

J'étais vraiment rassurée d'entendre ça. Quand j'entend une vois assez familière.

Un autre: C'EST BON SORS D'ICI

.....: Ouais boss.

Le Boss: alors ahlem, on fait plus la meuf forte.

Je pouvais à peine le voir à cause de la luminosité.

Moi: je crois que vous vous êtes tromper monsieur je m'appelle Imene.

Le boss: hahahahahahahahahaha

Moi: je suis drôle je sais.

Le boss: je vois que tu ne m'as pas reconnu.

Moi: Non je vois rien.

Il s'approche de moi, et à chaque pas, mes battements de coeur s'accélérait. Arrivé à ma hauteur je l'ai enfin vu.

Moi: NON PAS TOI.

Le boss: si c'est moi *sourire pervers*

Ouais c'était vraiment lui........

Ahlem: Mariage  ForcéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant