Chapitre un

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- Chut, arrête. Ne te débats pas.. Je t'ai dit d'arrêter. Personne ne t'entends ici tu le sais. Mais tes cris ne changeront rien.. J'adore ça d'ailleurs.

La jeune femme est suspendu à une poutre très solide. Ses poignets sont attachés à l'aide de cordes et d'adhésif. Il faut toujours prendre ses précautions.

- Tu sais depuis combien de temps tu es ici ? Demandais-je avec un petit rire.

Bien sur qu'elle ne sait pas. Les tortures que je lui ai fait subir lui ont fait perdre toute notion du temps. Pour elle,cela dure peut être depuis plusieurs mois, tellement sa douleur est intense. Mais je ne garde jamais mes jouets plus d'un mois. Passer ce délai, je les trouve ennuyeux.

- Cela fait 1 mois, jour pour jour que tu es ici. Tu te souviens de notre première rencontre ?

Je lâche un petit rire après avoir poser cette question. Bien sur que non, elle ne s'en souvient pas.

- Tu étais entrain de rire.Enfin que dis-je, de te moquer de moi avec tes amies. Je l'ai bien vu.

Malgré ses cris, je m'approche de ma proie et lui susurre à l'oreille :

- Ne t'inquiète pas. Si elles ne se moquent plus, je ne les attraperai pas

Des larmes commencent à rouler sur ses joues. Comme si elle ne savait pas de quoi je parlais. Comme si j'avais inventer cette histoire. Mais je l'ai bien vu dans ses yeux que c'était de moi qu'elle rigolait ce jour là.


- Je te propose un dernier jeu Capucine. Doucement, je vais t'arracher la peau. Oui tu as bien compris. Mais ne t'inquiète pas, je vais t'endormir pour faire les premières découpe. Et arrête de me faire ses yeux suppliants,remplit de larmes. Cela m'exaspère.

J'attrape mon scalpel et délicatement, je me met à jouer avec ses nerfs et son angoisse. Je passe la lame sur sa joue, puis le long de sa poitrine pour descendre ensuite vers son ventre. Je rigole doucement. Puis, passe avec envie mon scalpel sur les parties intimes rasées de ma proie sans défense.Enfin, ma lame arrive sur ses chevilles. Lentement, je remonte vers son cou et puis, à l'aide de ma main libre, lui enfonce la seringue dans son cou et y déverse le produit. Peu de temps après, elle tombe endormi. Ajustant mes gants, je sens sur mes lèvres se dessiner un sourire. Doucement, je sens ma lame s'enfoncer dans sa peau et je m'arrête juste avant que celle-ci ne transperce la chair.Je me met à découper le contour de son buste. Je sens le corps de Capucine se crisper mais cela ne m'empêche pas de poursuivre mon action. Bientôt, elle serait dépecer. Déjà, ses gémissements parviennent jusqu'à mes oreilles et son sang coule le long de mes gants.
Ne pas aller trop vite, ne pas être trop brusque, sinon je risque de faire une connerie. Je prends une grande inspiration et continue mon travail. Après avoir découper une bonne partie, je pose mon outil de chirurgie et je m'assied en face d'elle.

Après une bonne vingtaine de minutes, je la vois ouvrir les yeux. Je ne peux faire que sourire en voyant son visage exprimé de la douleur.Avec envie, je m'approche d'elle. Je le vois essayer de se débattre.Son regard se pose sur sa poitrine et un cri sortit d'entre ses fines lèvres. Je me sens frissonner. Quel doux son. Arrivé assez proche d'elle, je prends un petit morceau de peau entre mes doigts. Elle se met à crier de plus belle quand méticuleusement je me met à ôter son épiderme. Je ne peux m'empêcher de me mordiller la lèvre inférieur, tant ces hurlements me rendent heureux.

De ma main droite, j'attrape mon scalpel pour essaye de décoller un morceau de peau qui ne veux pas se retiré. Je serre les dents.Aller. Détache toi.. Jt'en pris.

Pris d'un spasme, Capucine fait un mouvement brusque et en moins d'une seconde, son sang se mit à se déverser sur la table d'opération. Mes yeux s'écarquillent.A cause d'elle, ma lame est rentré trop profondément et à sectionner l'artère pulmonaire. Non... Non. Non !

Le sang coule avec abondance le long de son corps et gicle sur mon tablier.. Il coule dans un sceau, prévu à cette effet, placé en dessous de son corps suspendu. Mes yeux se plongent dans ceux de capucine qui commencent petit à petit à ne plus donner signe de vie. Ses cheveux que j'avais teins en blond tombe le long de son torse et se couvre petit à petit de son sang.

- Merde !Bordel ! Criais-je

Avec rage, je lance mon scalpel à travers la pièce. J'enlève mes gants, les lancent à terre puis pose mes mains sur ma tête. Mes mains jouent avec des mèches de cheveux blonds puis mes doigts se resserrent assez fort pour que j'ai mal. Je m'approche instinctivement d'un mur et y met deux coups de poings. Merde. Je ne pensais pas que c'était aussi dur. Prochaine fois, pensée à immobiliser plus la victime ou à découper mieux.Je me masse la mâchoire tout en réfléchissant. Je fini par soupirer doucement. J'espère trouver un nouveau jouet, je commence déjà à m'ennuyer. Sans une pensée de plus, je vais ramasser mon scalpel et le nettoyer puis, je vais détacher l'étudiante pour la placer sur la table d'opération de basse qualité. J'attrape ensuite la scie circulaire et me dirige vers le corps inerte de Capucine.Comme une machine, j'enfile des gants.

- Et dire que tu m'avais sembler sympathique quand je me suis occuper de ton inscription...Mais bon. Soit.

Je met en marche la scie et commence à couper l'étudiante en petit morceau... en tout petit morceau. Le sang ruisselle entre mes doigts. Moi je souris. Ce soir,dîner spécial à la Nathaniel.

Je prends donc un malin plaisir, à arracher bout à bout la chair présente sur ses os.Puis, à l'aide de mon scalpel propre, je me mets à découper finement la chair pour qu'elle soit plus rapide à cuir.


Après avoir fini le découpage, je met toute la viande dans un grand sceau. J'enlève mes gants et mon tablier. Je me regarde dans le seul miroir présent dans la pièce, et me rends compte que ma peau est couverte de rouge.Heureusement, personne n'est encore à la maison. Je me met rapidement à tout nettoyer. Ensuite, j'attrape le bac où se trouve les morceaux de chairs et vais le poser dans la cuisine. A la vitesse grand V, je vais me laver pour enlever tout ce sang. Rapidement,l'eau qui ruisselle sur mon corps devient rougeâtre. Je me sèche,et m'habille rapidement. Je descend à la cuisine et me stop net.Devant moi se trouve Ambre, ma jumelle. Elle est entrain de regarder dans le fameux sceau.

- Que fais-tu ?

Ma voix la fait sursauter.

- Je regarde ce que tu vas nous faire à manger ce soir ! Ça a l'air dégueulasse !

- Ne juge pas. Ce soir je vous prépare ma spécialité. Et je sais que vous adorez à chaque fois, même si vous ne me le dites pas.

Ambre ne me répond pas, et me regarde avec cette air hautain qu'elle fait mieux que personne. Je serre mes dents puis m'approche du bac. Elle se recule rapidement et sort son téléphone. Je l'entends composer un numéro puis s'éclipse dans sa chambre. Un soupire sort de ma bouche. J'attrape une grande casserole et y verse un peu d'huile avant d'y verser la chair. Il faut peu de temps avant que l'odeur imprègne mes narines. Machinalement, je verse différentes épices et à l'aide d'une cuillère en bois, je mélange mon art.


Pendant que je laisse cuire à feu doux, j'attrape une autre casserole et commence à faire cuire le riz. Puis je m'approche de ma préparation et commence à préparer la sauce au miel. Je passe ma langue sur ma bouche tellement cela à l'air appétissant. Soudain, j'entends les claquements de portes de voiture. Mon père et ma mère sont rentrés. Je me précipite vers la porte d'entrée pour ouvrir la porte.

- Bonjour père,bonjour mère.

J'eus à peine un regard de leur part. Je leur enlève leurs vestes et les posent sur le porte manteau.

-Le diner sera bientôt prêt.

- C'est normal, il est bientôt19h. Lâche mon père.

Je me crispe puis me rends à la cuisine pour touiller dans mon plat. Hâtivement, je dresse la table dans la salle à manger. J'amène les différents plats et à 19hpile, ma sœur, et mes parents viennent se mettre à table. Je me met à les servir.

- Bon appétit. Dis-je

Je sens le coin de ma lèvre se soulevé vers le sourire. Bon appétit...

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⏰ Dernière mise à jour : Feb 12, 2017 ⏰

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