Chapitre 1

1 0 0
                                    


Je n'en peux plus est ce que quelqu'un pourrait m'aider .Mais pourquoi, pourquoi ? Je n'en peux plus à oui au faite j'ai déménage à Paris dans quelques minute. Mais j'aimais ma petite ville de Londres et maintenant je vais devoir renoncer à tout ... Ma sœur me dit que tout ira bien et que Paris est une ville comme les autres sauf qu'elle oublie un petit détail... Je ne connais personne là bas à Paris ! Et c'est a ce moment là que je me senti me décomposer de l'intérieur quand j'ai entendu ma sœur me dire que je devrai m'y faire parce que je n'ai pas le choix mais je me dis que mes parents seront la pour me soutenir.

Maman – Ta valise est prête ? 

Moi – Oui ! 

Maman – Ne tarde pas à aller te coucher. 

Moi – Non !

Maman – Je sais que tu es contre le déménagement mais tu verras Paris est une ville superbe.

Moi – De toute façon je n'ai pas vraiment le choix.

Après cette petite discussion avec ma mère j'envoya un dernier message à mes amis leurs@ annonçant mon départ pour Paris dans quelques heures, alla me doucher, manger pour finir dans mon lit.

Le lendemain matin à 7 h 30 tout le monde étais déjà levés les derniers cartons sont fermés et c'est à ce moment là que je senti une main sur mon épaule c'était la main de ma sœur.

Carmen – Et dire que c'est ici que je t'ai supportée.

Moi – Ho c'est sympa !

Carmen – Ho ça va tu sais que je rigole

Moi – Ouais tu viens on va faire un dernier tour histoire de dire au revoir à notre belle maison.

Ma sœur et moi allons donc jusqu'à dans le jardin sous notre arbre c'est là qu'on allait ma sœur et moi quand on n'était pas en forme histoire de se réconforté .Carmen me serra dans ses bras quand tout à coup maman arriva.

Maman – Aller il est temps d'y aller les filles !

Nous – On arrive !

Nous allons rejoindre les parents qui nous attendaient à coté du taxi.

Carmen – Bon je crois que je vais vous laisser partir aussi non vous aller rater votre avion.

Moi – Tu vas me manquer sœurette.

Et les larmes commencèrent à couler le long de mon visage.

Carmen – Toi aussi tu vas me manquer.

Nous finîmes par nous dans les bras à ne plus en savoir respirer.

Maman – Aller Camélia on doit y aller maintenant.

Moi – D'accord je suis là... Je t'envois un message dès qu'on a atterris tu es d'accord ?

Carmen – Bien sûr que tu peux m'appeler dès que tu atterris, tous les jours si tu veux.

Moi – Merci ... Je t'aime.

Carmen – hoooo ma chérie...

Le chauffeur du taxi commençait à klaxonner d'impatience. Après c'est interminable coup de klaxonne mon père perdit sa patience et nous dûmes partir... Après deux heures de trajet interminable avec mon père qui se plaignait d'avoir chaud, d'être serré dans le taxi nous sommes arrivés à l'aéroport et avons pris l'avion direction Paris.

Maman – Camélia tu vas bien ?

Moi – Oui si on enlève le faite que VOUS avez pris la décision de partir et ne m'avez pas laissé le choix.

Papa – Arrête tes caprices maintenant tu veux !

Je décide alors de terminer mon trajet avec ma musique après une heure nous sommes enfin arrivés dans notre appartement, je suis directement montée dans ma chambre.

La vie mouvementée de CaméliaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant