L'amour du savoir

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(Bonjour je poste le livre que je tente d'écrire peu à peu. J'ai 15 ans et si je le poste c'est surtout pour avoir des avis et des conseils pour pouvoir l'améliorer. Il y aura sûrement BEAUCOUP de fautes et je suis désolé :) )

Ce matin, je me réveilla en sursaut. J'étais pleine de sueur et mes membres tremblait comme une voiture qui s'élance à toute allure sur un route de terre.

Je me dirigea dans la salle de bain pour me passer de l'eau sur le visage.

L'eau fraîche m'apaise en ce moment alors que mes nuits ce font très agiter.

Cela doit faire une semaine que je ne dors plus, des cauchemars ou des rêves très étrange je ne sais pas. Je suis engloutis dans ce monde parallèle qui le matin ne me donne pas bonne mine.

Ce que d'ailleurs ma mère s'empresse de me faire remarquer. Ma mère est une femme seule qui engloutit des litres de café pour pouvoir tenir une journée et supporter l'ennuie qu'elle ressent.

Moi, j'ai une vie banale, amis, famille, fête, bref la vie d'une fille de 16ans.

Malgré mes cauchemars et mon envie de dormir je me prépare quand même pour une nouvelle journée dans la peau d'une lycéenne.
En clair ma vie n'est pas à raconter dans un livre.

Je m'habilla, d'abord j'enfilas un jean et un jolie tee-shirt jusqu'à que je regarde par la fenêtre et que j'aperçois toute la pluie que ce nuage déverse au dessus de ma maison.
J'enfilas donc un sweat à capuche bleu marine. C'est mon préférer.
Je mis mes baskets, des Nike. J'avais eu du mal à me les acheter, heureusement mon père, cet individus rentrant et sortant de ma vie à sa guise, m'avait donner de l'argent contre un peu d'amour propre.

Il était déjà 7 heures 40 et c'est l'heure à laquelle mon bus passe.

-Merde... dis-je désespérément

Je sortis de la maison sans déjeuner ni m'être brosser les dents et je savais que j'allais le regretter.

Je sortis en courant sans que ma mère ne me demande quoi que ce soit, elle n'est pas du genre à poser des questions.

En réalité elle n'est pas du genre à s'intéresser à ma vie.
Un avantage, mais qui me chagrine quand j'ai des moments de faiblesse et que j'ai besoin du côté maternel.

Je courru dehors sous la pluie.

En arrivant à mon arrêt de bus je ne vis ni mon bus, ni le peu de personnes qui attende avec moi le matin.

-Il est parti. Dis-je a voix haute.

Je n'eut que l'envie de rentrer chez moi, simuler un rhume et dormir.
Je rebroussa chemin, non pas pour demander à ma mère de prévenir le lycée de mon absence, mais pour lui demander de m'y amener.

Le devoir m'appelle.

Elle allait sûrement refuser de m'y amener en trouvant quelques excuses habituelle.

Je rentre trempé et alla directement face à ma mère.
Je pris un air, aimable, agréable et me lança.

-Salut, maman tu tombe bien. En fait je viens de rater le bus et-

Je n'eus pas le temps de finir que je la vis soupiré. J'essaya donc de la rassure, ou de me rassurer je ne sais pas trop.

-Je l'ai raté de peu, je l'ai même vu partir. Quel dommage.

Je fis un rire nerveux.

Je lui adressa un sourire qu'elle ne me rendit pas. Elle ouvra la bouche mais ce n'est ni un "oui" ni un "non" que j'entendis si ce n'est un interminable soupire. Je la regarda patiemment puis une phrase sortis de sa bouche. Cette fameuse phrase que j'entend trop souvent