Je l'observe de loin pendant des heures si il le faut,
La regarde vivre quand il fait beau,
Le souvenir de ses lignes courbées,
je préserve dans mon cerveau.
Seul son parfum m'est inconnu
Trop présent il me tue.Je passe mes journées à l'observer,
Imaginant ce à quoi sa fragrance pourrait ressembler,
Je me tente à rêver,
Que ses couleurs sont sucrées,
Dans ce jardin immense, je veux la cueillir, la humer,
Lui offrir un instant privilégié.Seulement, je contourne et m'éloigne faisant face à la vérité,
Jamais un jour, je ne pourrai l'approcher,
Je ne peux que la contempler,
De loin, c'est certain.
De près ce serai la fin.
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Entre deux mondes
PoetryBienvenu sur mon recueil de poèmes Obscurum. Un mélange entre lumière et obscurité, un besoin de liberté, une envie de partager tout simplement. « Juste un besoin d'équilibre entre deux opposés. » ↬ En correction ↫ Dernière mise à jour : 02 Octo...