La jeunesse et la délinquance juvénile

La pleine compréhension de la portée du sujet aborder, nécessite une définition minutieuse des thèmes le composant. Dabord les quelques philosophes qui nous sont parvenus ont tergiversé à trouber une définition appropriée pour la jeunesse. D'une part, ils disaient que parler de la Jeunesse c’est évoquer un état d’esprit, ou tout simplement une tranche d'âge variant de 10 à 35 ans. Et d'autre part ils affirmaient que c’est une étape de transition de l’enfance a l’adulte.
Toutes ces définitions semblent corréler les uns aux autres et nous donne déjà une idée du sujet dont nous nous efforçions à traiter. Soyons plus chercheur en regardant à travers les yeux du Larousse, ce qu'il en pense, comment il la voit et la définit. Ainsi il est noté que premièrement que c'est une partie de la vie de l’homme entre l’enfance et l’age mur pour parler de la définition de Larousse. Il est donc clair alors, que tout individu vivant sur terre atteint cette étape qui est la jeunesse
Notre deuxième mot est la délinquance il est définit ainsi daprès Larousse: ensembles des infractions commises Considérés sur le plan social et juvénile. Sur ces définitions on peut en avoir des idées plus claires sur ceux qui vont être écrit dans les lignes suivantes. 
Jeunesse Haïtienne, tous le monde sait que la jeunesse est le printemps d’un pays, la jeunesse est l’avenir de tout société, c’est pour dire que la jeunesse haïtienne est l’avenir de la société haïtienne, mais quel jeunesse haïtienne ? Quelle société haïtienne veut on parler? 
Haïti est un pays dont la population juvénile est plus maltraité cependant cette population est plus de 60% c’est pour dire qu’Haïti n’a pas d’avenir, la société haïtienne ne sème pas du bonheur. Si la population juvénile qui est le future du pays on les méprisés. A quoi bon de parler des futurs cadre d’une classe intellectuel du pays, dans une société dont la jeunesse est maltraité, méprisé le résultat de cette société a l’avenir c’est une jeunesse livrée a la drogue, une jeunesse bredjeniste, résultat délinquance juvénile, et Haïti en péril comme Francketienne disait: “ la société haïtienne est une société à disparâtre. Si vous voulez bien en voie de disparition."
Causes et conséquences de la délinquance juvénile: les causes étaient déjà touchés dans la deuxième paragraphe mais il y a des causes profondes qui occasionnent gravement les causes de la délinquance juvénile tel que: l’absence de l’éducation au niveau de la famille qui est le noyau de la société, absence de l’éducation dans l’église (Religion) et les medias qui sont nos plus importants sources pour une bonne education mais cependant ils detruient totalement la jeunesse avec leur produit venimeux qu’ils propagent sur les ondes, via l’Internet les magasines et les revues, causes plus critiquable c’est notre système politique nationale qui imitait l’obscurantisme d'Alexandre Boyer : « qui sème l’éducation sème la révolution ». Absences d’instruction absences de l’éducation absence de formation Professionnel et universitaire, la jeunesse est livrée à eux même, dans une société ou il y a plus de discothèque que bibliothèque, une société ou le verbe AVOIR « j’ai » est primé sur le verbe ETRE « je suis » c’est pour dire que la valeur de notre société est basé sur ce qu’on a mais pas pour ce qu’on est, les medias donnent plus de valeurs aux produits étrangers. Le résultat c’est qu’on déteste nos siens, pour une appréciation pour toutes sortes de produit importés tel que: nourriture, coutume, moeurs, civilisation et j’en passe C’est pour accuser les medias pour leur tort face a la jeunesse avec des musiques qui font leur top 10 dans leurs studios, et ses musiques qui encouragent la drogue, le machisme, le vol le viol et la délinquance juvénile. 
Nous jeunes intellectuels haïtiens futurs cadre du pays. Nous de la diaspora avec nos plumes avec nos inspirations face avec cette grave problème sociologique face a la délinquance juvénile, on ne voulait pas laisser faire mais plutôt demander à notre jeunesse une prise de conscience pour une révolution socioculturelle, socio-éducative, et politique parce que l’intellectuel d’un pays n’est pas comme un sapeur Pompiers pour éteindre le feu ou pour réparer les dégâts, mais ils sont plutôt là pour prévenir et pour guérir.