" Je suis un routard de l'errance perpétuelle „
Un décor, une rentrée, une héroïne, sa meilleure amie, son frère, son meilleur ami, ses doutes, un saut dans le train-train quotidien d'une jeune fille, et paf ! Une immersion dans ses pensée..
Je me réveille. En visuel le plafond d'un blanc nacré. Ma chambre encore dans une atmosphère tapissée de souvenirs d'été encore tout frais. Installée dans ma couverture légère, rescapée du mois d'août qui s'est achevé 3 jour plus tôt. Un coup d'oeil au réveil, dans 2h15 exactement sonnera la cloche officielle de la rentrée. Mes vêtement proprement posé sur une chaise de ma chambre attendent sagement d'être portés. Des vêtement choisis une semaine avant avec Orlanne et qui n'ont pas été touchés depuis. Des vêtements de rentrée qui se constituent d'un jean bleu clair, d'un t-shirt blanc retombant sur mes épaules encore bronzées de la côte sicilienne et d'une veste noir, accompagné de mon éternel sac à dos gris et d'un collier en losange doré.
Cette chambre que je n'aime pas. Aucune nouveauté depuis sa conception, des meuble blanc, des murs roses. Et des photos collés au mur qui ne tiendrons pas un mois ( malgré le double face, la patte a fixe, le scotch sous toute ses couture, je n'ai jamais osé le clou de peur d'énerver ma mère a cause du bruit.) Pourtant je persiste a vouloir la décorer.
Je soupire, puis cligne des yeux pour m'habituer à ce réveil brutal qui me suivra désormais toute les semaines pendant 10 mois. Aujourd'hui est une exeption, ma nuit à vacillée entre rêve appréhendant mon année scolaire et réveil intampestif à cause de ces même rêves qui ont mal tournée. Je ne comprend toujours pas pourquoi je stress comme ça, d'autant plus que ce matin je me sens particulièrement seraine. C'est dans un sourire espérant provoquer de la motivation que je me lève. C'est quand je pose mes pied nu engourdi sur le parquet tiède que je tourne la tête vers la fenêtre, le soleil n'est pas près de se lever et ma mère doit encore dormir.
◇
Après avoir observe longuement le paysage, en compagnie de ces cernes dû a 6h de sommeil je remarque que j'avais oublier la présence de mon petit frère. Antoine rentre désormais dans une grande école, et bien sur c'est Calie qui doit le guider dans ses premiers pas.. Ma mère en fait trop, mon père trouve aussi, Antoine a 14 ans et franchement il est intelligent pour son âge. J'ai parfois même l'impression qu'il est plus mature que moi. Il sais très bien gérer ça tout seul, c'est limite si il s'inquiète pour quelque chose.
Il est quasi à ma taille d'ailleurs. Il m'énerve. J'ai galérer pour avoir ces 1m65. Même si je l'accorde..c'est toujours petit.
Nous attendons le bus, parce que n'ayant toujours pas l'âge requis pour passer le permis et me dispenser d'une heure de bus chaque matin. Ma mère ayant besoin de la voiture, enfin ça c'est la raison officielle, j'ai toujours soupçonnée que c'était à cause de son amour pour ses heures de sommeils, parce que, me conduire se résume à se lever à 6h. Et après toutes ces métaphores, je me voit contrainte à prendre le bus. Ce qui ne me déplaît plus autant que la première fois où j'ai du le prendre. Une chose si anodine et répugnante aux yeux des autres ma permis de faire ou renforcer des rencontres, dont Orlanne.
Je regarde mon petit frère plus petit de 2 ans, qui est en train de faire une photo de ces genre d'Arc en ciel au sol. Je suis pas étonnée. C'est Antoine. Je jette un petit coup d'œil a sa photo qu'il est d'ailleurs en train de publier sur instagram, très jolie, avec en description :
"Apprécie les petites choses de la vie, parce qu'un jour tu regardera derrière toi et tu réalisera quelles étaient les grandes choses. "
-Kurt Vonnegret
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Calie
Teen FictionCalie. Un prénom dont la signification égalait à un fort caractère, une indépendance...ce que sa mère recherchait en l'appelant comme ça. Ce qui n'avait pas marché. Calie était d'une douceur exemplaire, une trop grande douceur même. Tout dans sa per...