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Me saurais-je imaginée que cette vie si monotone  que je menais allait se boulverser, je ne m'étais jamais poser la question de ce que le futur réservais, je me laissait porte-par le vent...

Il venait de déposer mes deux sœurs aînées, des jumelles, Alice et Chloé au collège. Quand se fut à mon tour, à contre coeur de descendre de la voiture pour aller à l'école. J'étais si bien sur le siège chauffant, je n'avais aucune envie de sortir, le paysage était d'une blancheur, la neige avait tout recouvert. Comme tout les matin avant de partir travailler j'entendais: «au revoir Anna». Me serait-il qu'un seul instant passer par la tête que se soit la dernière fois que père me disait cela! En sortant, je me retrouvais seule. C'aurais pu être une journée bien ordinaire, une routine qui se répète continuellement, ce qui en devient triste. Comme toute bonne chose à une fin, elles doivent bien avoir un début non? C'est donc en français que cette journée très peu divertissante se transforma en un après-midi assez intéressant. Au moment où Mme.Tremblay nous annonça que nous devrions effectuer un projet en binôme je ne me doutais pas que je trouverai cette activité intéressante Bien que je déteste me mettre en équipe car cette personne, celle qui a du s'associer avec moi, se n'étais sûrement pas par volonté: les gens ont  pitier de moi, de me voir seul, alors ils deviennent contre leur gré mon partenaire. Ou bien quelque fois c'est une obligation, la professeure ordonne une pige. Quelle que soit la raison je sais bien que personne ne veut de moi. Cette fois, se fut Alex qui serve trouva pris dans mon équipe, quelqu'un pour lequel jéprouve un brin d'attention, pour ne pas dire qu'il m'intéresse. Il est différent, il a quelque chose de mystérieux. Au début j'étais gêné, j'entendais les murmures de la classe, ils se demandaient tous comment moi, avais-je pu être avec quelque-un comme lui, le garçon le plus populaire de l'école. Pendant un laps temps, je posais mes yeux sur son visage toujours souriant, il avait l'air de me dire de ne pas me soucier des autres, qu'il était content d'être mon partenaire. Soulager, je me rendis à son casier après les cours, où nous décrètons où et quand nous nous rencontrerons. Je marchait d'un pas sûr  vers la maison, je commençait grâce à lui à avoir confiance en moi. En rentrant dans ma demeure, comparer à d'habitude, j'avais un sourire qui s'accrochait à mes lèvres, il allait venir chez moi, Alex allait passer une soirée chez moi! J'etais heureuse. Personne ne remarqua rien, Alice et Chloé ne me parlent jamais elles m'ignorent, à mon avis elle me considère comme un fardeau et père ne rentrera que demain matin car il travaille de nuit aujourd'hui. J'imagine que c'est à moi de préparer à manger, mère travaille beaucoup trop, elle n'a même pas pu dénicher ce sentiment qui m'imprégnais! Le souper se passa comme à son habitude quand père n'est pas là. Je mange toute seule sur l'immense table face au foyer. Je regarde les flammes orange citrouilles et rouge feu qui me tiennent compagnie et qui apportent une présence chaleureuse à la pièce si sombre.
    *
Toute bonne chose à une fin, est ce pareil avec le bonheur, s'arrêtera t'il si soudainement ?

J'étais impatiente, j'avais attendu toute la journée et finalement Alex allait enfin arrivé. La sonnette de la porte retentit. Je me depaichai d'ouvrir, et à ma grande surprise, deux policier se tenais devant moi.  Le plus grand me demanda d'aller jouer dans ma chambre, j'aurai eu envie de lui répondre que je n'étais plus une enfants, mais mère aurait été très fâché. Depuis toujours elle me dit de cacher se que je ressens au plus profond de moi, je ne parle, rit, sourit ou même pleure que très rarement les autres me prennent pour un robot. C'est pour ça que je n'ai pas d'amie et que je suis seule, c'est aussi à cause de cela que je n'aime pas les binômes. Je respira un bon coup et fit comme si de rien était je leurs laissa libre le chemin menant au sublime bureau de mère. Celui qui venait de m'adresser la parole fit signe à son compagnons un peu grassouillet d'entrer dans la maison, il trouva maman travaillant toujours aussi dure. Évidemment, je me faufila juste à côté du cadre de porte, pour pouvoir entendre leur conversation, j'étais amusée de jouer à l'espionne. Puis tout d'un coup son visage changea, je pouvais apercevoir la tristesse qui la submergeait. Mère qui d'habitude ne laisse paraître que sont visage impartial avait changé. C'était des larmes qui coulait sur ses joues. Je sortis de ma cachette et entendus la chose que je redoutais le plus: « ton père est mort». Je couru aussi vite que possible, manquant de me cogner contre une de mes sœur, laquelle? Je n'en ai pas la moindre idée, a cet instant tous ce que je voulais c'est que cette histoire ne sois qu'un cauchemar. Quand je me suis réfugiée dans ma chambre je me permit à verser quelques larmes et je m'effondrai par terre adossée contre la porte, criai jusqu'à ne plus avoir de voix, tapait le sol jusqu'à en saigner. Je savais qu'à ce moment tout allait changer. J'eu raison...
    *
Quand tu penses avoir atteint le bout, ça ne peut que mieux allé! Alors pourquoi les choses ne saissent d'empirer.

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⏰ Last updated: Feb 19, 2017 ⏰

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Noir obscurWhere stories live. Discover now