Une nuit.. J'attendais le retour d'Ayato dans le salon. Il m'avait prévenue qu'il serait en retard.
- (... Je suis sûre qu'il sera bientôt là.)
Inquiète, je jetai un regard à l'horloge. C'est alors que j'entendis quelqu'un ouvrir la porte d'entrée. Alors qu'Ayato entrait dans le salon, je quittai ma chaise pour aller le saluer.
- Lucy ? Tu n'es pas encore au lit ?
- Bonsoir, Ayato. C'est moi qui ai préparé le dîner. Je me suis alors dit que j'allais t'attendre pour qu'on mange ensemble. ... À moins que tu aies déjà manger ailleurs...
- Non, pas encore.
- Eh bien, laisse-moi juste le temps d'aller réchauffer les plats.
Je mis du film étirable sur chaque plat avant de les réchauffer dans le four à micro-ondes. Ayato se fendit d'un sourire lorsque je déposais les assiettes sur la table.
- Comme je suis chanceux. J'avais prévu d'aller au lit tout de suite après mon retour, mais un dîner pour me réchauffer ne me fera pas de mal. ... Mais tu travailles demain, non ? Ne t'oblige pas à rester là pour moi. Va-te coucher.
- Ne t'inquiète pas pour moi. Mange tant que c'est chaud.
- Merci.
Ravi, Ayato goûta la soupe.
- (J'ai essayé de la préparer comme il l'aime... Je me demande si ça lui plaît.)
Je savais qu'Ayato aimait la soupe miso. Sa réaction était donc très importante pour moi. Il remarque alors mon regard et sourit.
- C'est délicieux. Je suis fier de toi.
- ... C'est merveilleux !
(Oh, Dieu merci, ça lui plaît.)
Je soupirai de soulagement. Ayato vida toutes les assiettes, sans se départir du sourire plaqué sur son visage.
- Ce repas était délicieux. Je préfère manger ce que tu me prépares plutôt que d'aller dîner ailleurs.
- Dans ce cas là, je te préparerai de nouveau ton repas la prochaine fois. Donne-moi ton assiette, je vais la nettoyer.
Il vit que je quittais ma chaise, et fit de même. Il m'attira ensuite par les hanches et m'offrit un baiser surprise.
- Nmm...! Ayato... En quel honneur.. ?
- C'est pour te montrer à quel point je te suis reconnaissant pour le dîner. Et aussi pour te remercier d'avoir attendu patiemment le retour de ton mari.
- Oh... Nmm.
Il plaça ses mains sur mes fesses pour les caresser. Je laissai échapper un gémissement. Sa main se mit alors à glisser sous ma jupe, mais je le repoussai instinctivement en posant mes mains sur son torse.
- Ayato... Nous ne devrions pas faire ça ici...
- Je parie que personne ne viendra. Et puis... Tu ne penses pas que ce serait bien plus excitant de la faire ici que dans la chambre ?
- Ohh... Ahh.
Ayato réussit finalement à glisser ses mains sous ma jupe, puis ses doigts passèrent dans ma culotte. Il se mit à caresser l'entrée de mon sexe de haut en bas en insistant sur mon clitoris sensible.
- Ahhh !
- Avoue que tu aimes quand je te touche de la sorte. Je ne suis encore qu'au stade des caresses et tu es pourtant déjà très excitée.
- Oh mon Dieu... Ahh...!
Il bougea son doigt en de petits cercles, jouant avec mon clitoris. Une sensation de fourmillement commença à poindre. Je m'agrippai à son torse, alors que mes jambes s'affaiblissaient.
- C'est ça. Très bien. Pense à ne pas trop élever la voix. Quelqu'un à l'étage pourrait t'entendre.
- Nmm...!
Il pinça mon clitoris, puis recommença à le stimuler. Mon corps se mit à trembler, alors que j'étais frappée par un éclair de plaisir.
- Huhhh, Nmm... Oh mon Dieu... Ahh !
(Je dois me contenir, il ne faudrait pas que les autres nous entendent.. On aura l'air fin si'ils descendent ici pour voir ce qui se passe...)
Cependant, songer à cela me plut. En pleine nuit, dans le salon silencieux, je pouvais entendre ma propre respiration s'accélérer. J'étais de plus en plus excitée.
- Quelle épouse coquine tu fais. Tu en veux plus, pas vrai ?
Son sourire se fit plus prononcé alors qu'Ayato me posait cette question sur un ton de défi. Incapable de répondre, je fis non de la tête.
- Ahhh... Ayato... Je ne peux, oohh..!
- Laisse-moi faire.
Il retira sa main de mon entrejambe et me retourna aussitôt. Il plaça fermement mes mains sur le mur et baissa aussitôt ma culotte. Ayato me murmura alors quelques mots emprunt d'érotisme.
- Te voir ainsi si sauvage me fait perdre la tête.
Ses mots firent battre mon cœur rapidement. Je tournai la tête, tentant de le regarder. Je le vis baisser son pantalon avant qu'il ne vienne attraper mes hanches.
- Ce soir, c'est toi mon dessert.
- Oh oui, ohhh...!
Sans même me donner la possibilité de réagir, il me pénétra. Son sexe commença des va-et-vient lents et délicieux... J'arquai le dos sous le plaisir.
- Oh oui... Ahhh !
- Chuuuuut ! On pourrait t'entendre.
- Je... Sais mais...
- Attends, je vais t'aider.
- Nmm... Urhh.
Ayato s'approcha de mon visage et m'embrassa avec fougue. Il glissa sa langue entre mes lèvres, alors qu'il me pénétrait. Mon corps et mon âme fondirent de plaisir.
- Nmm, Uhh... Mm.
Alors que ses baisers se faisaient de plus en plus passionnées, les allées et venues de son sexe se firent plus rapides. Mon corps tout entier était pris de contractions musculaires, tant que le plaisir était intense. Il lâcha mes lèvres et murmura quelques mots à mon oreille.
- ... J'espère que tu es prête pour ce qui va suivre.
- Oh oui... Nmm, ohhh...!
Ses mouvements de hanches se firent plus puissants. J'eus l'impression de prendre feu.
- ...Tu es vraiment un femme merveilleuse. Tout en toi correspond à mes goûts... Ta cuisine, ton corps et tout le reste.
- Oh Ayato... Ahhh... Ahh !
Je fus assaillie d'une sensation formidable alors que je perdais petit à petit la raison. Je décidai de me laisser faire et de profiter pleinement de notre petit rendez-vous secret au beau milieu de la nuit.
