Jenna.

Chapitre 4.

PDV Jenna.

J'étais terrifiée. Je ne l'avais jamais vu comme ça. J'essayais de m'enlever. Mais rien à faire. Il était trop fort. Il me tenait les mains au dessus de ma tête et embrassait mon coup. Je pleurais et lui suppliais d'arrêter mais ça ne changeais rien.
Il baissa ma culotte.
Moi : Fr...Fred je t'en supplie... arrête Dis-je en pleurant.
La porte s'ouvrit.
Un couple entra dans la chambre.
La fille : Oh mon dieu. Dit-elle en mettant ses mains sur sa bouche.
Moi : S'il vous plaît...aidez moi ! Dis-la voix tremblante.
Le garçon prit violemment Fred par les épaules et le sortit de la chambre. Il ferma la porte. La fille me prit dans ses bras.
La fille : Ma pauvre... ça va ? Me dit-elle en me caressant les cheveux.
Moi : Ou..oui...merci... si vous aviez pas été là...il aurait été jusqu'au bout... Dis-je en essayant d'arrêter de pleurer.
Le garçon : De rien, mais c'est pas nous que tu dois remercier.
Moi : Ah bon ?...Qui alors ?
Le garçon : Y'avait un mec avec des lunettes, style assez ancien qui était devant la porte. On le trouvait chelou d'écouter au porte. Il nous a dit d'entrer et de protéger la fille. On a demander pourquoi. Il m'a donner de l'argent et est parti en me disant "fais le juste s'il te plaît".
C'est pas vrai. Andrew m'avait sauvé. Il me surveillait. Pourquoi ? Je ne sais pas. Mais j'étais contente qu'il me sauve de cette situation plus que horrible.
Moi : Ah d'accord... merci. Dis-je en essayant de me lever du lit. La fille m'aida en me voyant en difficulté.
Je sortie de la chambre avec le couple devant moi. On alla en dehors de la maison. On était assis sur le trottoir devant la maison. J'avais appeler mon chauffeur pour qu'il vienne me chercher.
Moi : Vous pouvez rentrer dans la maison. Dis-je en séchant mes larmes.
La fille : T'es sûre ? Tu ne veux pas qu'on te tienne compagnie ?
Moi : Non, ne vous en faites pas. Dis-je en leur souriant.
Ils se levèrent et partirent en direction de la maison.
Moi : Attendez !
Ils se retournèrent vers moi.
Moi : Ne racontez à personne ce qu'il c'est passé, s'il vous plaît.
Le garçon : Ton secret est le notre. Dit -l en se retournant et reparti en direction de la maison avec sa copine.
J'attendais mon chauffeur assise sur le bord du trottoir. Je me sentais faible. Et j'avais froid. Je repensais à ce qui venait de se passer.
Andrew : T'as pas froid ?
Sortie de mes pensées, je me retournai tout d'un coup. J'étais soulagée de ne pas voir Fred. Je lui acquiesça de la tête. Il vint s'assoir à côté de moi. Il enleva sa vielle veste pour la mettre sur mon dos. Normalement, je n'aurai jamais accepter de porter un truc aussi horrible sur mon dos. Mais je n'avais pas la tête à ça, pas en se moment.
Moi : Merci. Dis-je faisant un petit sourire.
Andrew : De rien.
Un silence s'installa. Je le fixai. Il regardait le ciel noir recouvert d'étoiles. Mais je ne savais pas quoi dire. Il tourna son regard sur moi.
Andrew : Quoi ?
Moi : Pourquoi tu m'as aidé ? Dis-je ma tête posée sur mes genoux.
Andrew : En générale, quand une fille est sur le point de se faire violer, on évite que ça se produise.
Moi : Mais tu dis que je suis une petite garce.
Andrew : C'est pas parce que tu es une petite garce que je peux pas t'aider. Dit-il en retournant son regard sur le ciel.
Je le regardais sans rien dire.
Il se retourna vers moi.
Andrew : Quoi encore ?
Moi : Pourquoi avec moi tu es autoritaire et avec les autres tu joues l'étiquette du petit intello timide ?
Il rigola. Il s'arrêta et me regarda avec un sourire au lèvres. Pas le sourire tout mignon, tout gentil. Non c'était un sourire d'un garçon sûr de lui.
Andrew : Oh Jenna, ma petite Jenna. Si tu savais.
Moi : Ça ne répond pas à ma question.
Andrew : Ton chauffeur est là. Dit-il en se levant.
La voiture se gara devant nous. Je me levai et me mis devant lui.
Moi : Non ! Réponds à ma question !
Andrew : On se voit demain Jenna. Dit il en prenant sa veste qui était sur mes épaules et partis.
Je soupirai et rentrai dans la voiture.
C'était la pire fête de toute ma vie. Je m'amusais toujours au fête, surtout parce que j'étais avec Fred, mais là c'était la pire.