Dors, mon frère..

Il faisait nuit sur l'île de Beurk. Pourtant, l'île était très bien éclairer par du feu. Mais pas le feu de torche, non, le feu de flèche enflammée,  de de tir de dragon et des pierres de catapulte brûlante de feu. Beurk était attaquer par des homme avide de pouvoir. Ses hommes désiraient le bien le plus précieux de l'île de Beurk. Les dragons. Avec ses dragons, ils auraient énormément de faciliter à conquérir les île de l'archipel et celle du monde. Les habitants du village se défendaient du mieu qu'ils le pouvaient. Les villageois n'avaient pas énormément à se forcer, leurs dragons leur donnaient l'avantage sur les ignobles attaquants qu'étaient les Taréfou. Le chef de Beurk et son furie-nocturne sur volaient les bateaux ennemis avant de plonger et tirer de superbe tir plasma sur les navires remplis d'archés et de guerrier dangereusement armés et prêt à tuer qui qu'on s'approche de leur navire. Les autres dragonniers se joignaient au combat. La dresseuse de vipère, le le dresseur de Gronk, les dresseur de Braguettaur, le dresseur de cauchemar monstrueux et les deux Parenvrille. La mère du chef supervisait au sol pendant que l'ancien chasseur de dragons veillait sur les femme et les enfant dans le grand hall. La guerre faisait rage depuis deux bonnes heures et les dragons commençaient à être fatiguer et épuiser, mais ils tenaient bon. Heureusement le dresseur de furie nocturne allait bientôt mettre fin à se massacre. Il arrivait sur le bateau dirigeant avec l'intention de mettre fin à la bataille. Lors de lapproche, tous les Taréfou étaient paré à attaquer tous les dragons qui s'approchaient trop près de leur chef. Lorsqu'ils virent le furie-nocturne arriver, ils commencèrent à tirer droit vers lui et son dragonnier. Le duo se frayait un chemin parmi les projectiles enflammer pendant que les autres dragonniers tiraient sur les archés pour aider le dragon noir et son dragonnier. Quand les défense furent enfin percer, le chef des Beurkiens pus enfin rentrer dans les quartier du commandant. Malheureusement, lorsqu'il ouvrit la porte, le chef ennemi avait prévu cet scène. Le Taréfou avait un arque tendu avec un flèche. Il lâcha la corde. La flèche se dirigeait vers l'unijambiste. Ce dernier évita la flèche et couru vers l'ennemi maintenant sans défense. Il lui donna un coup avant qu'il tombe au sol, évanoui. Après avoir effacer la menace, le beurkien remonta sur le dos de son dragon et retourna sur l'île de Beurk sans se rendre compte du problème avec son dragon. Le village organisa une fête pour célébrer sa victoire. Tout allait à merveille,  jusqu'à ce qu'un cri déchire le silence de la nuit extérieur. Tout le monde commença à chercher la source du bruit. La dresseuse de vipère la trouva la première. Elle hurla pour signaler sa position aux autres. L'unijambiste couru jusqu'à l'emplacement. Là, il s'écroula à genoux. Le cri, c'était son dragon. La flèche du chef des Taréfou avait touche la furie-nocturne en plein dans le coeur. Il était à l'agonie. Le dresseur pris la tête de son dragon dans ses bras en le berçant et répétant "Tien bon mon grand! On va te sauver! GOTHI!" Il pleurait et pleurait pour son ami. Les dragonnier le transportèrent jusqu'au village. La guérisseuse approcha et l'examina. Après quelque minutes, son diagnostic était fait: Il ne survivrait pas. Lorsqu'il apprit cette, le chef cru que sa vie aussi était fini. Tout le monde était rassembler autour du duo. Personnes n'avait pas le moral à faire la fête maintenant. La dresseuse de vipère s'approcha de son amour et posa sa main sur son épaule tout en commençant à chanter une chanson. Tout le reste du village se joigna à elle par la suite. Le dragon se laissa bercer en fermant ses yeux.

Lorsque la chanson fut fini, le dragon était devenu un corps sans âme...

"Tu va me manquer krokmou...on se revera au Vallhala...mais pour le moment, Dors, mon frère..."