The Bloody's Pub

la femme au 1000 visage

On raconte souvent que les légendes sont faites pour faire peur ou rêvé les enfants. Mais certaines légendes sont à éviter le plus possible. Je me souviens lorsque j'étais enfant, on me racontait souvent des légendes. L'une d'elle m'avait marqué, c'était la légende de la femme au mille visage.

Cette légende nous parlait d'une vieille femme vivant dans une forêt. Elle était seule dans une petite cabane, elle adorait les enfants et les enfants l'adorait. Mais un jour, un groupe de parents sont venue la menaçaient de mort.
Les mois qui suivirent, aucun enfants ne lui rendit visitent, elle était redevenue seul.
De sa solitude, une folie se développa, elle commença par les animaux.
Puis un jour, les enfants retournèrent chez cette vieille dame. Quelques jours plus tard leurs disparition était annoncé par la police. Et ainsi sans jamais savoir ce qui leur arrivaient, les enfant disparurent sans laisser la moindre trace.

J'ai toujours eu peur de cette légende, j'étais très peureux et très influençable, normal à 13 ans. Un ami à moi, lui, n'avait peur de rien, il racontait qu'il trouverais cette femme. Je n'ai su pourquoi je l'ai suivi.
Nous étions arrivé dans la forêt, elle était immense. Nous avons commencé notre chemin vers cette cabane, cela nous a pris environ deux heure pour la trouver, mon stresse, lui, ne faisait que d'augmenter.
Nous l'avions trouvé, la fameuse cabane, c'était comme si elle faisait partie de la forêt. Mon ami s'avança, la porte de la cabane s'entrouvrit.
- C'est cliché des histoires d'horreur qu'on raconte, dit-il en ricanant.
Il s'en approcha, et se retourna, il n'eut le temps de dire un mot qu'il se fit trainé à l'intérieur de la cabane, la porte se claqua. J'étais pétrifié de peur, mais jambe refusait d'obéir.
Des cris de secours venait de la cabane, il se transformèrent en cri de douleur, se son était inhumain, je pouvais presque entendre ces poumons ce vidé puis plus aucun son. La porte s'entrouvrit, c'était mon tour.
Par l'entrebâillement, sa tête apparu, ces yeux n'était pas les sien, des mèches grise passaient devant son visage.
- Tu vois, il n'y a rien, rejoins-moi. Dit-il lentement d'une voix usée.
Ce n'était pas sa voix, que lui était-il arrivé, jamais je n'avais eu autant peur, mon urine coulait le long de mes jambes, des larmes incontrôlable coulait de mon visage, je voulais crié, en vain. Il rentra sa tête et la porte ouvrit complètement, la lumière pénétra dans la cabane laissant apparaître des dizaine de visage d'enfant, le corps de mon amis était étendu sur le sol répandu d'un liquide écarlate. J'ai fuis, fuis aussi vite que je le pouvait, fuis aussi loin que mes jambes me le permettraient, la chaussé se dessinait face à moi, je stoppa la première voiture et demanda pour m'emmener chez moi.

La prochain fois que vous entendrait une légende, soyez vigilants, votre curiosité pourrait vous valoir cher.