chap 27

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Pvd Marion.

Nous étions toutes les droits assisent dans la chambre de Lola. Un silence pesant était présent.

Sophie: " Marion je suis désolé..."

Moi: " de quoi ? De m'avoir traiter, et je sites, " d'une putin d'egoiste" ?"

Sophie: " oui. Je suis désolé mais je... j'étais en colère."

Moi: " et alors ? Tu peux être en colère sans pour autant traiter les autres d'egoiste."

Sophie: " c'est bon ! Je suis désolé."

Joanna: " c'est bon vous allez vous calmez ou pas ?"

Moi: " oui !"

De nouveau, un silence revient. Tout d'un coup, la porte vola. On se retourna toute, surprise.

???: " Je suis venu dès que j'ai su !"

Moi: " Marie ?!"

Marie: " en personne !"

Joanna: " qu'es qu'elle fou la elle ?"

Marie: " Ravie de te revoire.... comment déjà ?"

Moi: " Joanna."

Marie: " mmm... oui Joanna."

Sophie: " Marie, qu'es que tu fais la ?"

Marie: " bah ça ne se voit pas ? Je suis la pour Lola. Et puis pour vous aussi."

Elle se fou de ma gueule ou quoi ? Lola ne l'aime pas et je crois que c'est réciproque !"

Moi: " Pourquoi tu mens ? Tu ne l'aimes et elle non plus. Qu'es que tu fou la maintenant ?"

Marie: " c'était pour te voir. J'ai.... j'ai besoin de te parler."

Elle baissa la tête. Je fus surprise par sa réponse.

Moi: " mmmm.... ok."

On sortie toutes les deux de la chambre. On s'assit sur les chaises présentes en face de la chambre de Lola. Marie avait toujours la tête baisser.

Marie: " j'ai besoin de parler. De te parler. A une vraie amie."

Moi: " vas-y, je t'écoute."

Marie: " j'ai confiance en toi et je pense que j'ai besoin de te parler de ce que je vis et de se que j'ai vécu."

Elle avait prit un air grave. Ce qui m'inquiété. Je sais que je pourrais passer pour un fille sensible et manipulable comme ça, mais comme, elle l'a dit, je suis une vraie amie.

Marie: " lorsque j'avais 7 ans, ma mere nous a quitté à cause d'un cancer du poumon. Puis mon père a sombrer dans l'alcool êt était viré de son boulot. Nous avons peu de choses pour manger. Une de mes deux soeur est morte de faim. Elle avait 3ans. Elle s'appelait Soleya. C'était celle qui me donnait une joie de vivre. Tu dois te dire que je n'aime pas mon autre soeur mais tu te trompes. Je l'aime tellement elle aussi mais celle ci avait 1ans j'étais donc moin proche d'elle à cause son petit âge. Je me rappelle encore, quand notre père n'était pas encore rentrer, on s'allongait par terre. Elle, elle avait sa tête sur mon ventre et moi je lui caressais les cheveux. Ses beaux cheveux roux. On parlait de tout et de rien. Et ensuite notre père rentrer avec mon autre soeur, Pauline, encore sobre. Dès qu'il avait déposer Pauline a la maison, il repartait je ne sais ou et rentré le soir sou. Puis un matin, j'étais partie reveiller Soleya. Celle ci, je bougais pas. Ne respirait pas. J'avais beau la secouer dans tous les sens, elle ne se réveiller pas. J'hurlais son prénom, pleurait toutes les larmes de mon corps. Mais.... Elle s'était déjà envolée dans le ciel. Notre père a décidait de déménager au Texas ou début. Nous y sommes rester 5 ans. Puis à Ottawa, 6 ans. Et ensuite Paris."

Pour Toujours...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant