Pas sans toi ( Partie 2)

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                               Jenny,

      Les mains de Tyler sous mon t-shirt caressant ma poitrine étaient sur le point de me rendre hystérique. Les miennes caressaient son torse athlétique, tout en lui était parfait. Le dessin parfait de ses abdominaux, la rondeur de ses pectoraux,  toute absolument toute son anatomie était à couper le souffle. Avec son physique Tyler rendait folles toutes les petites midinettes de Beaumont, malheureusement pour elles,  il était à moi! Parmis toutes ces femmes plus  belles les unes que les autres, c'est moi qu'il avait choisi.

     Ses lèvres quittèrent ma bouche, pour déposer des baisers humides le long de mon cou jusqu'à mon omoplate. Des petites décharges électriques traversaient mon corps jusqu'à mon bas ventre. Il n'y avait que lui pour me faire ressentir ces choses là, d'ailleurs il n'y avait eu que lui, aucun autre homme n'avait posé les mains sur moi. Tyler attrapait l'ourlet de mon t-shirt, le remonta et le fit passer au-dessus de ma tête, avant qu'il  ne finisse  sa course sur le sol de la cuisine. Ses mains chaudes et sûres d'elles caressaient mon buste ardemment. Une fièvre dévastatrice s'emparait subtilement de mon être, me poussant à me transformer en une  créature de lave.

     Mes doigts tremblants d'excitation descendirent le long de son abdomen et trouvèrent instinctivement le cordon fin de son pantalon. À cet instant, Tyler bascula son bassin contre, appuyant ainsi sa virilité grandissante contre. Un gémissement m'échappa indépendamment de ma volonté à lui résister juste par défi. Un sourire conquérant s'esquissait alors sur ses lèvres me faisant perdre la raison.

                             Tyler,

      Elle frissonnait, le désir et l'amour que Jenny avait pour moi la faisait frissonner. Bien que tremblantes, ses mains défirent le cordon de mon pantalon de manière maîtrisée. Elle caressa mes hanches de ses paumes, le geste lent qu'elle effectuait pour atteindre le creu de mes reins me fit grogner. Putain de merde!!!!! Elle me rendais fou!!! 

      J'essayais de poursuivre ma torture sur elle, mais elle avait prit le contrôle sur moi. Jenny glissa ses petites mains sous le tissu de mon pantalon, caressant subtilement mes fesses au passage, avant de le faire glisser jusqu'àmes chevilles libérant mon érection. Avant cet instant je voulais être doux et tendre, mais Jenny avait réveillé la bête en moi. Je passait alors mes mains sous ses fesses et elle bascula son bassin vers moi naturellement.

        D'un mouvement rapidement, je lui retirait son pantalon de pyjama, qui soit dit en passant était horrible. Je découvrais toujours avec un plaisir immense sa peau laiteuse. Je saisissait sa nuque fermement pour y écraser ma bouche envieuse sur la sienne, alors que mon autre main partait à la rencontre de son intimité. Mon excitation était à son apogée en la sentant brûlante et mouillée tellement elle me désirait. Oh diable les fleurs et les chocolats!!! À cet instant je n'avais plus envie d'être l'homme tendre que je m'efforçais d'être depuis le début de notre étreinte. Je la voulait, sans attendre qu'elle n'en puisse plus.

       Un son rauque entre le plaisir et le soulagement s'échappait de ses lèvres pulpeuses, au moment ou je la possédait enfin. Je commençais de lents va et vient en elle, la sentant perdre pieds à chaque coup de reins. Ses mains s'accrochaient à mes bras contractés, alors que les miennes s'agrippaient à ses cuisses fermes.

       Mes mouvements s'accéleraient, sa respiration devenait haletante et saccadée, je savais pertinemment qu'elle était proche de l'explosion. Devais-je ralentir? La réponse était non, la voir dans cet état me rendait complètement fou! Ses jambes encerclaient mes hanches, ses ongles s'enfonçaient dans ma peau. Cette sensation décuplait tous mes sens et la force de mon désir.

      L'orgasme était proche, je le sentais et pourtant j'essayais de me retenir pour elle. Pour ma plus grande satisfaction tout son corps se mit à trembler, Jenny s'accrochait encore plus. Je sentais tout son être se resserait autour de moi et exploser en des milliers d'éclats. Je pouvais enfin lâcher prise et me laissais aller à cette extase tant attendue. Je m'écroulais alors ma tête tombant sur sa poitrine généreuse.

        Il n'y avait aucun doute, le sexe c'est bon, mais faire l'amour à la femme que l'on aime plus que sois même est indescriptible...