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Tout était blanc, puis les couleurs se remettaient en place, tout était flou.

Quelque chose comme une sonnette d'alarme retentissait sans arrêt dans mes oreilles, comme un bruit sourd, tout mes membres me faisaient souffrir, je ne pouvais pas bouger.

Quand je reprenais un minimum mes esprits, je voyais l'airbag du volant collé à moi, transpercé par une barre de fer qui était planté dans mon abdomen, mes jambes étaient bloquées sous quelque chose que je ne pouvais pas voir, le Monde était à l'envers.

Je tournais la tête et voyait des camions de pompiers partout, les sirènes n'arrêtaient pas de sonner, tout était à l'envers. Je compris alors que ma voiture était retournée.

Le premier réflexe que j'eu fut de tourner ma tête pour voir les passagers, la ceinture n'était pas attaché à la place de Louise, je compris que Louise ne s'était pas attachée.

Je tourna alors la tête vers l'arrière mais je ne pouvais rien voir car je devais me retourner et cette barre de fer était installé dans mon corps.

Le pare-brise était brisée et je pouvais voir une quantité de sang que je n'avais jamais vu de ma vie, même dans les films.

Mia: LIAM !!!!! - hurlais-je.

Je n'entendais aucun cri d'enfant dans la voiture.

Un homme s'allongeait de mon côté de la voiture.

Mia: AIDEZ MOI MONSIEUR, JE VOUS EN PRIE.

L'homme: Je suis là, je vais vous aider.

Mia: LES BÉBÉS DERRIÈRE !! EST CE QU'ILS VONT BIEN ? DITES MOI QU'ILS VONT BIEN.

L'homme: Nous avons sortis les bébés.

Mia: EST CE QU'ILS VONT BIEN ?

L'homme: Ils sont pris en charge par des médecins. Nous allons vous sortir de là.

Mia: Et Louise ? Elle va bien.

L'homme: Il y a beaucoup de victimes, j'aurais plus d'infos quand je vous aurais sorti de là.

Mia: D'accord, je peux pas bouger.

L'homme jetait un œil a ma situation.

L'homme: Comment vous appelez vous ?

Mia: Mia, je m'appelle Mia.

L'homme: D'accord, Mia, moi c'est Brian.

Mia: Brian, je sens pas mes jambes

Brian: Ne paniquez pas, ne vous fatiguez pas à parler, et surtout restez avec moi, ne vous endormez pas, même si vous êtes fatigués, ne vous endormez pas, c'est crutial.

Les pompiers se débrouillaient pour me faire sortir de la voiture et me conduisait à l'hôpital, lorsque que le brancard montait dans l'ambulance, je pouvais voir le désastre de l'accident.

Un car brisé à l'avant, 6 voitures avec les pare-chocs avant et arrière détruits, du sang partout, des corps recouverts par des draps ou des couvertures en aluminium.

Les portes se refermaient et l'ambulance démarrait.

Sauvetage Où les histoires vivent. Découvrez maintenant