Prologue

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     "Dans la vie, on a tous fait quelque chose que l'on regrette ou que l'on regrettera dans le futur !" (De moi )

   [C'est ce que ma mère m'avais dit lorsque j'étais encore une enfant innocente sans tâches sur les mains, ses tâches rouges qui resteront éternellement ...]

    Un homme habillé en uniforme de gardien, batte, à la main, un revolver accroché à la ceinture à coté d'un talkywalky, était venue déranger une jeune femme pensive pendant que qu'elle réfléchissait, assise sur l'un des lits suspendus qui composer la cellule.
Ce gardien était plutôt laid, ventre grassouillet et chemise qui sort du pantalon. Il était chauve sous sa casquette d'officier grise et possédait un gros nez qui lui manger la quasi-totalité du visage. Bien connu pour être très désagréable, le gardien Dorky était haïe par une bonne partie des résidentes de la prison carcérale.

-C-12, tu as de la visite, grouille toi de sortir de là !
Va te faire mettre par ton père enfoiré. La phrase sortit calmement comme une lame glacée dans un cœur.
 -Tu fais dans l'humour maintenant, C-12 !
- Tu sais que j'ai un prénom ou cela te plairais que je t'appelle "toutou numéro 27" ? Elle souffla d'énervement en voyant son air d'incompréhension Oh et puis laisse tomber, tu ne mérites pas mon prénom.
 - ...

   L'officier la regarda avec un regard froid et la blonde se décida à bouger son derrière de la cellule, ne résistant pas à faire un clin d'œil à ce gros porc qui même s'il la haïssait depuis qu'elle lui avait brisé le nez par "accident", ne pouvait s'empêcher de regarder ses formes serré dans sa tenue. 

L'accompagnant​ jusqu'à la salle des visites et lui ordonnant de s'installer dans une salle dont les murs gris et les murets en contre-plaqué séparant chacun des " postes " donnait plus envie de se suicider qu'autre chose. Elle s'est donc assise sur une chaise en métal noir et en face d'elle se trouvait une "vitre" en plastique qui la séparer de l'extérieur simplement relié grâce à un téléphone au côté intérieur .

Comme à son habitude, la blonde observait son entourage et entendit ainsi la porte s'ouvrir de l'autre coté de la "vitre" et se concentrant, elle comprit :
   "Nan mais ça ne va pas de me pousser comme ça,un soupir, bon j'ai pas que ça à faire moi !

   Une femme s'approcha de la chaise en face d'elle et eut un sourire aux lèvres, ses cheveux  brun très clairs sont -comme toujours- attachés en chignon à l'arrière de son crâne. Elle avait une tenue propre et soignée  -comparée à l'uniforme orange fluo des prisonnières-, une jupe droite et serrée marron surmontée d'une chemise blanche et d'une veste, elle aussi, brune. La brune attrapa le téléphone et fit signe à la prisonnière de faire de même qui s'exécuta aussitôt:

"Bon je dois faire vite, elle laissa planait un silence avant de continuer, j'ai réussie à t'obtenir une remise de peine mais...avec des conditions !
- Lesquelles ?
-Et bien tu devras entrer dans un lycée de leurs choix  !
-Il en est ...
-Attends avant de refuser, c'est l'opportunité que tu attendais depuis si longtemps pour sortir d'ici, tu auras simplement , sauf autorisation, l'interdiction de sortir de la ville ! Je te laisse réfléchir, d'accord ?
- D'accord...

La jeune blonde se leva et quitta la salle, les sourcils fronçaient et ses pensées tournant à une vitesse incroyable dans son crâne.

  ................................................................  Alors ? Bien, moyen, nul, pourrie ? Votre avis compte pour nous ! (et oui le retour des pubs)
Voilà, ce prologue à était modifié, j'espère qu'il vous plaira, je vais reprendre cette histoire et l'améliorer.

Tuer pour survivreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant