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Il était là à m'attendre,au bord de là rivière,avec une nouvelle à m'annoncer. Excitée,je le prend par surprise en arrière,comme des frères on était très attaché,impossible de nous délier. Et là j'ai lu sûr son visage qu'il était triste,prise par cette même émotion,j'ai tout saisi

- Depuis quand c'était prévu? Demande-je brusquement

- Cela fait plus d'une semaine,commença-t-il,je ne savais comment te le dire,je me sens si perturbé,mais si tu me demande de rester je le ferai.
Entre temps je me suis mise à frotter mon front comme pour digérer cette atrocité.

- Mon DIEU! Étonné-je,tournée sûr mes talons je ne savais quoi lui dire,bien sûr que je désir l'avoir à mes côtés toute là vie mais lui obligé à choisir entre son avenir et moi ce serait de l'égoïsme de m'a part et je ne me le pardonnerai jamais de lui  empêcher de saisir sa chance. Enfouis dans mes pensées je ne savais quoi répondre,sois forte me disais-je intérieurement,car si je je lui laisse voir l'immense douleur que je je ressens il serait capable de tout abandonner et ceci rien que pour moi.
Non,je ne vais pas le permettre
Sans m'en rendre compte j'avais parlé à haute voix et il était là à me dévisager pris entre le feu et le marbre.

- Pardon? Me quéstionna-t-il

-Non,rien,je crois que tu as pris une bonne décision d'ailleurs tu ne vas pas disparaître mon coeur.tu pourras toujours m'envoyer quelques lettres et qui dit que je ne viendrai te rendre visite pour changer d'horiz...

Je n'ai même pas pu terminer ma phrase qu'il m'enlaça  dans  ses bras,qui pour moi,était un nid j'aimais me réfugier pensai-je. Mais comment vais-je supporter de ne plus avoir quelqu'un avec qui papoter?
Il est le seul ami que j'ai et après lui personne n'y comptait à mes yeux. Il connait tout de moi,il savais comment me mettre sûr les railles pis je l'aime tellement...
Sans Le vouloir j'ai versé une larme que je me suis empressée d'essuyer. Je le connais depuis l'enfance,nos deux familles s'étaient lié sur le plan professionnel mais aussi parce que Cramer et moi on s'entendait très bien.

J'ai beaucoup appris avec lui et il m'avait aidé quand j'étais coincé avec les maths,il expliquait si bien,qu'on dirait qu'il avait ce domaine dans le sang.
Toutes les filles de mon école avaient des journals intimes mais moi j'avais Cramer et cela me suffisait largement.

-Tu es sûr que ça ira?

C'était cette voix,celle qui me manque déjà,douce et virile,oh! Que j'aimais l'entendre. Tendrement il m'avait relevé là tête pour poser ses yeux gris dans les miens.

-Oui,et je crois que t'en a déjà perdu trop de temps.lui dis-je.

-Je ne savais comment te l'annoncer et comme les jours avançaient j'ai demandé à Guy de te prévenir que je t'attendais dans notre lieu préféré depuis l'enfance.avoua-t-il dans un souffle.

Sur ces mots je regardais la  forêt le coeur gonflé,plus rien ne sera comme avant même le paysage sera incolore sans lui,perdue dans mes dernières admiration j'ai tout lâché

-Là où tout à commencer,c'est là que tout prendra fin.

En disant ces paroles j'ai senti un frisson de panique parcourir tout mon corps,près à m'échapper en pleurant mais comme toujours Cramer à su lire dans mes pensées,et il me dépassait,m'attrapant dans ses bras il me força à  le regarder.

-Pourquoi dis-tu une chose pareille?
Je ne compte pas partir pour une éternité! Me rassura-t-il. Tremblante,je ne pouvais plus cacher la douleur qui s'imprégnait en moi.

-Tu me brises le coeur Any.

il m'appelait tout le temps ainsi que j'ai fini par l'aimer aussi. Ma tête au creux de   son épaule,je le serrais si fort,comme-ci je voulais me fondre en lui.

-Je t'en prie,demande moi de rester et je le ferai,tu sais que je suis capable de n'importe quoi pour toi,l'entendis-je murmurer à mon oreille
Je t'aime Any,je t'aime.

Et en disant ces phrases magiques il m'etreignit très fort comme pour me le prouver,et j'ai senti son corps tremblé.
Or je ne devrais pas lui demander une telle chose ce serait de l'injustice même-ci je le désir ardemment. D'un mouvement brusque je me suis dégager de son étreinte

-Je ne veux pas que tu restes!hurle-je presque

Heureusement que j'ai pu gagner mon sang froid,et le ton ferme qu'il me fallait pour le convaincre. Étonné ,il me regardait avec ses sourcils élevés genre"je ne la comprend pas" et j'ai dû encore lui répété cet horreur

-Je ne veux pas que tu restes Cramer

Bon sang!je pourrais jouer un film

-Je t'aime aussi,mais je crois que je surmonterais tout cela avec le temps.ajoutai-je.

Je savais que je mentait mais c'était pour sons bien et non mon bien car le mien c'est lui que la nature dans sa méchanceté à décider de m'enlever.

-D'ailleurs je serais tranquille de savoir que tout marché à merveille pour toi.m'empresse-je de conclure.

-Tu sais que parfois je n 'arrive pas à te décrypter déclara-t-il d'un air confus

-Je sais mon petit.

Jadis,il m'aurait poursuivi de l'avoir appeler ainsi mais il a appuyé son front contre le mien,les yeux fermés puis il laissa échappé un soupir. Debout,le vent soulevait ma mini robe  balnche à dentelles retombantes ainsi que mes cheveux coiffés en boucle africaine. Il me caressa tendrement les joues ,mon coeur battait la chamade,mon corps montait mille escaliers.  J'empoigna ses cheuveux,qui sont d'un parfum unique"l'odeur à la Cramer",et lentement il avait posé ses lèvres contre les miennes sans bouger comme pour attendre une objection de ma part,ce qui ne risque d'arriver car je le voulais. Puis j'ai senti qu'il ouvrit sa bouche fofilant sa langue pour me faire goûter à ses délices que je ne me suis gênée d'accueillir.😮😮.

Amis, AmourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant