-Chapitre 1-

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Chapitre 1 :

"Je me crois en enfer, donc j'y suis." -Arthur Rimbaud.

La pièce était presque entièrement sombre. La seule source de lumière était une petit ampoule chancelante qui vacillait au grain de la brise. Elle aurait pu se décrocher à tout instant.

Son grincement rendait le lieu insupportable, septique et incrédule. Les murs étaient froids. Au sol gisait des larmes de rasoirs et des tâches de sang indénombrables.

Personne n'aurait pu survivre plus de deux jours ici.

Dans le coin de la "chambre", recroquevillées sur elle même, une enfant sanglotait. Elle semblait chétive et innocente. Elle récitait une prière dans l'espoir qu'un miracle se produis.

Elle releva et la tête et se parla à elle même :

"Ne Rêve pas Charline, les miracles n'existent pas. Pas pour toi"

De lourds pas se firent entendre derrière la porte.

Les mains de la jeune fille devinrent fébriles. Ces yeux se remplir de larmes et coulèrent sur ses joues.

La serrure de la porte tourna exactement trois fois, un peu "clic" se fit entendre, et celle-ci s'ouvrir.

Un énorme masse noire fit son apparition et attrapa le cou amaigri de l'enfant et la souleva.

Ses yeux étaient remplis de haine.

"C'est ton tour ma belle"

Un couteau s'enfonça dans les entrailles de la victime.

Mais c'était comme si elle ne souffrait pas vraiment. Elle avait l'impression d'avoir quitter son corps et que son âme s'envolait. Elle volait, volait, et volait encore au dessus de la pièce à regarder cette scène atroce.

Charline se réveilla en sursaut.

Cela faisait deux semaines qu'elle et sa sœur avait été accueillies pour sa famille d'accueil. Sa chambre possédait de mur blanc, ce qui donnait d'avantage de luminosité.

Après avoir appeler la police elle s'était réveillée à l'hôpital, sa mère et une seule de ses sœurs à son chevet.

Elle questionna sa mère sur ce qu'il s'était passé. Lorsque la mère de Charlie eu fini son récit, sa fille fut sous le choc.

Il lui manquait une sœur, on lui avait arrachée la vie. Quelqu'un avait détruit une enfant de 7 ans.

Un connard l'avait kidnappée et tuer. Une crise de schizophrénie d'après l'avocat de l'accusé. On ne pouvait l'emprisonner et ceci détruisait la famille Simons ...

Enfin presque toute la famille, après avoir agresser sa fille Monsieur Simons avait pris la fuite et n'avait jamais redonné une trace de vie.

Il était accusé de complicités bien évidement.

Charline aussi fut accusée de complicités. Elle fut relâché une semaine après son arrestation.

Elle avait du rester en maison de correction dans une cellule comprenant de terribles conditions. Pas de salle de bain, pas de draps, pas de coussins, pas de fenêtres. Juste des trous dans les murs et des insectes en tout genre.

L'adolescente faisait de régulières crises de paniques depuis ce jour.

Charline ce retourna pour regarder son réveil,8:30. Voila déjà 15 jours et 5 heures qu'elle vivaient dans cette immense villa de Londres avec Maura et Bob Horan. De braves gens disait-elle. Ils étaient courtois et solidaires. Ils n'ont pas hésiter à tout faire pour avoir la garde des deux sœurs.

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⏰ Dernière mise à jour : Apr 14, 2014 ⏰

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