Traitresse Dans L'âme, Saison 1

Chapitre III

La DreamTeam? Mais...Mais qu'es ce que c'était que ce cirque !? Et c'était quoi ce nom, franchement ! Ils faisaient rêvé personne. Surtout pas moi! Enfin, Ino et Karin pouvaient faire envier certaines, mais les mecs! La blague!

Sasuke était posté devant moi, un paquet beige dans ses mains. Il me la tendait et je ne voulais pas la prendre. Je ne savais pas qu'es ce qu'il y avait à intérieur, et il fallait avouer que cela me faisait peur. Je regardais autour de moi : tous les étudiants avaient cessé leur activité pour regarder la scène. Il y avait des envieux, mais c'était moi qui était envieuse. Oui, j'aurais préféré être à leur place. Il y avaient ceux qui attendaient que quelques choses ce fasse afin de reprendre leur activité. Je comprenais parfaitement leurs jemenfoutisme...Que serai ce genre de scène sans ses fanatiques de la "DreamTeam". Quelques une avaient une mine enjouées, tandis que d'autre...eh bien si elles avaient le don de tuer avec leurs yeux, j'aurais été six pieds sous terres en moins de deux. Les membres de la "DreamTeam" aussi avaient les yeux rivés sur moi. Kiba, Suigtesu et Karin (la copine de ce dernier) semblaient attendre, impatient. Shikamaru était impassible, comme d'habitude. Je ne voyais pas Ino, ni Naruto avec eux. Par contre, Temari elle, semblait très nerveuse. Elle bougeait ses jambes comme les fous en psychiatrie. J'étais plongée dans ses yeux vert sapin, elle me sourit faiblement. Moi qui comptais sur son soutient, je me suis retrouvée livrée à moi même! Ce genre de pression! C'est comment!? Personne de leurs bande ne bougeait. Et je m'en fichais pas mal. La seule chose qui m'importait à cet instant T, c'était mes amis. Lee, Shino, Matsumi, Fuu et Chôji me regardaient apeurés. Kariu aussi manquait à l'appel. Je questionnais Shino du regard, et eu comme réponse qu'un haussement d'épaules. J'avais l'impression d'être une bête sauvage, en cage, devant distraire un public. Qu'es-ce-que je devais faire?

Si je reprenais les dires de Sasuke, j'avais intégré malgré moi la "DreamTeam". Si je faisais parti de la "DreamTeam", pourquoi ce n'était pas Naruto qui venait à moi pour l'annoncée? Etant le "Big boss" de la troupe et mon pseudo-petit-ami, la logique aurait voulue que ce soit lui qui soit devant moi. C'était bizarre, et le paquet m'avais l'air pas très nette. Sans oublier le regard de Sasuke. Cela me donnait de moins en moins envie de le prendre, bien que ma curiosité ne cessait de grandir.

- Tu refuse notre cadeau de bienvenue, Hyuuga? Je te croyais pas si faible que ça? C'est décevant !

Sasuke ne m'avait jamais appeler par mon prénom. Il ne le faisait pour personne d'ailleurs. Même Naruto n'avait pas se mérite. Une fois, je m'en souvient très bien, j'étais dans le couloir avec Chôji, une fille, qui devait être en seconde avait bousculé Sasuke, faisant tombé ses livres et son téléphone. Il y avait beaucoup d'élevé donc il n'avait pas pu réagir sauvagement. La fille était terrorisée alors qu'il n'y avait pas de quoi. Si on retirait le statut de vice-président des élèves et bras droit de Naruto, il n'avait rien, mise à part peut-être une belle gueule...et encore! Sasuke lui avait demandé son nom, elle lui avait dit s'appeler Maori. Bien entendu s'était son prénom.

-En plus d'être gauche t'es conne. Ton nom de famille, c'est quoi!?
- Ah..euh Sarajevo.
- Sarajevo ? Pfff peut importe. Mes livres vont pas se ramasser tous seuls ! Et mon téléphone, j'espère pour toi qu'il fonctionne mieux qu'avant
- Mais comment il pour-
- J'en ai rien à foutre. Tu te débrouille.

C'était à ce moment précis que j'avais commencé à détester Sasuke...

Alors que je m'apprêtais à refuser le dit cadeau de bienvenue, les étudiants ce sont mis à crier mon nom. J'avais l'impression d'êtres plus que le centre d'attention. Je me sentais limite puissante. Comme dirait Lee " J'aurais niqué des mères." Bien sûr, je n'es pas en moi cette capacité. Mon nom résonnait comme un chant religieux dans le réfectoire. Mon cœur disait "non", ma tête disait "non", mais ma raison disait "pourquoi pas?". Tous s'impatientaient, criant plus fort, tapant des pieds et des mains. Une montée d'adrénaline faisait vibré tout mon être. Accepter? Refuser? Céder? L'envoyer chier? Je savais pas quoi faire, jusqu'à ce qu'une main vient se déposer sur mon épaule, faisant taire par la même occasion tous le monde. Mon sauveur?