Chapitre7

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Je me réveille dans une pièce sombre, je tâte à ma droite, je sent un interrupteur. Je le presse et une faible luminosité traverse la chambre, c'est une petite pièce carré, il y a une porte à gauche, et sur le mur d'en face, une fenêtre fermée avec un volet. Au milieu de la pièce, il y a un lit , où je suis allongée, une table ou et posé un téléphone, une lampe et un petit boîtier avec en son centre un bouton, de l'autre côté, il y a une quadruple support tige de perfusion. Dans la première poche, il y a un liquide transparent, dans la deuxième,  un liquide rouge foncé,  dans la troisièmes, un liquide jaunâtre, et la dernière et vide. Je ne sais pas quoi faire, Allison arrive dans la chambre avec un bouquet de fleur et me dit:
-" Salut! Ça va? Je t'ai apporter des fleurs! "
-" Salut!  Oui ça va mieux, dis-je essayant de bouger mon épaule"
Mais Allison me cri:
-"Non ne fais pas ça! Tu dois bouger le mois possible!"
Elle dépose les fleures sur la petite table et appuie sur le bouton du petit boîtier près de mon lit. Une infirmière arrive en courant,  elle me dit de ne pas bouger de l'attendre. Quelque minutes plus tard, un médecin arrive et me dit que tout ces bien passée, il me demande comment je me sent je lui répond que ça va et il m'enlève les perfusion, il me dit que j'ai dormis plus de vingt quatre heures et que je peux repartire, mais il m'interdit de conduire, de faire du sport et de trop sollicité mon épaule. Il se tourne vers Allison et lui donne des sédatifs en lui disant de m'en donner si j'ai trop mal.

*

Nous rentrons à la maison, arrivées devant la porte, j'ai l'impression que quelqu'un nous suit, je me retourne mais ne vois rien, je rentre dans la maison et je vais m'allonger dans ma chambre, je reste sans bouger pendant plus d'une heure je sent que l'on m'observe, je ne veut pas bouger, j'ai peur. Alors je m'endors; je rêve d'une forêt, d'un visage inhumain qui me poursuit en criant Zozo, je suis seule alors je cours plus vite, je tends Allison hurlée, je ne sais pas où alors je redouble d'effort et cours, plus vite que mes jambes me peuvent supportées, je tombe, je me retourne et vois son visage, monstrueux à dix centimètres du mien j'ouvre la bouche, et il me hurlé dessus! Il Me prends la tête dans ces main et me l'arrache d'un coup sec!

Histoire de fantômes...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant