Chapitre 1 - Mauvais rêve (prologue)

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La journée était chaude, le soleil tapait, je jouais avec mes poupées, et je m'amusais avec le pendentif que papa m'avait offert. Soudain quelqu'un frappait à la porte, ma mère m'arrachait à mes occupations en me portant, elle ouvrait la porte, deux jeune personnes étaient devant nous, ma mère me donna dans les bras de la dame, je criais et je pleurais.

- Papa papa!

La femme me berçait pour me calmer et marchait vers une grosse voiture, je me débattais, en hurlant et je pleurais. La femme rentrait dans la voiture et me tenais contre elle.

- Chut, chut petite princesse ce n'est rien. Disait-elle.

Je ne comprenais rien à ce qu'elle me disait, sa langue était inconnue. Je pleurais en regardant par la fenêtre, soudain je voyais papa qui courrait après la voiture je pouvais l'entendre crier.

- Minako-chan, Minako-chan!

Je ne cessais de pleurer regardant la voiture s'éloigner de plus en plus de papa ainsi que de la maison. Je voyais de très loin papa s'effondre sur le sol en pleure. La jeune femme ne cessait également de me bercer essayant toujours de me calmer.

- Minako ! Dit-elle perdent patience de mes cris insupportable.

- Soit plus calme s'il te plaît, nous arrivons là où tu vas passer ta dernière semaine.

Je ne comprenai pas ce que la femme essayais de me dire. Je me pencha vers la fenêtre regardant les personnes passer. La porte derrière s'ouvrit, je pensais que je pouvais enfin retrouver papa alors je me précipite à l'extérieur de la voiture. Je cherchai papa tournant la tête à gauche à droite pensent que ce n'était qu'une simple blague comme mon papa avait l'habitude d'en faire.

- papa papa ! Criais je dans la rue.

Mais très vite la femme attrapa ma main et m'emmena à l'intérieur d'un établissement ou jouait d'autres enfants. J'entendais la femme parler à un homme, mais je ne comprenais rien à se qu'ils disait. La femme se dirigea vers les escaliers qui menait à l'étage, elle montait les escaliers comme si qu'elle était assez pressée. Encore une fois, je montais sans rien dire. On arrivait dans un grand couloir, des portes était aligner les unes à côté des autres. Rien ne trainait, le sol était nickel, il y faisait noir. Il y a avait juste une fenêtre au bout de celui-ci qui faisait entrée la lumière. La femme se dirigea vers une porte avant de l'ouvrir.

-Voici ta chambre. Tu dormiras ici cette semaine. Dit-elle d'une voix douce et rassurante.

J'entrais à l'intérieur sans forcément une fois de plus comprendre les mots qui s'adressait à moi. Mais j'avais deviner que cette chambre était la mienne.

9h les rayons de soleil passaient à travers la fenêtre de ma chambre et venaient réchauffer mon visage. J'ouvrais doucement les yeux sentant cette douce chaleur. C'était encore ce cauchemar.

À la recherche de mon passéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant