One-Shot

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Noir. Tout est noir. Les arbres, le ciel, les gens... Tout et ce, depuis que je suis née. Juste parce que je suis "différente", on me frappe, on me crie dessu, on m'insulte mais, n'est-ce pas la preuve que certaine personne sont faible ? Qu'ils cache leur faiblesse derrière leurs stupides masques de force en me frappants ? Je ne voulais plus vivre... mais TU est apparue. TOI, qui m'a tendus la main et qui a été critiqué.
《 Regardé, c'est le monstres. Il devrait mourir comme sa conne de soeur. Hey, quand est ce que vous allez mourir, les monstres ? 》
, et encore et encore des insultes, des coups, des crachats mais je m'en fiché car tu était là.
《Ne les écoutes pas, ils sont stupide, ils ne voyent pas que c'est eux les monstres. Je serais là, toujours là, à côtés de toi et contre tout. 》Ces phrases, je les ait cru, de tout mon coeur mais, à causse de sa, tu à était persécuté. Lorsque je t'ait dit que je voulait plus que tu m'approche, tu m'a pris dans tes bras et tu m'a dit
《 Je t'aime, je ne te laisserai pas pleurée. Je t'ai aimé au premier coups, et toi ? M'aime tu ?》
Tu me serrais comme si tu avais peur que je m'effrite et que je disparaisse, alors, pour ne plus te faire peur, je t'ai repondu
《 Oui, je t'aime.》 Tu m'a entouré de tes bras et tu m'a embrassé, j'était heureuse, c'était chaud, doux et sucré. Je t'aimé à en mourir et toi aussi, mais je n'avais pas le droit au bonheur. Tu est mort peut après, battu à mort. Personne n'est venu te voir lorsque tu était à l'hôpital, pas même tes parents lorsque tu était dans le coma. Puis, tu est mort, l'air triste et en colere.《 PARDON ! C'EST MA FAUTE ! JE N'AURAIS JAMAIS DÛ TE DIRE 'JE T'AIME' ! TU NE SERAIS PAS MORT ! je pleurais, je criais mais personne ne venait. Dit, je peux te rejoindre ? Je ne peux plus vivre dans toi, et toi, tu peux mourir sans moi ? Je te rejoins, tu me donnera ta réponse, d'accord ? 》
Je t'ai embrassé une dernière fois, c'était froid, rappeu et sans goût. "Au revoir", je m'approchait de la fenêtre ouverte, nous étions au 7 ème étage de l'hôpital, comme notre âge, je monta sur la fenêtre et me laissa basculait, les yeux vide et grand ouvert, la tête la première. J'entendais le vent siffler à mes oreilles, je voyait le sol se reprochait de plus en plus vite et, avant de m'écrasé, ton sourire heureux. Je me sentis m'écrasé sur le sol brusquement, ce n'était pas douloureux, je me sentais bien et je fermé mes yeux "je te rejoins" ce fut mes dernière paroles et je ne vis plus rien. Le noir, cette couleur que j'ai toujours vu et toujours détesté et adoré puisque, grâce à elle, je t'ai rencontré. Nous somme mort le 7 juin 2007, à l'âge de 7 ans et le jour de notre rencontre, à l'âge de 6 ans.

Ma vie, ta vie, notre MORT.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant