Je suis heureuse, aujourd'hui c'est Mon anniversaire ! J'ai 16 ans. Pour Mon seizième anniversaire mes parents Mon promis une surprise. Ils en parlent depuis quelque mois. J'ai essayé d'entendre leur conversation mais à chaque fois que je suis là, ils changent de sujet.
Quelqu'un Klaxon derrière nous. Je me retourne et j'admire cet voiture qui se tient derrière nous.- C'est bon j'avance ! Crie Mon père.
- Calmes-toi Mon chéri, dit doucement ma mère.Je regarde par la vitre. Je vois un panneau : Direction Houdan. C'est le déclic ! J'ai beaucoup d'amis qui vivent dans Houdan Mais je ne les vois plus. Je gigote et demande :
- ON VAS VOIR AMANDINE, ANNE ET LES AUTRES ?
- Chut s'il te plaît, me répond froidement papaJe suis déçue. Papa ma toujours parlé ainsi. Il voudrait que je face du sport sauf que Le sport et moi ce n'est pas l'amour fou. J'ai essayé de lui expliquer que je préfère lire mais à chaque fois il me sort que lire ne sert à rien... Je ne suis pas le garçon que Mon père aurait voulu. Parce que je suis une fille.
Ma mère, elle, s'en fiche complètement de moi. Quand je rapporte des mauvaises notes je ne me fais même pas gronder. Elle me traite de folle, juste parce que je fais la poule dans le jardin. Je sais que je suis un peu bizarre Mais je suis loin d'être folle. Et puis il faut un peu de folie dans la vie.
- Maman, on ne vas pas les voir ?
- Oh tu es énervante Léa.
- Pardon.Des fois j'ai l'impression que mes parents ne m'aiment pas. Mais les parents en général aiment leur enfant ? Je pense surtout à ma surprise. Si ça se trouve je vais chez mes grands-parents !! Je l'es adore, eux, me porte plus d'amour.
Maman regarde la carte et pointe du doigt un endroit. Je ne peux pas le distinguer car je suis trop loin. Je regarde encore autour de moi pour essayer de voir où on est mais je ne reconnais pas cet route, elle est entourée d'arbres des deux cotés.
- Ce n'est plus très loin, dit maman, On devrait s'arrêter là.
- Tu as raison. Répond papaLa voiture va sur le bord de la route et on s'arrête. Papa et maman sortent de la voiture et ouvrent le coffre. Ils me demandent de sortir du véhicule. Ils me bandent les yeux :
- On arrive bientôt Léa, tu garderas ton bandeaux jusqu'à qu'on te dise de le retirer. Si tu l'enlèves avant, je te punirai très fort.
- D'accord papa.Quand je faisait une bêtise, papa me punissait. Il me tapait. Pas très fort mais je me retrouvais souvent avec des bleus. Je devais mentir à mon professeur de sport quand il les voyait. Je disais que j'étais tombée sur le goudron ou que je m'étais cognée.
Ils me font remonter dans la voiture. Je ne vois rien du tout. J'entends la voiture démarrer et je sens qu'on repart. J'entend les souffles réguliers de papa et maman. Je m'ennuie. Je rappelle que notre voiture est une mini rouge cerise et que la trace des pneus forme pleins de croix. J'adore cet voiture.
Mon père ouvre la fenêtre. Je le sais parce que la fenêtre fait du bruit quand on l'ouvre.
- Tu sens cette odeur Léa ?demande papa
- Ça sens l'humidité et la nature.
- Bien. Es-ce que tu sais ce qu'on te réserve pour ton anniversaire ta mère et moi ?La voix de mon père est très bizarre. Comme si il est furieux et heureux à la fois. Je fais non de la tête parce que je sais que si j'avais ouvert ma bouche, j'aurais éclaté en sanglot. La voix de mon père me déstabilise.
La voiture frêne enfin. Mes parents sortent de la voiture et me prennent par le bras droit. J'entend une porte s'ouvrir. Je sens sous mes pieds la boue. Je marche toujours mon bras pris par un de mes parents.
- Attention il y a des marches. Dit maman
Je lève le pied pour pas tomber par terre. Une fois que je ne sens plus les marches du haut je demande :
- Je peux enlever le bandeau ?
- Tu veux que je te tape ? Lance mon père furieuxJ'ai peur. Pourquoi m'emmener dans un endroit où il y a de la boue ? Ça ne peux pas être chez Papy et Mamie parce que il m'aurait déjà fait la bise et puis il n'y a jamais de boue chez eux. Alors là, je m'inquiète. Je touche enfin un plancher. Il craque. Je me sens rassurée... J'ai eu peur pendant un instant.
- Bon on vas faire du camping ici. Tu peux enlever ton bandeau.
J'obéis. Je découvre une vieille maison toute petite. Il n'y a qu'un seul lit. Je vois sur la table une carte et une paire de botte.
- On trouve, ta mère et moi, que tu es un peu... disons faible. Tu ne sais pas te débrouiller toute seule.
- C'est FAUX ! Criai-je, POURQUOI ON EST DANS UNE FORÊT ?Mon père s'approche de moi et me gifle avec violence. Je suis tombée par terre et maintenant je pleure. Non pas parce qu'il ma giflé, loin de la. Je pleure car mes parents me voient comme une incapable, nulle et pour eux, je ne suis que leur boniche... Je dois supporter les colères de maman tout les jours car elle a plus beaucoup d'argent et l'alcoolisme de mon père !
***
- On te laisse cette carte, le point rouge c'est la où on ce trouve. Les bottes sont la pour ne pas abimer t'es Adidas. Et il y a des conserves dans ce placard.
- Mais vous partez ? M'inquiétais-je
- Non c'est du camping en famille, me sourit ma mèreEncore une fois je vais tout faire. Je ne sais pas combien de temps on va rester dans cette endroit. J'espère qu'on repart demain. Le pire de mes anniversaires...
C'est la fin de la journée, le soleil commence à ce coucher. Papa et moi nous sommes aller péchés dans un étang près de la maison. Si je pourrais appeler cette chose une maison d'ailleurs. Le toit est cassé et par conséquent il y a une bâche sur le toit. Il y a plein de moustiques collés à la seule fenêtre. Cette fenêtre ne peux d'ailleurs pas s'ouvrir, et on a une vue sur notre mini. Mes parents parlent mais je n'écoute pas. Je m'allonge sur le seul lit même si ils me prendront pour une égoïste. Je regarde le plafond. Je pense au collège. Les gens se moquent de moi parce que j'ai des bleus ou des cicatrices. Ils se moquent s'en savoir la souffrance que chaque cicatrices laisses, si je souffre ce n'est pas parce que j'ai mal, non, c'est parce que quand je vois les cicatrices, je vis la scène comme si elle est en train de ce passer. Une larme coule le long de ma joue. Je ferme les yeux en espérant que mes parents n'ont pas vu cette larme.
***
Je vois la lumière du soleil sous mes paupières. J'ai mal dormi. Le lit est tellement dure ! J'ai du mal à ouvrir les yeux. Quand je les ouvre enfin, je parcours la maison délabrée des yeux.
Personne. Pris de panique je me lève et regarde par la fenêtre. Plus de mini. Je me dis alors qu'ils sont allés chercher de quoi manger.Au bout de 30 minutes ils ne sont toujours pas de retour. Je décide de prendre une conserve et de la manger. C'est des raviolis. Je pense alors à mon téléphone. Je pourrais essayer de leurs envoyer un message.
Coucou, je voulais savoir quand es-ce que vous allez arrivée. J'ai ouvert une conserve de raviolis. Bisous.
Pas de réponse. J'enfile mes bottes pour sortir. Les bottes sont trop grandes d'au moins 1 pointure... Super ! Pensai-je
Je vais comme même dehors et je ne vois pas les traces de pneus de la voiture. J'adore lire des romans policiers et quand il parle de voiture en forêt, ils disent toujours que si il y a des traces ces que le tueur est parti il y a peu de temps mais si on ne voit pas de traces c'est que : soit il a plu et les traces on disparu soit c'est que le tueur est parti au moins il y a 6 ou 7 heures.
Mon problème c'est la terre, elle est sèche. Sèche comme du goudron, elle est presque craquelé à cause de la chaleur.
Mes parents sont partie quand je dormais. Mon dieu... Ils... ils ... Ils m'ont abandonnés.____________
Coucou ! :) j'espère que ce chapitre t'as plu. Je m'excuse des fautes ^^ Si ce chapitre t'as plu alors n'hésite pas à voter ( ça me ferais plaisir ;) ) Et laisse ton avis en commentaire. BISOUSPs: Mon hirondelle merci d'être là ❤️❤️
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ABANDONNÉE
WerewolfJ'ai été abandonnée. Abandonnée par ma famille. Je me suis retrouvée seule dans une forêt. J'ai du survivre. J'ai perdu espoir. Je suis allée dans un lac et je me suis laissée couler. Léa jeune fille de 16 ans va rencontrer des personnes inoubliabl...