Partie 5 finale : Pour l'amitié.

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Mahuro vu M. Obbray. Le jeune lui fit par de ces nuits calmes et apaiser, le professeur paru soulager, son protéger aller mieux, tout cette enfer étai bientôt achever. Obbray se surprit a rêver de revoir Mahuro dans ces cour, de le revoir rire, et au détoure d'un couloirs le surprendre dans les bras de son ami qui doit lui manquer. 

"Et bien tu sortira bientôt de cette endroit Mahuro".Tout cela aller finir, se dit Mahuro, mais Leslie? "Je ne peut pas abandonner Leslie, le laisser seul c'est impossible". Le regard de Obbray s'assombrit comme si il venait de voir un spectre, il u un silence, puis il lui dit l'air embarrassée"Bien tu pourra lui dire au revoir, mais tu devrait songer a l'oublier...." Mahuro" non". d'un ton sec. 

M.Obbray regarde le poignée de Mahuro posée la sur la table, le jeune a une grande quantité de bracelets déteints, des cadeaux. Le professeur pose le doit sur un des bracelet le plus récent et dit"Et lui? ton ange, il ne te manque donc pas? (Mahuro fuit sont regard) Tu ne compte pas rester ici toute ta vie j'espère Mahuro? sois censé"...Mahuro a la gorge serré il ne l'avait pas oublier comment le pouvait t'il, il l'aimer, mais il savait très bien que penser trop souvent a lui, ici; entre ces murs ne lui apporterait que l'armes et tristesse. Obbray poursuivi sur le même ton paternel"Au lycée il...il est perdu sans toi, il me demande toujours de tes nouvel tu sait, et Alékh aussi, tu n'a pas hâte de revoir tes ami Mahuro?"

Obbray voyer bien que le jeune se retenait de pleurait, alors il pris son élève dans ces bras et Mahuro pleura en silence, il étai vrai que ces amis lui manquer énormément, sont petit ami et son meilleur ami Alékh. Soudain il revenu a la réalité se décollant de l'étreinte il dit en sachent ces larme" Ma, ma mère...je ne retournerait pas vivre avec elle" Obbray non évidement, Pour commencer ta mère...ta mère est recherché par la police, donc pour le moment tu vivra dans un foyer et par la suite..." Mahuro l'interrompe" non ne me laissez pas seul... je pourrait, vous avait une grande maison..." Obbray souri, " Le temps viendra Mahuro ne tant fait pas"

Le lendemain on l'informât que son départ étai prévu dans l'après midi, Mahuro avait hâte de revoir le visages de ces amis, mais il devait dire au revoir a son ami de l'hôpital. Il alla dans la grande salle, la ou les autre jouent au carte, ou les  grandes vitres vous crachent une lumière verte. Leslie ci trouver, Mahuro u un pincement au cœur en songent au mal qu'il aller lui faire.

Debout, seul, immobile...il fixé le sol comme toujours. Mahuro s'avança d'un pas hésitant.   Leslie releva la tète, ces yeux s'éclaircisse a la vue de son ami. Mahuro lui souri puis lui annonça qu'il allait retourné cher lui. Leslie pencha la tète sur le coté, il ne comprenait pas pour quoi sont ami le laisser pourquoi il s'en aller. il y u un long silence, même les autre patient regarder ver Mahuro. Leslie laissa rechaper une unique larme qui coula doucement sur son pale visage de cendre gris.

Une porcelaine qui pleure. Le cœur de Mahuro saigna, il se senti tellement mal de faire cela, une douleurs lui arracha le ventre, lui piquer la gorge et mouilla ces yeux, au bord des larmes lui aussi, il se dit que plus rien d'heureux de vivrait en Leslie, que les bons et doux sentiments, et les journées en sa compagnie ne resterait plus que poussière, des souvenirs vides, s'étai comme brisée le rêve d'un enfant, comme abandonner un petite chiot, sur une route plongé dans le noir.

Mahuro le pris dans ces bras sens réfléchir, le sera fort contre lui, contre son cœur qui battait vite et fort qui bondissait de douleurs. Leslie étai si maigre que Mahuro pouvait l'entourait entièrement de ces bras. Le petite nez rose de Leslie étai collé contre le coup chaud de Mahuro. Il le lâcha, mais garda  les mains sur ces petite épaule, ils se regarda, Leslie ne baissa pas les yeux, il ne pleurait plus, il soutenait le regard doux de Mahuro, comme pour imprimer son visage dans sa triste mémoire, Mahuro en fessait autant.

La bas, pré de la porte se tenait M.Obbray l'aire inquiet, un air qui ne lui ressemblait guère. Mahuro u l'ombre d'un sourire triste, et donna un de ces précieux bracelet, un chapeler de perles noirs, avec quel que calligraphie d'or, du japonais. Leslie regarda le bijoux attentivement, fascinait. Le bijoux étai trop grand pour sont poignet tout fin. Mahuro voulu profitait de se moment d'inattention pour s'éclipsait mais, il n'en avait pas la force.

Leslie regarder toujours son bracelet, quand les main de Mahuro glissa vers son petit cou, pour remontait, et entourait son visage blanc, il détacha son regard de son poignet et  le regarda, une lueurs d'enfant dans ces yeux. Mahuro approcha son visage du sien, leurs souffles se croisas, leurs lèvre s'effleura, Mahuro fini pars l'embrassé tendrement. Une bouffé d'air empli Leslie d'une joie inconnue, Mahuro s'enleva, le regarda, Leslie lui tenait la main.

Leslie ne paraissait pas triste, pas endeuille, mais serein, parfaitement tranquille. Ces yeux pales regarder leurs deux main, Mahuro avait des larmes au yeux, il lâcha la main de Leslie sens le regarder et tourna les talons, il marcha sens osés se retourner le cœur battent, le cœur serrait, vivant ou bien entrain de décédé. Ces larmes brouiller sa vision, il fixé le sol, le carrelage blanc et noirs, ces carreaux salles, ces basket salles, tout même lui lui paraisse salle et crasseux.

Il alla rejoindre Obbray. Il ne se retourna pas, mais alors, Leslie l'appela. Mahuro se retourna,Leslie souriait , s'étai la première fois qu'il souriait. Un sourire vrai, fort et beau. Mahuro souri a sont tour, il voulu lui dire quel que chose. Mais M.Obbray lui tenait l'épeule, Mahuro regarda son professeur" On doit partir maintenant" lui dit t'il. Mahuro ne répondit pas. Il jeta un dernier regard vers sont ami...Mais il n'est-ai plus la.

Au centre de la pièce, il n'y avait rien, contre le mure, une table avec les autres résidents du pavillon qui jouer au cartes. Mais Leslie n'étai nul part. Et au centre de la pièce le bracelet gisait seul. Leslie n'a jamais étai la.




Hôpital st TitusOù les histoires vivent. Découvrez maintenant