ESPOIR EN RÉECRITURE

chapitre 1: l'école

3 septembre 2004 16h00

Cher journal,

Aujourd'hui comme tout les ans, c'est la rentrée. Et comme tout les ans je te dit la meme chose. J'ai vraiment une vie misérable!
Ma mère est partie hier en France pour le travail et je n'est pas de nouvelle de mon père depuis au moins deux semaines. Je suis donc toute seule à la maison!
Ma rentrée est bien la pire de toute même si je sais que ça fait bien 3 ou 4 ans que je te dis la même chose. Je pensais avoir le courage de tenir ma dernière année comme je les fais pour toute les autres mais les moqueries de mes camarades ont commencées dès la première heure de cours et ça ne s'est pas arrêté de la journée ! On m'a même piqué mes vêtement à la sortie du cours de sport.
Je n'en peux, franchement, plus de cette situation, ça me tue de vivre comme ça. Mais bientôt j'aurais 18 ans et comme je les déjà écrit je compte bien en finir avec tout ça. Parfois je pense à ceux à qui je manquerais, mais mis à par mes parents je n'ai trouvé personne. Et encore je sais qu'ils s'en remettront vite. Ils sont toujours tellement occupés que je ne me souviens même plus de nos vrais moments passé ensemble.
Je n'ai pas pas la force de tout te raconter, je me suis déjà étendu sûr tout ça sur des centaines de pages.. Je crois que je ne vais plus écrire ici. Je sais que personne ne m'en voudra de ne plus tenir mon journal.

3 septembre 2005 17h00

Cher journal,

Je n'ai pas écris une ligne depuis un an. Et comme tu peux le voir je suis encore en vie. Il s'est passé des choses extraordinaire durant cette dernière année. Mais je n'est pas le temps de tout te raconter. Je laisse juste un mot ici pour mes parents, qui je le sais, liront ses lignes quand je serais parti.
Je sais que certains de mes mots vous concernant dans ces pages sont dures et je veux vraiment m'excuser pour tout ce que j'ai pu dire. Je tiens à vous dire que durant cette année j'ai rencontré des gens formidables qui m'ont vraiment fait comprendre qui j'étais et que je pars aujourd'hui avec eux pour suivre ma voix. Ne m'en voulez pas. Je vous aime fort.