PDV Porto
Il est 14 heures, Guzz est toujours dans un sale état. On a dormi ensemble et je l'ai charrié parce que j'avais que ça à faire.
Bref, mon train arrive dans 2 heures je ne sais plus trop quoi faire, ça ne se voit peut-être pas mais les fanfictions m'ont beaucoup aidées à me rapprocher de Jordan.
<< De l'eau...
-...
Je me retourne et le fixe.
- J'ai soif.. >>
Je comprend de suite et lui ramène une bouteille d'eau. Une idée me parvint, je souris malicieusement et enlève le bouchon. Je commence à boire, enfin ça laisse paraître ça. Il me regarde contrarié, je me rapproche de lui et colle mes lèvres sur les siennes. L'eau coupe notre baiser et poursuit son chemin jusqu'à atterrir à sa destination. Ses yeux se submerge, j'interromps le baiser et ricane de plus en plus fort.
Il boude et se vexe.
<< T'es pas sérieux ?! De un, j'ai cru que j'allais mourir ! Et en plus tu m'embr-...
Ses joues s'empourprent et il détourne le regard.
J'avais jamais vu Guzz comme ça, je suis satisfait de le gêner.
- Tu me dois une dette, j'ai été sympa ! I Ah oui aussi, occuper ton appart pendant deux jours n'est pas suffisant.
- Compte pas sur moi pour te rendre un service, en plus tu viens de l'utiliser à l'instant, répondit-il d'une voix de plus en plus basse.
- Quoi ? Te donner de l'eau par la bouche parce que tu as du mal à te relever et que tu n'as plus de force ? C'est grave ?
Il râle et ferme les yeux tout en soupirant.
Je me moque de lui et continue de l'embêter en lui faisant des papouilles dans le cou. Il ouvre ses yeux, stupéfait par mon geste.
<< Q-u'est-ce que tu fais ?!
- A ton avis ?
- Ar-Arrête ! J-je suis malade !
- Et ?
- T'es vraiment con ma parole ! Je vais te refiler ma maladie, alors stop !
- Je ne pensais pas que tu t'inquiéterais pour ça, dis-je mielleusement. >>
Je le vois manger le cordon de son sweatshirt, a quoi il pense ? Est-il stressé ? Je m'installe sur lui et m'amuse à le torturer en lui léchant son cou. Ses petits gémissements incontrôlés qui sortent de sa bouche m'exalte. Ma main glissa pour atterrir un peu plus bas, je passe délicatement ma main sous son jean et joue avec son membre. Au fur et à mesure du temps, le tissu devient de plus en plus mouillé. J'enlève alors ce qui me gêne et débute les mouvements de va-et-vient. Je l'entends geindre et me supplier de ne pas aller plus loin mais son désir l'avait emporté, il espérait le faire. C'est à un moment précis qu'il éjacule, je le regarde d'un air espiègle et fais de même de mon coté. Nous continuons jusqu'à notre orgasme