Receuil de torture

Chapitre 3 : le compas

Idée proposée par lou_blrd_, arigatou 😊😊😊

  Monsieur Blois est mon profs de maths. Je l'adore ( Oui, c'est de l'ironie ) ! Tellement que quand je le vois, je veux lui planter mon compas dans l'oeil. J'adore les compas aussi ! J'en ai au moins une dizaine dans ma chambre, sans compter les six ou sept dans ma trousse. Je sors de ma rêverie par le son d'un SMS.

- Yo, ca va ?

  C'est ma meilleure amie, Agape. Elle est grecque. Ce qui est marrant, c'est que son nom veut dire " affection ", alors qu'elle ne pense qu'à tuer les gens. Je lui réponds :

- Yeay, ouai et toi ?

  Réponse immédiate.

- Ouai tu fais quoi ?

- Je réfléchis et toi ?

- Tu réfléchis a quoi ?
Rien de spé...

- Je pense au prof de maths, Blois

- Ah ouai ce prof tout pourri... Il est chiant ça te dit pendant le cours on le fait chier ??

- Grave, il va douiller👿👿

  Après ces messages, je range mon portable, et me dirige vers le cours d'art plastique. Pendant ce cours, exceptionnellement, nous pouvons dessiner ce que nous voulons tant que le thème choisi, par nous évidemment, est respecté. Je pense que vous vous en doutez, mais j'ai pris la torture comme thème. Durant toute l'heure, je me suis appliquée a dessiner Monsieur Blois, avec des compas plantés partout sur le corps, les yeux arrachés par terre, un compas plein de sang a coté. Puis j'ai ajouté du noir, du rouge...
  Résultat, a la fin de l'heure, la prof d'art plastique m'a regardé comme si il fallait me faire interner, et m'a adressée un petit sourire peureux.                   Ensuite, je me dirige vers mon précieux cours de maths. Entre temps, je rejoins Agape, et nous discutons sur comment faire chier ce professeur. On imagine plein de scénarios pour ce tyran ! En tout cas il va avoir mal. J'aurais presque pitié de lui si ils ne nous faisaient pas autant souffrir, lui aussi. Arrivées dans sa salle, Monsieur Blois nous interpelle en nous disant de nous taire ou c'est une heure de retenue. Avec Agape, nous pouffons de rire, sa tentative d'autorité a échoué. Nous nous installons et nous préparons pour deux heures de cours. Deux heures durant lesquelles nous pourrons affiner notre plan.
  Au bout d'un quart d'heure, notre plan est prêt, Agape et moi savons même comment nous y prendre pour le commencer.

- Monsieur, c'est quoi votre instrument de mathématiques préféré ? Demande Agape.
- Euh... Je dirais le compas ! Mais pourquoi cette question ?
- Parce qu'on voulait savoir, je répond. Pourquoi c'est votre instrument de maths préféré ?
- Parce qu'il permet de faire un cercle parfait, ce qui est impossible à main nu, rétorque Monsieur Blois.
- Mais si je vous dit que le compas est TRÈS dangereux, enchaîne ma meilleure amie, vous me dites quoi ?
  À présent toute la classe avait levé son nez de son exercice, même les plus investis.
- Eh bien, je vous dis que ce n'est pas possible, car la pointe est trop petite pour faire du mal à quelqu'un, vous voyez le mal partout les filles, allez, retournez tous à vos exercices.
- Ça c'est ce que vous croyez Monsieur. Mais Agape et moi, nous vous disons que c'est possible, vous voulez tester ?
- Oh je sais ! On a qu'à parier Monsieur. Si on gagne, on fait ce qu'on veut. Mais si vous perdez, vous n'avez pas le droit de nous dire quoi que ce soit !
  Le professeur réfléchit. S'il tombe dans le piège, il est franchement idiot. Même un môme de cinq ans ne tomberais pas la-dedans. Mais il a l'air vraiment plus idiot qu'un enfant.
- Mmh... C'est d'accord à une condition. Vous ne faites de mal à personne.
  Nous le remercions et exécutons notre plan. Il est simple : on prouve que le compas est dangereux, il nous laisse faire ce que l'on veut sans exception, et avec Agape, on lui montre notre côté sadique, devant toute la classe ! Ingénieux n'est-ce pas ?
- Pour vous le prouver monsieur, dites-moi si, même sans percer la peau, vous appuyez la pointe du compas sur votre peau, ça fait mal ! Eh bien ça fait plus mal quand on l'enfonce dans la peau, explique Agape.
- Eh voilà, on a gagnées le pari, on peut faire ce que l'on veut, avec toute la classe ! Je crie bien fort dans la salle.
  Je vois certains sortir leurs portables pendant que d'autres parler entre eux sans aucune discrétion. Avec ma meilleure amie, on se dirige vers Monsieur Blois, un compas à la main.
- On peut faire ce que l'on veut, n'est-ce pas, Louise ?
- Ouaip !
  Le professeur nous regarde, une lueur d'incompréhension dans ses yeux. Je lui assure que tout ce passera bien. Je demande à Agape si elle veut commencer. Mais bizarrement elle préfère filmer. Mais bon, je préfère torturer que regarder, alors je ne dis rien et me retourne vers Monsieur Blois. Je commence la séance.
- Vous n'avez pas le...
- Chut.. Nous vous avions dit que l'on pouvais faire un qu'on veut, et moi je veux tester le compas sur vous ! Sors-je avec un sourire des plus psychopathe.
  La réaction de ma chère victime est d'écarquiller les yeux, et de reculer sur sa chaise ; comme si ça servait à quelque chose ! Bref, je me rapproche du professeur, Agape qui filme et lui murmure un « on va bien s'amuser, tu verras ». Et oui, j'ai tutoyer mon professeur de maths.
  Je prend le compas, et le plante dans sa cuisse. Ça va, un compas ne peux pas rentrer bien profond. Mais je le retourne dans sa chair, et l'enfonce plus profondément dans la peau, de telle sorte que la partie plastique est, elle aussi, dans la cuisse. Je vois les élèves, horrifiés, se tourner vers nous, la salle devenant silencieuse tout à coup. Mais je suis concentrée seulement sur le compas dans sa cuisse. En voyant ce spectacle, le professeur avec une expression de douleur, les élèves terrifiés et ma meilleure amie qui filme le tout, j'explose de rire.
  Puis je retire le compas brusquement, faisant jaillir un petit filet de sang que je m'empresse de receuillir. Je jette un coup d'œil à Agape et vois son regard insistant, m'indiquant de continuer. Alors j'obeis à son ordre silencieux et commence à le mutiler. Le pauvre cri de toute ses forces mais malheureusement pour lui, on est dans la salle de musique, la seule salle isolée du collège. Jusqu'à maintenant, il ne savait pas combien un compas pouvait faire mal.
  Après lui avoir mutilé les bras, je commence à l'enfoncer à la naissance de l'ongle. Je le fais de telle sorte que la peau se décolle de l'ongle et je commence à le retirer. Je tire sur la peau d'un coup sec et elle s'arrache du doigt, laissant voir la chair. Ensuite, je retire l'ongle violemment, et une grosse giclée de sang vient s'installer sur mes vêtements. Je jure ; comment je pourrai expliquer ce sang à ma mère en rentrant ce soir ? Je laisse cette pensée de côté pour l'instant et me reconcentre sur l'instant présent. Je montre l'ongle de l'index droit à la caméra du portable d'Agape et le pose après sur le bureau, tachant au passage le bois. J'entends​ les cris d'effrois des élèves, mais n'y prête pas attention. Je fais de meme pour les autres ongles, ainsi que ceux des pieds, et je me retrouve les pieds dans une marre de sang.
J'entend vaguement les hurlements de pur souffrance de Monsieur Blois, les hoquets de stupeur de mes camarades, le rire d'Agape, par contre, j'entend très clairement le bruit du sang qui goutte, du compas rentrant dans la chair, des battements de coeurs qui ralentissent. J'eclate de rire, un rire des plus sadique, que seuls les psychopathes ont. Avec mon compas dans la main, je regarde Monsieur Blois, ses joues déjà rougeâtres encore plus rouges par les larmes. J'attaque la langue quand un coup à la porte et celle-ci qui s'écrase sur le mur violemment me font sursauter, et je plante involontairement l'arme dans son œil, le tuant dans d'atroces souffrances. Je vois la tête effrayée d'Agape et me tourne vers la porte. Là, se tiennent cinq policiers armés. Ils se rapprochent doucement en nous disant de nous rendre et de poser notre arme, en l'occurrence le compas, et le portable, à terre. À contre-coeur, j'obeis et vois Agape faire la même chose. Les policiers s'approchent de la victime et mesure le pouls. Il n'y en a plus. Alors ils se jettent sur nous, nous menottes et nous emmènent au poste. Ils appellent nos parents, et quelques mois plus tard, nous passons devant le juge, qui nous condamne à 5 ans de prison pour moi et 3 pour Agape.

Fiou il a été long à sortir celui-là ! Je suis désolée. Allez, maintenant j'en ai un autre à faire !! Et je dois aller dormir. Tchuss !!