Fantastik World

Partie 2.2: «séparation.»

Je rappelle elle a passé le tunnel.

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Ma gorge fut prise. J'avais l'impression de manquer d'air et je me mis à tousser. J'ouvrais doucement les yeux et découvrais un monde complètement dévaster et isoler. De la poussière fine volait et me piquait légèrement les yeux. Les autres étaient devant moi et avaient l'air tout aussi surpris.

«Bon écoutez moi, nous sommes dans le mondes des trolls, il a été dévaster il n'y a pas si longtemps. Je vous demanderez d'être doux dans vos gestes et fluides pour ne pas les effrayer.» commença Marvin pendant que Astrid sortais plusieurs sifflets «Nous allons vous distribuer à chacun un petit sifflet, cela sert à dire que nous sommes avec eux et qu'ils ont le droit de sortir. Si jamais vous vous retrouvez seul et que vous voyez un quelconque danger arriver utiliser le mais en sifflant 4 fois assez courte. Ça sers à les prévenir et qu'il puisse de cacher et pour le reste de l'équipe de venir. Il ne faut surtout que aucun DarkWakeder soit en contact avec le sifflet, si vous êtes en danger, casser le»

Astrid nous distribua nos sifflets et après remis son arc en place.

«Nous avons une salle d'armes fermé où nous ne pouvons entrer que avec une carte, il y a des armes, des munitions et tous ce qu'il faut pour tuer et défendre.Notre QG est un peu plus loin et il est ouvert à tous. Il y aura toujours soit moi soit Marvin sauf en cas d'attaque» nous expliqua Astrid. « Pour les attaques aucun replis ne sera exigé sauf sous l'ordre d'un de nous deux ou Alexandre.»

Je jette un regard vers l'intéresser et remarqua qu'il bombait le torse avec un sourire fier. Il me faisait rire mais en même temps je le comprenais.

Je me trouvais à côté de Lorie et quand on compris que c'était le moment où on allait devoir ce quitter, pour toujours, j'eu envie de pleurer. Je me jetais dans ses bras et me mis à pleurer. Je ne pleure pas très souvent, car je n'extériorise pas beaucoup mes émotions. Ça vous l'avez compris. Mais Lorie, c'était ma vie sans exagérer. Je l'a voyait en me levant, en me couchant, en mangeant. Et me séparer d'elle c'est comme être séparé de ma mère une seconde fois. Mais ça devait arriver. J'enfouis ma tête dans son cou et pris une grande respiration. Je relevais ma tête et essuya mes larmes.

«Je t'aime de tout mon cœur Mell, et si jamais tu venais ou si je venais à mourir, on ne s'oubliera jamais»

La dernière fois qu'elle m'a dit qu'on ne se reverrait plus c'était quand elle allait passer dans l'autre côté de l'orphelinat et on c'est revu alors je ne verrai pas pourquoi je ne pourrai pas la revoir.

Astrid nous dis que c'était le moment, avec une douceur inhabituel, je dis au revoir à tous mes amis que j'allais quitter et regarda mon groupe.

J'avais envie de me retourner et courir vers Lorie mais je me retins.

«Bon on y va?» dis-je

«Si tu te sens bien allons y» me répondit Alexandre

«Ouais ouais c'est bon... allez go!»

J'avais envie de me tuer. Je ne sais pas si vous connaissez quand vous avez l'impression d'avoir un trou entre les cotes, une sorte de manque. Moi je l'ai depuis que je suis petite et il s'était légèrement refermé grace à Lorie. Maintenant c'est comme si on me l'avait réouvert en 2 fois plus grand.

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Hey!

Oui je sais que je ne poste pas du tout régulièrement mais j'ai des excuse à vous sortir!!
J'ai passer mon brevet blanc, ma fin de cycle  de violon (d'ailleurs je l'ai réussi avec mention bien) et je vais avoir ma fin de cycle oral de solfège bientôt (semaine prochaine)

Je vous laisse avec ça et je suis désoler si il est un peu morbide à la fin.

N'hésiter pas à me dire si j'ai fait des fautes car je suis vraiment nul en orthographe (vous l'avez remarqué)

Et si vous ne comprenez pas dites moi car c'est difficile pour moi (j'ai toute l'histoire tracé et écrite donc je peux oublier de parler de choses qui sont une évidence pour moi)