Soukayna | « Ils veulent ma mort »

Partie 10 🥀

As-Salamû Aleykûm.

« Entouré d'mes loups, ces sauvages, la bonne époque qui s'rappelle ? »

|| Partie 09 ||

J'me suis rapprochée d'eux.

-Moi : -à Mérédyth- Kestia à m'regarder et parler d'moi ? Viens en face nan ?!

-Mérédyth : Tu crois j'm'intéresse à ta vie pour parler d'toi ?

-Moi : Ferme ta gueule tu crois tu m'fais peur ?

-Mérédyth : Parle bien par contre j'ai rien dit ! T'es une folle !

-Moi : Arrête de faire belheni tu m'regardes depuis tout à l'heure bah vas-y parle en face.

-Aymen : N..

-Moi : -en le coupant- Toi ferme ta gueule aussi je sais qu'tu fais pareil après tu viens vers moi mais tu cherches quoi en fait ?

-Aymen : Nan nan nan commence pas à mettre tous le monde dans le même sac.

-Moi : BAH FERME TA BOUCHE PUTAIN POURQUOI TU T'MÊLES MÊME ?

-Mérédyth : -en se rapprochant- Crie pas comme ça tu crois on est tes chiens ?

-Moi : Azy qu'es-tu va faire même ? Ta vieille tête tu crois tu fais peur à qui ? Aha miskina

Sa criait de partout y avait les élèves qui commencer à s'mettre autour de nous, J'AVAIS LA HAINE j'voulais la frapper là

-Mérédyth : Et même si on parle de toi pourquoi tu viens t'ouvres ta bouche saloope va !?

Alors là c'était le mot de trop j'l'ai explosé parterre avec mon pied, en fait j'l'ai soulevé j'ai mis un putain d'coup dans son ventre elle est tombé sur le dos, j'me suis mise sur elle et j'les enculé avec des poings.

Elle m'avait vraiment mis la haine pour que je fasse ça hein, elle essayait de cacher sa tête avec ses bras mais j'y mettais toutes mes forces jusqu'à j'sens des bras se mettre autour de ma taille, c'était un des surveillants.

-Le surveillant : Vous êtes folles ?!

J'étais essoufflée elle elle saignait du nez, bah cheh.

Je savais qu'j'allais être dans la merde mais j'vais assumé les conséquences, le surveillant il m'a pris par le bras et m'a emmené dans l'bureau du directeur.

C'était pas la première fois que j'me battais à l'école au contraire j'l'ai fait 1 000 fois geh

Bref le directeur il a commencé à m'engueuler il a dit il allait appelé mes darons et que j'allais être viré une bonne semaine mais qu'est c'que j'm'eeeeen bats les couilles fallait pas me chercher !

Après j'suis repartie en cours.

[...] Dés que j'ai fini les cours j'suis sortie j'allais partir prendre mon train mais Aymen s'est pointé devant moi.

-Moi : Tu veux quoi toi ?

-Aymen : Faut que j'te parle.