Je me réveilla, je ne savais pas trop ou j'étais mais les souvenirs réapparaissaient peu à peu. Quelqu'un toqua à la porte, un bruit doux. J'ouvris et c'était la petite fille. Je ne m'attendais pas à la voir.
-je viens de demander se que tu veux manger.
-euh non merci sa va aller. lui dit-je gentiment .
-Aaron va raler.
-Qui c'est Aaron?
-L'homme de l'hopital , la personne qui est la raison que tu sois encore en vie , tu lui doit tout.
Ces derniers mots finissent par me vexer car je devais rien à personne , c'est de sa faute que je suis la.
-daccord bah qu'il a qu'a raler.
Elle repartit en écoutent se que je lui avait dit . Quand je marchais dans la chambre , j'avais du mal car mes blessures me faisaient mal.
Le sang se répendaient encore sur mon corps et jaillissaient de mes plaies.
J'entendis des pas dans l'escalier , la porte valcea à moitier. Et Aaron était là avec un plateau à la main. On y voyait plein de sorte de nourriture, banane , yaourt, steak , pain , frite...
J'avais mon ventre noué. Il me regarda d'un aire supérieur. Cela me m'étais égale. Il avait sous ses yeux des veines qui ressortait. Il s'approcha de moi et m'enleva mon t-shirt. Je n'avais rien en dessous, j'essayais de me cacher. Il regarda de plus près mes plaies. Il avait un regard inquiet.
-on doit te soigner !
-laisse moi tranquille.
Lorsque les autres arrivaient , l'un dit: - on peut rien faire pour elle , abreige lui ces souffrances.
Je ne voulais pas mourir .
Ma tête tournait encore et encore, je ne pensais que au moment heureux de ma vie , quand j'étais enfant et que la dépression ne me bouffait pas peu a peu. Je pensais à quand mon frère me courrait après pour m'attraper. Il m'attraper toujours. Lorsque ma mère faisait des pancakes et je pouvais en manger des tonnes.
Une larme coulait sur ma joue, la douleur était insupportable, je regardais devant moi: Aaron. Il me tenait fort . Je finis par souffler quelques mots: -je vais part...
Je ne ressentais plus rien. La douleur avait disparu. Je me sentais bien, comme en paix. J'étais en paix.
Je ne penserais pas que quelqu'un pleurerai pour moi. Il me serrait la main tellement fort qu'elle était devenu bleue. C'était le plus beau jour de ma vie car j'avais revécu, j'avais ressentit se que je pensais impossible de ressentir. Et même si la mort m'attendait au bout, j'ai sut apprécier le court instant que la vie m'a accordé.
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Alors voila , n'hésiter pas à dire vos impression.
Ne vous inquiété pas l'histoire ne se termine pas ainsi.
Et désolé pour les fautes d'orthographes.
J'essayerai de faire plus long le prochain chapitre. <3 bsx
