Chapitre 1 ''de vie à trépas''

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Le monde peut parfois être cruel, comme il peut être beau. Vous n'imaginez pas les choses qui peuvent vous arrivez. En tout cas, cette histoire n'est qu'une invention et il n'y a aucun fait réel dedans mais une chose est sûr,
ne vous attendez jamais aux​ pire...

1/ commencement :

Je m'appelle Rose, j'ai 18 ans et j'ai une passion c'est la musique. Je vis avec mon père. Nous sommes en train de déménager !

Moi : Papa est-ce que tu as besoin de mon aide pour préparer les cartons ?

Mon père : Non merci ma chérie, je me débrouille bien tout seul mais tu peux ranger tes affaires si tu le souhaite.

Après cette longue journée assez chargée nous sommes maintenant en route vers nôtre nouvelle​ maison dont nous attendons avec impatience pour enfin acquérir du renouveau.

La route est si longue, mon père conduisait une Mercedes bleu nuit et je regardais ce qu'il se passait dehors par la fenêtre durant ce long trajet. On descendit vers le sud-ouest pour se réchauffer un peu et changer d'air.
Mon père ne m'a toujours pas fait encore part de l'endroit où on allait ni de ce qui entourait en périphérie de notre future maison.

Mon père : Nous y sommes !

Moi : Elle me plaît bien. Disait-je d'un ton monotone.

Notre maison se trouvait à Sanchez-ville​, dans un endroit située au milieu de nulle part près d'un champs de blé et des espaces vert d'une dizaine d'hectares.
Les écoles sont pas vraiment à côté mais les supérettes sont à proximité pour faire quelques pleins parfois mais je suis pas une grande grignoteuse, je consomme peut d'énergie car je ne suis pas très active.

Enfin installé, nous visitons nôtre maison de plus près. Je suis à peine descendue de la bagnole que l'odeur du renfermé de l'ancien village me remonta dans mes narines, ce qui était peu agréable à inhaler. En effet, l'air a bien changé.

Mon père étant en train d'appeler les camionneurs leur donner l'adresse pour enfin amener nos meubles et affaires. Je commençais par entrer en première dans la petite maison en tirant sur la chevillette. C'est vraiment pas moderne, tout est à rénover, même le papier peint à jauni et se décolle légèrement entre les séparations des murs qui sont bien épais. L'électricité n'est pas encore enclenchée, ni l'eau des robinets. Mais seulement pour un jour ce n'est pas la mer à boire.

Je visitais ma future chambre de 16mètres carrés qui me semblait convenable pour une fois que je me sentais confortable dans mon espace. Tout est calculé dans ma tête, je sais exactement ce que j'en ferais des chaque coins.
Une fois avoir analysé en restant plantée dans un vide, je sorti de la pièce pour prendre le petit couloir.

C'est étonnant qu'il y ait un sous-sol en bas. Sous mes pieds, il y avait un tapis verdâtre. Je le décale avec mon pieds droit, j'ouvre la petite trappe et il faisait tout noir.
J'ai alors pensé à toutes les combine qu'on peut créer en cas de catastrophe naturelle pas loins ou une bombe atomique, de manière glauques je pensais fort au danger qui ne peuvent sûrement pas être présent pour le moment mais je souhaitais en prévenir que guérir.

Très curieuse de découvrir l'endroit, j'entrai​ alors dans les ténèbres nocturne puis entra lentement. Profond et noir, j'allumais alors une chandelle pour éclairer l'endroit et un peu plus loin, je découvris un drap blanc poser au dessus d'un grand objet.

                                      •••

Je voulais sans attendre soulever ce drap mais ma grande curiosité me fit prendre du recul sur mes pulsions à cause de mon adrénaline trop forte. Je prenais une grande respiration puis tira délicatement le drap blanc. Je fermais les yeux pour avoir plus d'étonnement et une fois avoir terminé, je découvrit une chose merveilleuse qu'on aurait jamais pu imaginer auparavant.
Un vieux piano fait de marbre et de bois. Une collection introuvable nommée "Young Chang", une marque japonaise moyennement connu mais d'une qualité irréprochable.
Je repris mon calme et appela mon père aussitôt pour lui annoncer ce qu'il nous restait de beaux dans cette vieille maison.

Moi : Papa ! Il y a une trappe en bas et les anciens propriétaires y ont laissé des choses sympathiques dedans !

Mon père : Qu'y a-t-il Rose ? Je suis occupé vraiment on regardera ça après !

Je l'entendais me répondre mais il n'arrivait point à ma case. J'attendais alors plusieurs minutes afin qu'il vienne mais, toujours rien.

Je me retrouvais alors seule depuis un certain temps. Le piano me laisser envoûté par sa splendeur, l'adrénaline me laissa m'emporter. J'approcha mes fines mains du piano, souleva le clavier. Les touches étaient jaunâtres, le vernis craquelaient et s'émiettais par terre. Une partition était déposée dessus comme si que les sons qui s'y offraient n'avaient point d'importance à l'écoute. Sachant que j'avais pris des cours à une époque, j'eu envie de tester mes connaissances. Je toucha une de ces notes mélodieuse puis m'assieds sur le petit tabouret confortablement. En feuilletant cette partition, une lettre tomba soudainement au niveau des touches. L'enveloppe se décomposait sous mes yeux mais une carte se montra peu à peu.
C'est alors que j'activais mon cerveau en mode lecture en lisant ceux-ci :

"Celui ou celle qui osera m'offenser à cet indemne, sera confronté à subir un dilemme."

N'obéissant point à ces paroles, offenser une entité invisible n'était en aucun cas volontaire puisque rien n'était précisé et je voulais tant continuer ces démarches assez atypiques.

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⏰ Dernière mise à jour : Oct 02 ⏰

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