Unclaod

La légende •

"Ça va? Me demande Aimée
-oui. J'ai juste fais un cauchemars.

-tu veux en parler?

-non. Je répond, conscient de mes tremblement constant depuis mon réveil. Mais dit moi, connais tu l'histoire de la légende?

-la légende? À, celle des champs glacée du silence...

-je crois oui. J'ai une question. Je ne sais pas si tu sais la réponse mais... Qu'est ce qu'il c'est passer pour la légende après la mort de son père?"

Elle ne réponds rien pendant un moment. Me faisant attendre et trembler de peur.

"D'après les gens qui vivaient la bas, Mégana... Commence-t-elle

-Mégana?

-le prénom de la légende."

J'entendais pour la première fois se prénoms qui me fit rougir.

"Bref. Mégana était tellement triste qu'elle a voulu monter sur la montagne. Seulement, sa mère lui interdit en disant que c'était trop dangereux. Seulement Mégana décida qu'elle irais quand même. Il faisait tard, la tempête de neige se faisait de plus en plus ardente pour la pauvre Mégana qui ne pouvait s'empêcher de pleurer à chaque pas.  Lorsqu'elle arriva en haut, elle s'effondra sur le seul et pleura si fort que même avec le vent hurlant qui foutait son visage, tout le village l'entendit. Y compris sa mère..."

Quelle triste histoire

"Que se passe-t-il après ?

-tout ce que je sais, c'est qu'elle fut tellement frustrée qu'elle devint une demi-démone.

-je vois..."

Une demi-démone pour rétablir la paix. Quelle drôle d'idée ! Enfin. Chacun sa méthode...

"Pourquoi tu veux savoir ça?

-tu te souviens de ce que je veux chercher?

-oui bien sûr!

-eh bien celle que je cherche c'est Mégana....

-vraiment?

-oui...

-je vois. Et pourquoi?

-rétablir la paix dans le monde au niveau criminel.

-drôle d'idée. Prendre une demi-demone en plus! Dit-elle en riant

-je sais! Je répond en riant. "

Nous parlons de notre vie jusqu'à l'aube. Ce que je sais c'est qu'elle tiens un petit commerce avec ses parents. Elle habite dans une ville ou les gens sont pauvre et ou les problèmes se multiplient. Cependant,  personne ne leur viens en aide. Et la dernière fois que quelqu'un leur a proposer de l'aide, il les a mis dans une galère pas possible. Celui qui dirigeait la ville fut bloquer dans le temps jusqu'à sa mort, et sa famille rayée de la carte. Pauvre famille. On l'a ensuite prévenus. Elle a tenter de convaincre ses parents mais ils n'ont fais que répéter que l'avenir se vivait, il ne se lisait pas. En clair, personne la croyais. Donc une terrible guerre à éclatée entre les criminels et l'armée. Une guerre qui faisaient des millions de mort. Une guerre qui pourrais faire basculer le monde dans les ténèbres éternels. Une guerre qui va être avec difficulté éviter ici. Rien que d'entendre cela, j'ai peur. Je repense à mon rêve. Je repense à la fille de kimono qui supplie de l'aide et disparaît après m'avoir foncer dessus. Aimée semble remarquer que je tremble et lorsque que viens mon tour de conduire le cheval, elle passe ses bras autour de ma taille pour me rassurer.

"Ce n'étais qu'un cauchemars. Me dit-elle. Ne t'en fais pas."

L'aube commençait à arriver maintenant. Le port de Skandia ne semblait plus très loin. Nous avons dormis chacun notre tour la moitié de la nuit, nous étions donc plutôt fatiguer lorsque nous arrivons enfin au port.

"J'ai sommeiiiiiil! S'exclame Aimée.

-moi aussi. Je bâille. On devrais se trouver une auberge, j'ai envie de dormir la.

-oui."

Nous nous trouvons une hauberge et dormons toute la matinée. Lorsque je me réveille, je suis encore tremblant. Le rêve est revenu. Deux  fois de suite, c'est vraiment bizarre. Une fois l'auberge trouvée nous mangeons dans un bar qui s'appelle "le temple de la boissons" nom plutôt prestigieux qui vend des boissons avec des goûts délicieux.  Je me sens plutôt fiévreux, très même. Ma tête me tourne et j'ai l'impression d'entendre un bourdon voler constamment près de mon oreille.

"Je sort dehors. Tu me rejoindras sur la plage? Je demande à Aimée tandis que quelqu'un me regarde bizarrement vu qu'il pense que je parle tout seul.

-pas de problème.

-cool. À plus!"

Je pousse les deux petits volet bah que forment la porte et me dirige en direction de la mer. Une fois rendue devant l'étendue d'eau que forme celle-ci, je m'assois sur le sable fin et ferme les yeux.

Je sens le vend souffler dans mes cheveux, et le doux parfum saler de la mer m'envahir les narines. Je n'entend d'habord rien. Puis un son, Quelque chose qui me paraît familier. J'entends au moins de son qui commence à se distinguer. Quelqu'un chante. Un jeune homme plus précisément. Je reste les yeux fermer et écoute les paroles.

Elle vivait clouer,
Dans un hiver glaciale
Dont la mère, frustrée
Reflétait son idéal.

Avec pour seul objectif,
Une montagne dont le pic
Lui rappelait la musique
Du doux son de se ressif:

Avance toi au bord
Ne recule pas
Et de prime abord
Je t'en pris avance toi

Avance toi au bord
Mais ne tombe pas
Car il t'attend, d'abord
Toi ta mort et tes bras.

Cette chanson me rappelle vaguement une histoire. Mais je ne dis rien, concentré sur le reste. Cet air est triste et semble inventer pour cette chanson. Je me lève soudain et plonge dans l'eau glaciale. Je nage jusqu'à en perdre mon énergie. Je reviens légèrement vers le bords, à un endroit où j'ai pied. Je plonge sous l'eau et m'alonge tout au fond de celle-ci. La surface de la mer me paraît floue et éphémère. Je reste un instant, regarde la surface de l'eau en pensant. Cette chanson. Cette air. Il me rappelle celui de la légende...