Chapitre 8

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Point de vue : Alban.
Cela fait maintenant une semaine que je suis sortie de l'hôpital. Cela fait aussi une semaine que ma femme me chouchoute comme personne et une semaine où tout les jours je tente en vain de rentrer chez moi. Elle est vraiment têtue quand elle veut mais bon je l'aime quand même.
Aujourd'hui est un jour particulier, c'est son anniversaire. Elle a 18 ans, enfin. Ok ok je sais, j'en ai 18 aussi mais cela veut tout simplement dire que on pourra enfin sortir que tout les deux sans demander l'autorisation à nos parents. Et ça je sens que on va bien en profiter.
Je me réveille donc au lit et comme tout les matins elle n'est pas à côté de moi mais sans doute dans la cuisine en train de se tuer à me préparer mon petit déjeuner. Je me lève, descend l'escalier et me dirige vers la cuisine. Sans surprise je la trouve en train de courir partout pour faire mon plateau déjeuner. Je la stop en l'attrapant par les bras.
- Louise : Mais bébé, retourne te coucher ! Tu es malade ! Aller et plus vite que ça ! Réagis !
Je fais donc une tête de chien battu et me dirige vers l'escalier mais un plan me vient à l'esprit.
- Alban : Mon coeur, je monte que si toi aussi tu montes avec moi.
- Louise : D'accord mais dépêche toi.
Je monte donc les marches quatre à quatre pour arriver devant la porte de notre chambre. Elle me rejoint deux minutes plus tard complètement essoufflée.
- Alban : Ma chérie, tu es sûre que tu vas bien ? Tu es fatiguée juste parce que tu viens de monter un escalier de 14 marches.
- Louise : Oui...oui...je vais bien...laisse moi un...peu de temps...reprendre ma...
Et là je la vois s'écrouler devant moi. Ma tête hurle de me bouger et de réagir mais mon corps, lui, reste pétrifié devant ce spectacle....Ma femme, mon coeur, ma vie...
Il me faut 5 secondes, qui mon parues les plus longues, pour être au près d'elle. 
- Alban : LOUISE ! LOUISE ! MON AMOUR ! REVEILLE TOI JE T'EN PRIE !
Je la vois bouger légèrement et un sourire se forme sur son magnifique visage. 
- Louise:  Je t'ai eu ! Tu m'as cru !
Je fais mine de bouder mais je ne peux m'empêcher de lui dire:
- Alban : Je te promets que la prochaine fois je te met une claque direct au moins tu seras réveiller et tu n'auras pas le temps de me voir effrayé.
- Louise : Mon coeur, c'était une blague. Je t'aime.
- Alban : Moi aussi je t'aime mon coeur.
Et je l'embrasse sur ces derniers mots.

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hey ! salut tout le monde ! Je sais que cela fait un bon moment que je n'ai pas publié mais on va dire que ma vie sociale c'est tout à coup très chargée !

Le lourd secretOù les histoires vivent. Découvrez maintenant