Le Pantin de Bois

Le pantin de bois, réécrit

C'est sans aucun doute à cause – ou grâce – à la manie des humains de penser au surnaturel puis de chercher une réponse dites « plausible » que cette histoire fantastique est née. Ce n'est pas facile de trouver le vrai du faux et encore plus le faux du vrai. Mais passons, l'histoire qui va vous être compté se passe à la campagne dans une petite ville Française. On y vit maintenant une vie tranquille, comme celle du petit garçon, devenu grand, de notre histoire. Il semble avoir tout oublier, tout de ce qu'il s'est passé quelques années plus tôt. Une découverte. Un meurtre. Une enquête. Et un pantin de bois. Nous n'avons jamais trouvé de réponse à certains faits et il ne tient qu'à vous de choisir si oui ou non, vous y croirez...

Le bureau de M.Yier, seul psychiatre volontaire pour écouter les Monsame, semblait assez chaleureux mais la présence de la famille avaient tendance à jeter un froid partout où ils allaient à cette époque. M.Yier leurs posait des questions au sujet d'une enquête.

-    Savez-vous pourquoi vous êtes ici ? Demanda-t-il

Un silence.

-    Pour trouver des réponses à tout... ça.

C'était Monsieur Monsame qui avait dit cela d'une voix lente et presque éteindre, ces yeux vitreux posé sur sa femme, qui de son côté regardait son fils.

-    Plus précisément s'il vous plaît ? Repris le psychiatre qui gardait un œil sur le pantin sur les genoux du petit garçon.

-    Et bien..., il se gratte le dos de la main, vous savez... raaaah! C'est compliqué !, il prend une inspiration, Mon fils, ici présent à été retrouvé... putain... sous le lit du...défunt , 5 minute après que les autorités soient arrivés et donc 10 minute après son départ de la maison... mais c'est impossible., il semble ressembler ses idées le regard perdu avant de dire, L'appartement de cet homme est à l'autre bout de la ville et il faut bien 45 minute pour y arriver... pas vrai?, un regard pour sa femme, Merde! Je refuse de croire qu'il ait pu tué ce type !

Ce type, homme ou défunt (peu importe) était M.Longui, un homme simple toujours présent pour sa famille et qui n'aurait sans doute pas compris pourquoi M.Monsame jetait dès regards en coins à son fils lorsqu'il parlais, comme s'il s'attendait à ce qu'il lui saute à la gorge au moindre mot de traver. Après quelques secondes de silence ponctué par le tic tac d'une horloge orange le psychiatre lui dit d'une voix semblant aussi fatiguée que ces traits:

-    Je comprends monsieur mais tout porte à croire que votre enfant a commis ce crime même si l'improbabilité de cela est surprenante. Les marques présentes sur les poignets de votre fils et sur la gorge de M.Longui correspondent comme similaires, sa présence sur les lieux du crime prouve qu'il n'est pas sans lien avec l'affaire -même si en terme de timings tout est remis en question. De plus la victime était un parent d'un camarade de votre fils et même si il ne semble pas que ça ait de liens c'est un fait. Et puis...il est le seul suspect que nous ayons, il finit sa tirade d'une voix faible.

Un éclat de rire venait de retentir dans la salle. Mme.Monsame avait sursauté les yeux comme des soucoupes sur son fils, M.Monsame s'efforça de ne pas tremblé et M.Yier avait tressaillit très légèrement à l'entente de ce son cristallin. Ce rire semblait vouloir dire que tout ce qui avait été cité plus tôt était tout simplement ridicule. Ce rire était, bien sûr, sorti de la gorge du plus jeune homme présent dans cette salle. La réaction des parents Monsame était du au fait que leur fils n'avait jusqu'à présent présenté aucun signe d'attention à quoi que ce soit depuis des jours en plus de son mutisme constant. Sauf à son pantin. Il prononça:

-    Do you really believe in all this? That we have similar marks on our bodies does not mean anything, en addition look: I don't have marks on the wrists. I don't even know how I got to Mr. Longui's. And I do not know why it's an important fact that I know his nephews? Then seriously, the only suspect? Ridiculous.