Deuxième chance

Chapitre 1 : Il fait sombre

Je me réveille, je ne voix rien et entends une machine faire Bip .

Puis je me souviens d'hier soir...

Ma génitrice ( que je refuse d'appeler maman ou mère )
est venu dans ma chambre m'as frapée je ne sais pourquoi et j'ai pris des lame de rasoir et ai commencé à tailler mes veine puis plus rien...

Ma génitrice me bat et bois depuis toujours et je n'ai pas de père : Ma mère l'a accidentellement tué, comme elle l'a dit au policiers et puisque que je n'était qu'enfant ils n'ont pas envoyé ma mère en prison.

Mon seul souhaits est de quitter se monde.

Inconnu 1: Comment elle a fais ça ?

Inconnu 2 : Avec des lame de rasoir.

Inconnu 1: Qui l'a emmené ici ?

Inconnu 2: Un inconnu qui l'a trouvée dans la rue cette nuit . Pauvre petite .

Inconnu 1: On n'a trouvée ses parents ?

Inconnu 2: Non, nous attendons qu'elle se réveille.

J'ouvre les yeux et vois que les deux personnes qui parlaient était  deux infirmières.

Infirmière 1: Comment vas tu ?

Moi : Bien.

Infirmières 2: Comment t'appelle tu ?

Moi : Lucy Boyer.

Infirmière 1: Qui son tes parents ?

Moi : Mme Elena Parker.

Infirmière 2: Et votre père ?

Moi : Il est mort.

Infirmière 1: Toute nos condoléances.

Je ne comprend pas pourquoi les personnes s'excusent pour une choses d'on il ne son pas responsables.
Sans doute par politesse.

Infirmière 2: Nous allons appelée ta mère et elle viendra te chercher.

Infirmière 1: Pourquoi as-tu fait ça ?

Moi : Je suis tombée.

Infirmière 2: D'accord, la prochaine fois fait attention.

J'ai hoché la tête. Elles ont beau être gentilles elles sont un peu idiote: qui tombe et se taille les veine sans le faire exprès ?

Ma mère est venu me chercher quelques heure plus tard .

Mère : Pourquoi t'as survécue, sale ordure ?!

Je ne réponds rien et rentre chez moi à pieds et ma génitrice rentre en voiture. Même moi je me demande pourquoi j'ai survécu...

Je ne veux plus être de ce monde...

Je cours vers la forêt et me cache derrière un arbre. L'arbre commence à s'ouvrir et je tombe dans le portail qu'il avait formé.