Versailles et ses amours

C'étaitun de ces grand comte, respectée par toute la Cour du roi Louis XVI,cet homme originaire de Bretagne était le cadet d'une de cesnouvelle famille faisant apparition dans la bourgeoisie. 

Comme toutbon comte son but était d'épouser une belle et riche jeune femme,on lui proposer quelque une de ces jolie parisienne venant de famillede la petite bourgeoisie, mais lui ne portait aucune attention à cesjeunes actrices à qui on a fait apprendre un rôle pour attirerl'attention du riche homme,lui ce qui l'intéresser c'était laprincesse « Mme Royal » la première fille du Roi de la France sonrêve est de la rencontrer et de la demander en mariage mais ce comtede campagne n'avait aucune chance. Il avait pourtant l'intention deréaliser son rêve, sa mère ne cessa pas de lui dire : « Mon filstrouve une femme le plus vite possible avant que le temps ne terattrape et que t'a place ne soit pas sauvegarder pour plusieursgénérations » et lui répondit toujours qu'il avait de grandesambitions et qu'il céderait aux générations suivante beaucoup plusqu'une place de comte. 

Un jour alors que l'homme était à la chasseun messager du Roi arriva et lui donna une enveloppe cachetée avecle blason royal, le comte n'en croyait pas ses yeux il tomba dénueet n'osa même pas ouvrir l'enveloppe de peur de ce réveiller enplein rêve, il prit son courage à deux mains et ouvra l'enveloppeou il trouva un petit billet avec écrit « M. le comte estprier de bien vouloir ce joindre à la cour pour un banquet auchâteau de Versailles ce vendredi » ce billet était signéede la main de M. Louis XVI en personne, le comte ce précipitât pourrattraper le messager et il demandât d'un air excitée : « vousêtes bien sure que ce courrier m'est destiné » le messagerrépondit : « bien sur qu'il est pour vous pour qui voulezvous que ce soit d'autre ? ». Le comte rentrât dans sa petitedemeure et demanda la venue du plus grand couturier français sur lechamp, il voulait les meilleurs vêtements, il voulait être le plusbel homme de la soirée, il dépensa sans comptée il demanda aussile coiffeur de la Reine de bien vouloir le coiffer pour l'occasion le jour tellement attendu par le comte arriva il sera sûrement leplus beau de cette soirée et pourra peut-être attirer l'attentionde la princesse. 

Les gardes annoncèrent son arrivée « M. lecomte François de Bretagne » tout les regards était posaitsur cette inconnu habillé tel un dieu, le reflet du lustre mettaiten valeur les dorure de sa redingote confectionner pour l'occasion,il s'approchât de la princesse et lui tend la main en luidemandent « es qu'une jolie femme comme vous m'accorderait cettedanse ? » la pauvre femme le regarda et lui répondit d'un airflattée « je suis même prête à vous offrir ma soirée »,l'homme qui venait juste d'apprendre à danser dans les règles del'art tremblée, la princesse souri et lui dit « détendez vouset suivez mes pas » tout les regards était tournée vers ceduo improbable la princesse et un vulgaire conte de campagne, ilpassa sa soirée au côté de sa belle et passa la nuit au châteauau côté de sa princesse. 

Tout deux était tomber amoureux l'un pourl'autre, mais cette amour n'était pas destinée a durer desrévolutionnaires pénétras dans le château pendant la nuit pourvenir chercher le Roi mais ils étaient tellement en colère qu'ilsmassacra des dizaines de personnes la princesse réussit à s'enfuiralors que le jeune comte encore en plein rêve dormait encore et cefit massacrer pour des choses pour des raisons qu'il ignorer. C'étaitsa dernière nuit et il l'as passa avec la femme dont il avait rêvaittoute sa vie. Comme quoi les amours vrais ne sont pas toujours ce quidure le plus longtemps malheureusement.    

Joan Leroy