Le temps de se faire aux idées horrifiées sans
Oublier tous les temps à marquer du pied lent
Bien trop lent les marteaux frappent sans se retenir
Et toi tu me tiens bien le dos droit sans souffrir
Les cris se multiplient et s'accélèrent
Le souffle court le cœur se serre
Les pédales se perdent et s'envoient en l'air
Mais rapidement l'irrégularité se perd
Et tu reviens sans faim poursuis tes cognements
Modérément violente tu nuances avant
De me rappeler le rythme de la cadence
Je recule et tu t'avances et mes confidences
Viennent caresser tes mains.