Quatre seringues suffisent.

Chapitre deux: L'endroit lugubre.

               A l'âge de 13 ans, un scientifique me kidnappe alors que je rentrais chez moi à la sortie des classes, un homme me prend par le bras et me jette dans un fourgon noir, et m'emmène dans un laboratoire clandestin, c'était sombre, rempli de salles détériorées et étroites ; c'était lugubre, des sièges et des tables se tenaient dans quelques pièces, des seringues vides étaient à terre. Les scientifiques avaient des blouses blanches, et un masque sur leur visage, pendant ce temps, j'avais une muselière pour éviter de crier, et les poignets attachés dans mon dos par une corde qui me brûlait à chaque mouvement. L'un d'eux me jette contre un mur, je m'assis et attendis, quoi ? je ne sais pas exactement... les heures passèrent et mon manque de nutrition commence à se faire ressentir. Je suppose qu'un jour s'est déroulé depuis mon arrivé, on m'emmène sur une table et m'attache les chevilles et les poignets sous des barres de fer, les jambes et les bras écartes, cela faisait à peine cinq minutes je souffris déjà... Peu de temps après je recevais une injection, la douleur atroce, je sentis le liquide se propager en moi, j'avais le sang glacé, une peau bleuâtre, et ce liquide chaud me brûlait les veines, je me débattais comme je pouvais, mais rien ne réussissais....Suite à cette étape, j'avais chaud, très chaud...Une semaine après, du moins d'après mon estimation, l'étape se reproduit, mes veines encore brûlante de la dernière injections, en recevais une nouvelle, mais cette fois c'était différent, tout d'abord, je fus paralysée, quelques secondes s'écroulèrent, et tout mon corps fût refroidi, des larmes coulèrent sur mon visage, je fermais les poing si fort que mes ongles me rentraient dans mes paumes, je me débattais sans réussite...j'avais mal, je tremblais encore...Les deux semaines qui ont suivis, c'était la même épreuve à affronter...une douleur sans mots, la première ce fut une sensation de légèreté qui se produit, mais, mon œil gauche me brûlait énormément, à croire qu'on me le transperçait avec une aiguille. La dernière semaine, j'ai reçu ma dernière injection, celle-ci, me donnait un coup amer en bouche, et je senti une force grandir en moi, comme si qu'un nouveau être s'installer en moi, ça me brûlait les organes, et mon second œil, c'est-à-dire le droit eu la même sensation que la gauche la semaine précédente, c'était une souffrance atroce. J'ai bien compris que j'ai servie de cobaye durant un mois, mais un cobaye pour quoi ? Malgré tout, j'entendis quelque bruit, j'ai entendue, fin je crois, que les injections, mon organisme de les élimineras pas de lui-même, c'est à eux de me les enlever.